
Ce jour-là, Vincent Lindon nous offrit une puissante lecture d’un extrait de la pièce « Cellule 107 ». Un passage bouleversant dans lequel Robert Badinter imagine un dialogue entre Pierre Laval et le fantôme d’une de ses victimes.

Ce jour-là, Vincent Lindon nous offrit une puissante lecture d’un extrait de la pièce « Cellule 107 ». Un passage bouleversant dans lequel Robert Badinter imagine un dialogue entre Pierre Laval et le fantôme d’une de ses victimes.