Les images du terroriste en train de fumer une cigarette qui lui a été donnée par les forces de sécurité après son arrestation ont déclenché en Israël et sur la toile en général une polémique puissante: Dans quel genre de pays vivons-nous, demanda la journaliste Ariela Sternbuch alors qu’elle quittait la maison de l’enfant de 6 ans qui assista à l’assassinat de son père: c’est que l’image circulait à travers le pays, montrant un des sauvages qui tua à coups de hache, en train de … fumer ladite cigarette.
Il se dit que la scène a réjoui l’ennemi qui en conclut à la faiblesse juive, les critiques allant jusqu’à parler d’héritage de l’esprit shoatique où les juifs sont imaginés marchant sans résister vers les fours crématoires, et évoquant un encouragement à la terreur.
Ce n’est pas de la pitié, c’est un soutien au terrorisme, un pardon qui enseigne la faiblesse. Et la faiblesse engendre le meurtre, tweete un député, alors que d’autres, s’ils veulent bien y voir une « tactique d’interrogatoire visant à installer la confiance », ne peuvent ignorer une insulte aux familles des victimes et exiger d’autres moyens d’extraire des informations.
Pas du tout.C’est un « truc » ancien et eprouve,pour commencer un interrogatoire dans de bonnes conditions.Pas la peine d’extrapoler,on peut se renseigner a son commissariat local.
Et ces meurttiers peuvent en dire beaucoup a nos services de securite- ce qu’ils n’auraient pas fait si on les avait abattus.
C’est plutôt surprenant comme méthode. On peut leur servir à boire aussi, pourquoi pas, pour qu’ils se sentent encore plus détendus et à l’aise?
Entre ça et les abattre, il y peut-être un juste milieu.
Exactement. C´ est un paradoxe, on les abbats ou on leur donne des cigarettes. Ils peuvent donner des informations precieuses.