Paulette Touzard. « La Conscience » de Hugo pour dénoncer la mort de la conscience. Dénoncer pour Reconstruire: LICRA, Ressaisis-toi!

Questionnement d’une Survivante sauvée par les Justes parmi les Nations, Ceux qui ont su dire NON

Je me pose plusieurs questions.

Comment se fait-il que malgré une histoire séculaire de haine Antisémite viscérale, la vigilance paraît depuis si longtemps presque inexistante.

Comment se fait-il que malgré les traumatismes transmis par nos parents après la guerre, il semble impossible pour une grande majorité d’être capables de tirer les leçons du passé.

Combien de fois ai-je entendu : Cela suffit, Passons à autre chose, Il faut vivre maintenant. J’ai entendu cela trop souvent…

Et La lâcheté s’est installée, l’aveuglement s’est installé, l’individualité et le désintérêt aussi.

Comment se fait-il que la confiance des Ego surdimensionnés, faisant abstraction des ambitions politiques diverses, se dirige toujours vers ceux qui les trahiront le moment venu.

Comment se fait-il que ces mêmes personnages trahissent ceux qui,  au contraire, sont conscients des dangers qui menacent le peuple Juif.

Comment se fait-il qu‘ils ferment les yeux et les oreilles pour ne pas voir, ne pas entendre, ne pas écouter les Lanceurs d’alerte, les Résistants, les Militants qui œuvrent réellement pour des valeurs humanistes au niveau des actes afin de mettre en pratique ces discours qui restent trop souvent lettre morte.

                                 La raison pour laquelle je me pose toutes ces questions

La raison pour laquelle je me pose toutes ces questions est en relation avec les crimes Antisémites qui ont commencé il y a plusieurs années et perdurent aujourd’hui dans l’indifférence des médias.

Comment être surpris avec une telle lâcheté généralisée, la peur n’ayant jamais évité le danger, du résultat catastrophique autour de l’affaire Sarah Halimi.

Comment être surpris lorsque pendant des années il n’y a pas eu de résistance pour contrer le clientélisme avec le Frères Musulmans dont fait partie le Hamas. Malgré les agressions et les crimes, comment se fait-il que la prudence ne soit toujours pas de mise et que les flirts continuent dans toutes les organisations politiques, philosophiques et religieuses, Associations censées lutter pour les Droits de l’homme, toutes les formes de discrimination dont le racisme et l’antisémitisme, et… La fraternité Universelle

La Justice autour de l’extermination d’un médecin femme Française mais qui était Juive, qui faisait partie de ce peuple ayant transmis à l’Humanité le Commandement « Aime ton prochain comme toi-même », un Commandement repris par tous mais non respecté, ce peuple qui, malgré ses valeurs, reçoit tous les coups, cette Justice, donc,  n’a pas été rendue, grâce aussi à un silence médiatique assourdissant. Son criminel sera libre. Considéré par les psychiatres comme sain d’esprit, il pourra fumer du cannabis et continuer à tuer du Juif impunément, rejoignant ces criminels qui aujourd’hui se promènent en liberté alors que les humanistes qui luttent contre l’islamisme dans leur pays et se sont réfugiés en France parce qu’ils sont menacés de mort sont renvoyés avec leur famille vers la mort,  dans un même silence assourdissant.

Certaines décisions ont été prises par le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, telles la dissolution du CCIF, ces Frères Musulmans soutenus par toutes les Associations antiracistes, la LICRA compris, même si elle n’a pas fait appel à la suite des oppositions et indignations internes et externes, qui sont  censées se battre contre les extrémistes de tous bords, contre toutes les formes de discrimination, et qui crient haut et fort à qui veut bien les croire à l’Universalisme mais qui dans les faits ont soutenu ce mouvement Islamiste contre Georges Bensoussan. Georges Bensoussan, ce grand Historien, visionnaire, Humaniste, ce lanceur d’alerte avec son ouvrage « Les territoires perdus de la République », qu’il a dirigé et co écrit avec d’autres professeurs dont Barbara Lefebvre, ouvrage que j’ai présenté en 2005. Georges Bensoussan et son travail considérable contre l’antisémitisme ainsi que pour la Mémoire sur la « Shoah ».

