Quel immense culot que celui de Jean-Luc Mélenchon, idiot utile de l’islam politique, de revendiquer « l’élection » au poste de Premier ministre entre les deux tours de l’élection présidentielle.
A peine Emmanuel Macron réélu, celui qui a tout fait, et avec succès, pour être le candidat des musulmans (69 % des suffrages au premier tour de la présidentielle, selon un sondage de l’IFOP pour La Croix), prétend gouverner la France dans le cadre d’une cohabitation issue des élections législatives. Outre sa traitrise aux valeurs de la République, en particulier la laïcité, il est, comme le fut l’autre extrémiste Marine Le Pen, une véritable escroquerie économique. La France ne battant pas monnaie, Jean-Luc Mélenchon ne peut exiger ni de la Banque centrale européenne ni de ses 26 « partenaires de l’UE, que le contribuable européen finance ses utopies marxistes, si humanistes et socialement légitimes puissent-elles parfois être. Maximo Mélenchon croit qu’après avoir triomphé aux législatives et enfermé Macron dans son palais doré, il se rendra à Bruxelles et tapera du point (ou de sa chaussure, comme Khrouchtchev à l’ONU en 1960) sur la table européenne, exigeant que tous se plient à ses désidératas. Le vieux l’est trop pour y croire lui-même. Donc, il ment aux Français. Il n’aura jamais les moyens de ses ambitions, et s’il quitte l’UE et l’euro, la France connaîtrait un cataclysme économique qui la rapprochera de quelques modèles de notre autocrate islamogauchiste, Cuba ou le Venezuela, au hasard. Il ne lui restera donc qu’une solution : tondre les riches !
Philosophiquement, il y a du vrai dans l’approche de Jean-Luc Mélenchon : réduire significativement les écarts de revenus, créer une société plus solidaire, permettre au politique de maîtriser le capitalisme et le marché, mettre fin à l’élevage industriel et la maltraitance animalière, lutter contre toutes les injustices… C’est beau comme « Imagine » de John Lennon.
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