Après Jacques Lévy qui nous avait récemment entretenus de la Yérida et André Simon Mamou qui s’était lui aussi penché sur le sujet, aujourd’hui c’est Frédéric Coscas, Guide en Israël, qui nous parle des difficultés rencontrées par les Olim francophones.
Frédéric Coscas
Fredi Tours
TJ reviendra sur l’activité de Frédéric Coscas
Merci à Rémy Azria
J’avoue refuser de passer 35min à écouter ce M. Koskas dont j’ignore tout.
On a tous mieux à faire et c’est l’inconvénient des séquences vidéo comparées aux textes écrit : avec la vidéo on est obligés de TOUT voir et entendre alors qu’il n’y a peut-être qu’une phrase intéressante…Et encore…
Mais concernant le titre : « …Israël doit aider les francophones en difficulté… ».
NON. Israël ne doit rien de plus qu’aux russes, ukrainiens, argentins, américains….TOUS plus ou moins en difficulté car c’est le propre de l’immigration.
Sachant surtout que le problème principal des « francophones » c’est qu’ils sont souvent retraités ; ils perçoivent des Euros et dépensent des Shekels ; donc, victimes du taux de change.
Israël lutte contre ce phénomène spéculatif (qui est un problème général, non seulement pour les francophones) moyennant des rachats d’Euros et de dollars, avec peu de succès ; mais ne peut rien faire de plus.
Vous m’excuserez ce retour mais il y a des Français qui cherchent à s’adapter
Ce qui est difficile par contre, c’est la gourmandise exécrable des propriétaires et des commerçants qui devient tellement indécente. Une catégorie de juifs qui pousse un autre juif à repartir engendre la malédiction. Pas de pitié de la veuve ou l’orphelin on voit où cela mène….
De plus, les Français (dont moi-même) venons d’un pays où nous avons toujours été des assistés. Regardez en Israël tous les seniors russes qui sont gardiens. Et aux Usa des amis de 80 à travaillent à cause de leur faible revenu
Oui, on le sait … On l’a déjà entendu. Les Français sont non seulement des assistés comme vous l’écrivez mais aussi des fainéants, des illettrés, des alcooliques et même des « gens qui ne sont rien ». Merci de le rappeler, Disraeli.
Kayecot. Je suis d’accord sur une chose : je préfère, s’agissant d’informations, les lire plutôt que les écouter. A moins qu’il ne s’agisse de l’interview d’une personne que je connais bien et apprécie vraiment. Comme Élisabeth Lévy, dont j’avais écouté entièrement la vidéo du 23 juillet titrée : destituer les maîtres-censeurs. Les vidéos devraient – à mon humble avis – être courtes et réservées à des sujets comme Le Juif du dimanche.
TJ tient compte de vos remarques fondées. C’était un essai. Cordialement. Sarah Cattan pour TJ