Tribune Juive

Qualifier Zemmour de « Juif de service » sur Radio J? C’est possible

Selon le candidat vert Jadot, il y a une différence entre Jean-Marie Le Pen et Eric Zemmour, une différence « perverse »: Zemmour est juif

Séquence surréaliste lorsqu’on entendit le candidat Zemmour qualifié, sur Radio J, de « Juif de service » devant un Frédéric Haziza ravalant tout courage, n’arrêtant pas le Candidat vert qui avait assurément bien préparé son moment, croyant avoir trouvé de quoi faire enfin parler de lui.

Jusqu’à où oseront-ils ramener un candidat à la Présidentielle à sa judéité ?

La chose est trop tentante telle la plaie qu’on ne peut s’empêcher de gratter. Juif Juif Juif

Ils vont finir par tous nous obliger à nous poser aux côtés de celui qu’ils attaquent in fine moins pour ses idées que pour son identité : Juif Juif Juif

Si un Jadot se permet la chose, C’est qu’il sait qu’il lui en coûtera moins qu’il n’en récoltera de fruits.

Et Si Jadot se permet l’offense sur une radio juive, C’est encore qu’il sait à qui il parle : Frédéric Haziza est un courtisan de bas étage qui ne va pas lui intimer de se taire après avoir a minima retiré ses propos abjects : Juif Juif Juif. Et de service.

« Juif » décidément vous sera toujours opposé: Ecoutez plutôt

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Le raisonnement lui-même est tiré par les cheveux et ne vaut même plus qu’on s’y arrête, argument usé jusqu’à la corde avant même que Zemmour officialisât sa candidature, suspecté qu’il fut d’antisémitisme par le GRDF en personne et les soi-disant personnalités qui composent la Société juive de France et omettent, tout à leur indignation, de se demander qui sont les responsables d’une telle recomposition politique et la part qu’immanquablement chacun d’eux a jouée.

Avez-vous entendu La LICRA, SOS Racisme, le CRIF se positionner. SI! Francis Kalifat a parlé. Pour dire que Zemmour ne serait pas invité! Au dîner le plus perverti qui soit. Celui où les Laquais de l’Elysée seront tous de sortie pour applaudir un Président compromis une fois de plus par son silence honteux face au Rapport d’Amnesty.

Sarah Cattan

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