Je pense aux Nazis et à leurs collaborateurs -dont l’état Français- qui n’ont jamais eu de problème de conscience.

Nous retrouvons le même phénomène  parmi certains  qui ont rejoint ces Associations pour des raisons diverses, en dehors de profiter de tremplins pour leurs ambitions personnelles, mais toujours sans scrupules  et problèmes de conscience nous renvoient à leurs véritables idéologies.

Nous revenons une nouvelle fois malheureusement à ce problème de conscience inexistant concernant aussi certains Juifs qui eux aussi ont soutenu l’impensable. Cela semble relever d’un questionnement psychiatrique susceptible de nous interroger sur les dangers que leur collaboration pourrait provoquer contre nous.

Le procès George Bensoussan , retentissant aussi d’injustice, a permis, contrairement à l’Affaire Sarah Halimi, d’obtenir de la part des Juges une Justice exemplaire, relaxes sans la moindre ambiguïté, ce qui prouve combien il est indispensable et urgent de revoir le fonctionnement de certaines Juridictions qui essaient de détourner les procédures pour des raisons pernicieuses.

Le réveil salutaire pourtant n’a pas eu lieu

Le réveil salutaire pourtant n’a pas eu lieu. Le départ de nos familles et amis pour Israël ou ailleurs aurait dû provoquer une réflexion, aurait dû générer cette résistance tant attendue avec des mobilisations massives, une lutte résolue contre les désinformations, une union , cette union qui fait la force afin de secouer la population, de l’amener à une véritable prise de conscience sur les dangers réels qui menacent l’humanité. 

Cette résistance n’a pas eu lieu, là où tous nous l’attendions…

Aujourd’hui, où en sommes-nous ?

Le spectacle qui s’offre à nous est éloquent et stupéfiant : au nom d’une supposée fraternité, beaucoup pactisent et sont devenus lâches et serviles, à seule fin d’ obtenir les faveurs de tel ou tel politique, quelque subvention de l’Etat, entre autres avantages, avec, en arrière-pensée pour certains, une stratégie et un objectif à peine masqués : réaliser leurs ambitions personnelles, conserver leur siège et leur pouvoir. Nous nous retrouvons alors une fois encore avec les mêmes discours sur les valeurs fondamentales de la République, la Laïcité, la Liberté, l’égalité ,  la fraternité et ainsi de suite, mais concrètement, au niveau des actes, en interne, la Démocratie a disparu, le niveau est en pleine régression, une soumission à toute épreuve est née, favorisant des décisions que nul ne contestera plus, en somme : une ingénieuse mise en place d’un système … totalitaire.

Ainsi, Gare à ceux qui essaieront de sauver les fondamentaux, la révocation et donc l’élimination sont devenus le maître mot venu illustrer la menace.

Oui ces questionnements sont en relation avec un phénomène de société, une société complètement déstabilisée, fragilisée, facilement endoctrinable.

Alors, Je reviens avec le Rhinocéros d’Eugène Ionesco. Je reviendrai aussi avec le poème de Hugo, La Conscience, pour dénoncer la mort de la conscience :

En effet, même si on nous chante que le CCIF a été dissous -alors qu’en réalité il a changé de vêtement ( voir l’inauguration du FORIF ), que le Hamas prospère et que l’égorgement de Samuel Paty a été possible, il est légitime de se demander où est passée la Conscience, lorsque je constate avec tristesse  les tentatives d’élimination de ceux qui respectent les fondamentaux en rendant hommage aux personnalités qui sont un exemple d’humanisme, de courage et de résistance au risque de leur vie, tel que Serge et Beate Klarsfeld, ainsi que celui tellement mérité à Georges Bensoussan, qui réclame de leur part une prise de conscience et une repentance exprimées par des excuses publiques, la question se pose sur la survivance de la Ligue avec sa première appellation contre les Pogroms.


