Maintenant, si je puis me permettre, j’ai un petit « love conseil » pour Johnny Depp.
Cher Jo, arrêtez la cocaïne, l’alcool, les antidouleurs, la MDMA, et surtout les actrices de moins de trente ans qui s’appellent « Ambre » par exemple.
N’hésitez pas, désormais, à jeter un oeil à Jacky, cette conseillère bancaire de 54 ans assise 6 jours sur 7 derrière son guichet et qui vous adore, ou à Kelly, cette institutrice du Kentucky qui a pris un peu de poids avec la ménopause et pour laquelle vous serez une oasis de détente à l’issue d’une journée de pédagogie avec des CM1.
Ça nous fera des vacances, à vous et à moi.
Je me suis épuisée à suivre chacun des rebondissements de votre procès et je vous préviens, je ne serai pas toujours là pour assurer votre défense dans les diners en ville.
Bien cordialement.
Sève.
© Severine Servat
Merci à Mr T
Je n’ai pas trop compris le sens de cet article. Pour une fois qu’un procès de ce style porte un véritable intérêt sociétal (notamment en faisant rager les feminazies mises en face de leurs contradictions et du caractère abject de leur discours) soyons du bon côté : celui de Johnny.
Merci à J. Depp et son équipe d’avocats (remarquable Camille) de faire avancer la société et de dévoiler l’abjection des neo féministes (et non pas féministes).