Les mollahs semblent convaincus qu’une fois que l’administration Biden aura complètement capitulé devant leurs demandes de relance de l’accord nucléaire iranien de 2015, ils seront en mesure d’intensifier leurs efforts déjà importants pour éliminer Israël et exporter leur révolution islamique vers les pays arabes et islamiques. L’Iran occupe déjà quatre pays arabes : la Syrie, le Liban, le Yémen et l’Irak.
Les mollahs iraniens semblent tellement convaincus que l’administration Biden a tourné le dos à ses alliés arabes au Moyen-Orient qu’ils lancent des menaces directes non seulement contre Israël, mais aussi contre tout pays arabe qui ose coopérer avec les Israéliens.
Pendant ce temps, les mollahs tentent d’ouvrir un nouveau front de bataille contre Israël, cette fois en Cisjordanie.
Les mollahs semblent tellement enhardis par la faiblesse de l’administration Biden qu’ils parlent maintenant ouvertement d’utiliser la Cisjordanie comme rampe de lancement pour attaquer Israël et tuer des Juifs.
Sous la pression du régime iranien, des représentants du Hamas et du Jihad islamique ont tenu une réunion dans la bande de Gaza en début de semaine pour discuter des moyens d’intensifier la « résistance » contre Israël.
Dans une tentative d’apaiser leurs maîtres à Téhéran, le Hamas et le Jihad islamique ont publié une déclaration commune après la réunion dans laquelle ils se sont engagés à intensifier la « lutte armée » contre Israël « jusqu’à la libération [de toute la Palestine] », un euphémisme pour la destruction d’Israël.
Les mollahs iraniens semblent convaincus qu’une fois que l’administration Biden aura complètement capitulé devant leurs demandes de relance de l’accord nucléaire de 2015, ils seront en mesure d’intensifier leurs efforts déjà importants pour éliminer Israël et exporter leur révolution islamique vers les pays arabes et islamiques. L’Iran occupe déjà quatre pays arabes : la Syrie, le Liban, le Yémen et l’Irak. (Source de l’image : iStock)
Alors que l’administration Biden semble se rapprocher d’un nouvel accord nucléaire avec l’Iran, les mollahs de Téhéran encouragent leurs mandataires terroristes libanais et palestiniens à se préparer à faire la guerre à Israël.
Les mollahs ne sont pas inconscients des voix croissantes dans le monde arabe qui se plaignent de la faiblesse des États-Unis et de la façon dont la politique d’apaisement de l’administration Biden envers l’Iran sape la crédibilité des États-Unis et met en péril la sécurité et la stabilité des pays arabes et islamiques.
Les mollahs iraniens semblent tellement convaincus que l’administration Biden a tourné le dos à ses alliés arabes au Moyen-Orient qu’ils lancent des menaces directes non seulement contre Israël, mais aussi contre tout pays arabe qui ose coopérer avec les Israéliens.
La dernière menace en date est venue du commandant de la marine du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) iranien, le commodore Alireza Tangsiri, qui a averti que la coopération avec Israël « menace la sécurité et la stabilité dans la région du Golfe ».
L’avertissement de Tangsiri s’adressait aux alliés arabes de l’Amérique, en particulier les États du Golfe, dont certains ont mené une coopération en matière de sécurité avec Israël.
Le moment de sa menace était tout sauf une coïncidence. Il est venu au milieu de rapports selon lesquels l’administration Biden progresse vers la conclusion d’un nouvel accord avec les mollahs de Téhéran.
En bref, les mollahs envoient un message aux alliés de l’Amérique dans le monde arabe que s’ils croient pouvoir faire confiance à l’administration Biden pour les protéger contre les plans expansionnistes de l’Iran ou pour préserver leur sécurité et leur stabilité, ils se trompent gravement.
S’adressant aux alliés arabes de l’Amérique, Tangsiri les a avertis de ne pas permettre aux États-Unis ou à tout autre pays étranger d’utiliser leurs pays comme bases pour des opérations militaires et de sécurité.
Tout pays qui ignore l’avertissement, a déclaré Tangsiri , « payera le prix de son comportement hostile et provocateur ». Le CGRI, a-t-il averti, est prêt « à mener à bien toute mission pour préserver les intérêts de la République islamique d’Iran et de son peuple héroïque ».
Pendant ce temps, les mollahs tentent d’ouvrir un nouveau front de bataille contre Israël, cette fois en Cisjordanie.
L’Iran a déjà ses propres mandataires dans la bande de Gaza : le Hamas et le Jihad islamique. Au Liban, les mollahs ont la milice terroriste du Hezbollah, qui y a créé un État dans l’État et continue également de proférer des menaces d’attaquer Israël.
Les trois groupes terroristes – le Hamas, le Jihad islamique et le Hezbollah – lancent depuis trois décennies des attaques terroristes contre Israël depuis le Liban et la bande de Gaza.
