Dites à Mr Kalifat, Pt du CRIF, de lire comme un grand les tweets antisémites de Kheniche

Dites à Mr Kalifat que les tweets antisémites du tueur présumé sont partout

Invité hier au micro de Laurence Goldmann sur RCJ, Mr Francis Kalifat, venu pour évoquer l’actu comme il le fait à raison tous les mois, se retrouve forcément interrogé sur la tragédie qui coûta la vie de la manière la plus barbare qui soit à René Hadjadj.

Certes, on note une évolution: le CRIF, qui enjoignait de ne pas « tirer de conclusions hâtives », en arrive, sous la pression de la Société juive d eFrance, à demander gentiment que la qualification aggravante « antisémitisme » soit retenue, « quitte », dit-il, « à la retirer ensuite ».

Mr Kalifat explique que la chose permettrait d’avoir accès au dossier.

Aidons Mr Kalifat et redisons-lui que les tweets compulsifs de Rachid Kheniche ne font aucun doute concernant sa judéophobie obsessionnelle et qu’ils sont consultables par tous via le lien ci-dessous.

https://t.co/eAdw6GjAhE

Qu’il cesse de « ramer ».

Qu’il assume.

Qu’il assure.

La société juive de France et la France le regardent.

Sarah Cattan avec Le Collectif des Vigilants

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6 Comments

    • Bonjour,
      Le CRIF a peur tout simplement et n’a pas le courage de défendre sa communauté. Il a œuvré contre Zemmour par peur aussi de ne plus avoir de subventions qui ont largement enrichi ses membres et a donné l’ordre de ne pas voter pour le seul qui aurait pu défendre les juifs contre l’islamiste. Que propose donc cette association peureuse ? Taire le problème pour éviter que les restants de juifs dans ce quartier soit épargné ? Se cacher c’est ce que propose son président et pourquoi pas changer de nom et de religion ? Il dit ne pas être certain de l’antisémitisme mais il se moque de qui au juste ? Mon père s’est battu pour la création de l’état d’Israël en 48 et il a montré plus de courage que ce cher président !

      • S’il ne veut pas que tous les Français juifs âgés et seuls finissent défenestrés ou encore poignardés comme Mme Knoll, il est temps pour le C.R.I.F. de réagir pour les protéger ! Ces meurtres particulièrement lâches et abjects, de personnes vulnérables et commis par des individus ayant fait la preuve de leur antisémitisme par leurs propos et leurs écrits ne peuvent et ne doivent absolument pas être considérés comme de banals faits divers.

  1. Judith dit que selon le Crif il ne faut pas faire de vague. Est bien pour cette raison-là ou parce qu’elle est sidérante, qu’aucun média, et pas même TJ, n’a voulu prendre le risque, s’il y en avait un (?), de répercuter l’info que je mes suis permis de communiquer hier à « What’s-Up Doc » de façon très résumée : < de : « contact@whatsupdoc-lemag.fr »
    > à : cretien.pierre@orange.fr
    > objet : Télécharger gratuitement le Guide du classement CHU et spé 2021-22

  2. Judith dit que selon le Crif il ne faut pas faire de vague. Est bien pour cette raison-là ou parce qu’elle est sidérante, qu’aucun média, et pas même TJ, n’a voulu prendre le risque, s’il y en avait un (?), de répercuter l’info que je mes suis permis de communiquer hier à « What’s-Up Doc » de façon très résumée : Hospitalisé d’urgence depuis six semaines sur le diagnostic clinique de sclérose combinée de la moelle, l’état de mon père s’était dégradé à tel point que le soir du lundi 11 septembre 1990, il était mourant.
    En octobre 1961, dans le Grand Amphithéâtre de la Faculté de Médecine de Paris au 45, rue des Saints-Pères, lors de la leçon inaugurale aux étudiants en médecine de première année, le professeur Henri Péquignot nous avait fait savoir que : « le plus difficile n’est pas de faire un diagnostic, mais de faire un pronostic », et nous demanda de toujours se rappeler “que la clinique prime le laboratoire”.
    Et 29 ans plus tard, en 1990, il s’est trouvé que mon père a été transféré le 22 août à l’hôpital Charles Foix depuis le Service de neurologie de l’hôpital Bicêtre.
    Il y occupait, m’avait-on expliqué, depuis 3 semaines sans profit et donc inutilement un coûteux Service de spécialité.
    En 1990, au milieu du mois d’août, j’avais eu beau rappeler au Chef de clinique, le docteur Pascal Masnou, ce que nous avait enseigné le professeur Péquignot face au pronostic péjoratif qu’il m’annonçait, que mon père était « de toute façon voué à une inéluctable plus grande aggravation » et « qu’il valait mieux, pour lui comme pour moi, qu’il ne survive pas très longtemps à l’état où il se trouvait » (définit sur le CR d’hospitalisation qui m’a été remis comme une “ATTEINTE DIFFUSE DU SYSTÈME NERVEUX”), mon père est sorti un mois plus tard vivant d’un coma carus, un coma qui avait effectivement failli justifier le pronostic du docteur Masnou: il s’en était fallu de quelques secondes et d’une chance inouïe pour que ce coma n’ait été terminal, et donne ainsi raison au docteur Masnou (voir comment et pourquoi dans les articles cités infra )
    Mon père s’est remis debout et a pu refaire tout seul son lit trois semaines après et regagner rapidement 30/30 au MMSE grâce à une vitaminothérapie B12 intensive administrée en urgence bien que celle-ci ait été très et trop tardivement mise en route par moi dans la soirée du 11 septembre (voir comment-pourquoi et dans quelles circonstances dans les derniers articles du BLOG DE LEON j’ai 14 ans après les faits été accusé par la direction de l’hôpital Bicêtre, c’est-à-dire en fait par celle de l’AP-HP « d’avoir moi-même sciemment ‘fabriqué la alaie de mon père par antisémitisme » alors qu’à ma connaissance mon père n’était pas juif : « Le mourant a porté plainte » et « Le cold case de l’AP-HP » en passant par « Une affaire à ne pas ébruiter » et quelques autres articles de ce blog)

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  1. France: Dangerous for Jews – Allah's Willing Executioners

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