Pour pouvoir suivre des cours à l’université en Israël, il faut passer des tests psychometriques.
Plus leurs résultats sont élevés, plus les possibilités d’études offertes sont nombreuses.
On demande à un arabe israelien un nombre moins important à ces tests.
Il a ainsi plus facilement accès à médecine par exemple qu’ un juif israélien, même si celui-ci est un nouvel immigrant.
Israël pays d’apartheid ?
Si un Juif veut étudier à Gaza.
Ah non pardon , il ne peut pas y pénétrer sous peine d’être lynché à mort.
En Israël, Juifs et Arabes se côtoient, vivent ensemble, travaillent ensemble, sont soignés dans les mêmes hôpitaux .
Voyagent dans les mêmes bus, les mêmes trams.
Israël pays d’apartheid ?
À Gaza, Juifs
Euh non, pas Juifs , on ne peut pas y rentrer sous peine d’être lynché à mort.
En Israël, n’importe qui peut se rendre sur les lieux saints du Judaïsme.
Tout ce qui concerne les lieux saints de l’Islam est inaccessible aux kouffars.
Israël pays d’apartheid ?
En Israël, il existe des miss arabes israéliennes, des présentateurs TV arabes israéliens, des hommes politiques arabes israéliens, des policiers arabes Israëliens …
Israël pays dapartheid ?
À Gaza, il n’existe aucun Juifs hormis 3:
2 soldats morts dont les corps n’ont toujours pas été restitués aux familles car l’autorité palestinienne le refuse et un jeune handicapé retenu en otage.
En Israël, même quand un terroriste attaque, on ne le tue pas .
On le neutralise, on le soigne s’il est blessé aussi bien que ses victimes s’il ne les a pas achevées avant .
À Gaza, on arme les enfants dès leur plus jeune âge et on leur enseigne le djihad.
Quant aux Juifs soignés à Gaza , on préfère les tuer.
En Israël, chacun est libre dans son culte et dans sa vie.
Les foulards vont croiser les hijab sans aucun souci .
Les micro-jupes vont déambuler près de jupes tornados .
Les homosexuels, les hétérosexuels, les bi … font partie du paysage israélien.
À Gaza, la dernière Gay pride a eu lieu…
Non en fait , il n’y a même pas eu de première.
Israël pays d’apartheid ou Nupes a juste des forts relents d’antisémitisme primaire ?
© Esther Grinberg
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