Le BNVCA, présent lors de la Cérémonie commémorative du 40ème anniversaire de l’attentat de la Rue des Rosiers, constate que cet attentat antisémite, qui a fait six morts et 22 blessés au cœur du quartier juif du Marais, avait déjà un mobile antisioniste.
Antisionisme et antisémitisme étaient déjà les deux faces de la même pièce.
40 ans après les faits, le BNVCA s’interroge sur l’absence de procès et sur l’extradition de deux membres du commando Abou Nidal, dont l’un vit toujours à Ramallah, sous la protection d’Abou Mazen.
Le BNVCA est scandalisé par l’attitude de l’ancien patron de la DST ou Direction de la surveillance du territoire, M. Yves Bonnet, qui, sacrifiant les citoyens de confession juive pour acheter une hypothétique paix sociale, a conclu un accord perfide avec les terroristes. Ajoutant au malheur, le déshonneur.
Il est temps que la France répare et fasse que la justice passe pour les terroristes assassins antisionistes et antisémites. Le BNVCA, à l’heure où l’Assemblée nationale voit sur ses bancs des députés signer un projet de résolution antisioniste et antisémite, attend que les leçons de l’attentat de la Rue des Rosiers soient enfin assorties d’actes forts qui condamnent et répriment les discours antisionistes et anti-juifs.
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