Les mollahs semblent tellement enhardis par la faiblesse de l’administration Biden qu’ils parlent maintenant ouvertement d’utiliser la Cisjordanie comme rampe de lancement pour attaquer Israël et tuer des Juifs.
Le commandant du CGRI, le général de division Hossein Salami, a révélé que l’Iran travaillait avec le Hamas et le Jihad islamique pour étendre leurs attaques terroristes de la bande de Gaza à la Cisjordanie. Le but : mener une guerre d’usure contre Israël. Les deux groupes ont déjà une forte présence militaire en Cisjordanie, notamment dans les villes de Jénine et de Naplouse, qui sont gouvernées par l’Autorité palestinienne.
« Gaza n’est pas le seul champ de résistance et de lutte, mais cette lutte s’est également déplacée vers la Cisjordanie », a déclaré Salami , laissant entendre que les mollahs fournissaient des armes aux Palestiniens en Cisjordanie.
« Tout comme Gaza a été armé [par l’Iran], la Cisjordanie peut être armée de la même manière, et ce processus se produira. Obtenir des armes est devenu beaucoup plus facile qu’auparavant. Il n’y a à aucun moment d’endroit sûr pour Israël et ses citoyens. . »
Il s’est vanté qu’un « grand nombre de sionistes » ont été tués dans des attentats terroristes par des terroristes palestiniens au cours des derniers mois et a souligné « la nécessité de poursuivre le djihad [la guerre sainte] » contre Israël.
Les Palestiniens, a ajouté Salami , « sont désormais capables de cibler n’importe quel point de l’entité sioniste, et cela signifie qu’il n’y a pas d’endroit sûr où les sionistes peuvent les protéger des tirs palestiniens. Les Palestiniens ont réalisé qui sont leurs vrais amis [l’Iran] . »
Il a déclaré que le Hezbollah était également prêt à rejoindre le combat contre Israël :
« Le Hezbollah, qui a acquis des expériences importantes pendant la guerre [civile] syrienne, peut mener une guerre terrestre et remporter la victoire… Les sionistes savent que la terre est libérée par les forces terrestres. »
Dans le cadre du plan des mollahs visant à lancer une nouvelle vague de terreur contre Israël, Salami a déclaré qu’il avait récemment rencontré à Téhéran le secrétaire général du Jihad islamique, Ziyad al-Nakhalah, et discuté avec lui « de la désintégration et de l’érosion des capacités des sionistes. «
Sous la pression du régime iranien, des représentants du Hamas et du Jihad islamique ont tenu une réunion dans la bande de Gaza en début de semaine pour discuter des moyens d’intensifier la « résistance » contre Israël.
La rencontre s’est déroulée au milieu de rapports faisant état de tensions entre les deux groupes terroristes à la suite de l’échec du Hamas à se joindre aux récents combats de trois jours entre Israël et le Jihad islamique. Le Jihad islamique et l’Iran seraient déçus par les terroristes du Hamas qui ne sont pas venus au secours de leurs frères du Jihad islamique lors des combats avec Israël.
Le Hamas n’a pas rejoint les combats, apparemment de peur d’être durement touché par Israël. Le Hamas semble craindre de perdre le contrôle de la bande de Gaza s’il s’engage dans une autre guerre avec Israël, en particulier à la lumière des lourdes pertes subies par le groupe et de nombreux habitants de la bande de Gaza lors des précédentes séries d’attaques contre Israël.
Dans une tentative d’apaiser leurs maîtres à Téhéran, le Hamas et le Jihad islamique ont publié une déclaration commune après la réunion dans laquelle ils se sont engagés à intensifier la « lutte armée » contre Israël « jusqu’à la libération [de toute la Palestine, du Jourdain au la mer Méditerranée] », un euphémisme pour la destruction d’Israël.
Les menaces du CGRI contre Israël et les alliés arabes de l’Amérique devraient être suffisantes pour empêcher l’administration Biden de céder à la demande des mollahs de retirer le groupe de la liste des organisations terroristes étrangères.
Ces menaces, en outre, devraient servir de rappel à l’administration Biden des stratagèmes sanglants de l’Iran contre Israël et les pays arabes. Quiconque pense que les mollahs abandonneront leurs plans après la signature d’un nouvel accord sur le nucléaire se trompe lui-même. Le contraire est vrai : l’apaisement ne fera que renforcer davantage les mollahs et leurs mandataires, et mettra encore plus en péril la vie des Arabes et des Juifs.
Khaled Abu Toameh
Khaled Abu Toameh est un journaliste primé basé à Jérusalem.
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Et bien sûr, Israël va sagement rester les bras croisés à attendre que les fous pétris « d Amour et de Paix » déclenchent les hostilités….???
Attention aux excès d’assurance en soi…Le retour du bâton risque de leur être fatal.