Jérémie Cohen par Fabrice Haccoun

80% des juifs de Seine Saint-Denis ont quitté le département dont la plupart des villes étaient administrées par les communistes.

Après avoir mené une épuration ethnique méthodique dans tout le monde arabo-musulman (qui est désormais vidé des juifs, pourtant présents dans ces territoires bien avant les invasions arabes et la création même de l’islam), c’est désormais aux juifs de France que ces lâches s’attaquent avec les mêmes conséquences puisque la population juive est passée de 650 000 à 450 000 âmes en quelques années.

Ils bénéficient pour cela de la complicité passive des pouvoirs publics toujours plus prompts à faire des déclarations à ce sujet qu’à agir. Comme ce n’est pas vraiment plus glorieux dans le reste du monde, les juifs se disent qu’ils pourraient se réfugier en Israël sauf que les mêmes leur contestent y compris le droit de posséder ce petit Etat qui subit un terrorisme que la presse française collaborationniste ose mettre entre guillemets quand elle le relate. Cette haine existentielle est, du fait de sa dimension essentielle, clairement assimilable au nazisme. Voilà ce à quoi nous devons faire face aujourd’hui. Cette réalité, beaucoup de français refusent de la voir alors même qu’ils ont pu constater que cela ne concernait pas que les juifs.

La gauche a réussi un coup de maître : paralyser toute action contre ces dégénérés en qualifiant immédiatement de raciste toute personne ou organisation qui souhaiterait traiter le mal à la racine. Les bourreaux sont même requalifiées en victimes. La perspective d’être qualifiés (à tort) de racistes semble faire plus peur aux français que celle de vivre sous le joug de ces nouveaux nazis. Churchill disait à propos de ceux qui refusaient d’arrêter Hitler : « vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur, vous aurez la guerre et le déshonneur ». Dont acte.

Fabrice Haccoun