Alors qu’elle couvrait une opération anti-terroriste de l’armée de défense d’Israël, “Abu Aleh”, journaliste palestino-américaine travaillant pour la chaîne qatarie Al Jazeera, a été tuée d’une balle dans la tête.
Bien qu’en état de guerre, l’armée israélienne accepte de mutualiser les informations avec l’Autorité palestinienne (AP), qui la refuse !
Quelques éléments de la partie arabe sont suffisamment suspects pour être listés.
1- La collaboration d’une armée (Israël) avec un partenaire de paix (AP) au comportement ennemi et hostile est une exception de l’Histoire universelle en général et de l’Histoire des relations internationales en particulier. Le moins qui puisse être regretté est qu’Israël, comme dans l’ensemble de ses relations diplomatiques avec le “monde arabe” est loin d’être récompensé !
2- La journaliste appartenait à la chaîne qatarie Al Jazeera (L’Île). Le Qatar est un pays arabe qui ne reconnaît pas à Israël le droit d’exister, qui appartient à l’ensemble des organisations hostiles à Israël (Ligue des Etats arabes, etc.), qui participe et initie les votes systématiques et politiques contre Israël à l’ONU et dans les organisations internationales, qui finance et arme de nombreuses organisations terroristes, y compris celles condamnées par l’ONU, qui opprime son propre peuple par des institutions monarchiques de Droit divin, autoritaires, autocratiques et théocratiques.
En un mot, le Qatar est un Etat “peu recommandable” en termes de libertés publiques et privées, de droits humains et de paix dans le monde.
3- La journaliste tuée au service professionnel de la dictature qatarie, dans un cadre permanent hostile à Israël, connaissait la nature éthique de son employeur et du Qatar. Elle ne pouvait de son vivant se prévaloir de quelque neutralité que ce soit, d’autant moins que son employeur comme elle-même refusaient la reconnaissance de l’Etat hébreu.
4- L’hypermédiatisation de la mort de la journaliste est une spécialité de l’AP relayée par la majorité des journalistes européens, arabes et musulmans qui bénéficient des “subsides” et autres emplois de la solidarité de la haine financée entre autres par le Qatar, notamment par le biais d’al Jazeera.
Une enquête internationale relative à l’indépendance et aux garanties vitales des journalistes qataris serait la bienvenue.
Sans exonération aucune du cas de la journaliste considérée, il faut remarquer que des journalistes sont tués dans le monde sans aucune ou avec une médiatisation minimale.
5- Les organisations internationales (ONU, Union européenne, etc.) ont opté pour une indulgence et une solidarité exceptionnelle à l’endroit des Palestiniens arabes (UNRWA, etc.) sans contrepartie aucune. Elles ne se soucient nullement de la dictature belliciste, anti-israélienne et antisémite de l’AP qui opprime son peuple, organise la guerre constante avec Israël, tire les avantages matériels consentis par Jérusalem (finances, fiduciaires, matières premières, etc.).
C’est donc en pleine “bonne conscience” et en disposant d’un avantage d’honnêteté que les soupçons sont à nouveau jetés contre Israël.
6- Parallèlement, Jérusalem se voit refuser toute enquête conjointe et surtout la production de la balle détenue par le camp de la journaliste qui permettrait, telle une ADN, de déterminer brièvement et sûrement l’origine de la balle.
Cette origine, que la partie arabe affirme -sans en produire la preuve ni commencement de preuve- être d’origine balistique israélienne est peut-être d’origine palestinienne.
Ni la nature dictatoriale, belliciste, anti-israélienne, antisémite et favorable à la terreur du Qatar et de l’AP ne permet de créditer l’argument palestinien incriminant d’office et sans preuve Israël de la mort de la journaliste.
7- Le refus de produire la preuve prive le décès de la journaliste de toute enquête impartiale et colonise la justice internationale par des méthodes habituelles des dictatures judiciaires.
8- En toute hypothèse, le refus de produire la balle pour déterminer les responsabilités dans le respect du Droit général, de la victime et des parties relève de la grossièreté habituelle des régimes autoritaires fonctionnant hors du Droit des personnes et des peuples.
Dans n’importe quel dossier identique ou similaire, le refus de présenter la preuve essentielle et obligatoire serait considéré comme une allégation mensongère et diffamatoire.
Hélas pour le Droit international et la dignité des peuples, les dictatures ont capturé les organisations internationales, disposent de finances illimitées et de pouvoirs médiatiques qui piquent l’Etat hébreu tant qu’ils le peuvent.
In fine, et compte tenu du dossier exposé, le refus de production de la preuve constitue une entrave au bon déroulement de la procédure de police et de justice. Il innocente l’armée israélienne qui a toute latitude de se retourner contre l’accusation pour diffamation.
Toutes autres vociférations illustrent la bestialité des opposants au Droit. Elles mettent en relief le caractère démocratique et respectueux du Droit de Jérusalem dont l’attitude juridique est aux antipodes de ses contradicteurs !
© Pierre Saba
Leur refus est un aveu de culpabilité il est inutile de discuter. C’est un peuple inventé par la KGB, qu’il s’allie à Poutine
Une journaliste travaillant pour une chaîne qatarie couvre des événements qui ont lieu en Israël. Une journaliste d’une chaîne israélienne pourrait-elle couvrir, par exemple, les événements liés au hirak en Algérie ?… ou dans certains autres pays aux conceptions démocratiques un peu particulières ?
Ils sont bien capables de produire une douille de balles israéliennes, afin de faire valider par les médias anti israéliens la responsabilité de Tsahal.
Pour une transparence totale, il aurait fallut une autopsie menée par des légistes neutres, mais en présence des accusateurs et des accusés, sinon le dossier doit être classé sans suite aux torts uniques des accusateurs. !