Les auteurs de ces tentatives d’intimidation aujourd’hui et de révocation demain se sont-ils battus de 2017 à aujourd’hui pour que Justice soit rendue à Sarah Halimi ??? Ils ont brillé par leur silence, laissant un Meyer Habib isolé devenir, lui, un exemple pour tous. Un exemple de résistance.

C’était sans compter sur une énième lâcheté venue d’un Groupe parlementaire de la majorité : La rapporteure de la Commission d’enquête parlementaire mise en place par Meyer Habib, Florence Morlighem, la même qui a voulu prouver dans le Nord à quel point elle se sentait proche et solidaire des Juifs, m’a surprise au plus haut point. La connaissant personnellement, obtenant même ses encouragements, j’aurais pu lui donner le bénéfice du doute et penser qu’elle subissait des pressions. Mais ses réponses à mes interrogations m’ont immédiatement et définitivement éclairée, me faisant penser au double langage des Frères Musulmans, à croire que la takia est déjà intégrée dans la pratique de certains politiques, faite de mauvaise foi, de froideur, d’absence de compassion et de tout humanisme, illustrant en fin de compte un Antisémitisme insidieux que je n’avais pas décelé.

Nous connaissons en effet celui qui se situe au niveau des tripes et non du cerveau, mais il existe aussi celui-là, pernicieux car il se cache et se révèle selon les circonstances, surtout lorsqu’elles sont dramatiques. Nous nous retrouvons alors avec le bourreau qui se transforme en victime et essaye de transformer la victime en bourreau.

Le même phénomène s’observe avec Israël devenu le Juif à abattre. Meyer Habib, aux yeux de Florence Morliguem, est devenu son bourreau, elle le répète sans vergogne. Elle le crie sans conscience !!!

Oui, Je me répète, car cela me perturbe.  Les vidéos des auditions sur lesquelles elle aurait dû baser son rapport ne l’intéressent pas, alors que les protagonistes auditionnés sous serment nous disent clairement que les dysfonctionnements sont flagrants. Aucune prise en compte de sa part. Elle est ailleurs. En dépit de ces dysfonctionnements incontestables, ses amis et elle ont refusé catégoriquement de rencontrer les témoins, de se déplacer sur les lieux du crime, Elle s’est bien gardée de communiquer dans son rapport les récits des témoins traumatisés que l’on peut écouter et réécouter sur les vidéos du site de l’Assemblée nationale, elle s’est            aussi gardée d’évoquer la non-assistance à personne en danger de la part des policiers présents.

Au contraire, elle se victimise, menace de diffamation les journalistes qui contestent à raison un rapport non crédible.

Si les sept Députés de la Majorité présidentielle ont voté pour ce rapport non précis et incomplet, quelles en sont les raisons ?? Comment se fait-il qu’ils soient plus nombreux que les autres parlementaires ?? Il aurait été plus démocratique d’avoir une répartition autre et respectueuse de la Démocratie. Mais il ne restait que cinq Députés des autres partis qui purent voter en conscience contre ce rapport.

Après les Juifs, les autres suivront, personne ne sera épargné

En conclusion, nous pouvons constater que si tout cela donne la partie belle aux radicaux qui s’infiltrent avec aisance partout puisque la porte leur est grande ouverte, après les Juifs, les autres suivront, personne ne sera épargné en cas de désobéissance.

Nous pouvons être légitimement inquiets pour nos enfants, nos petits-enfants et futures générations.

Par contre, personne ne se soucie de ceux qui résistent et sont menacés de mort, en France et dans leur Pays. Au lieu de faire en sorte qu’ils puissent transmettre leurs valeurs humanistes aux jeunes générations qui se laissent facilement endoctriner par les fanatiques, ceux qui se réfugient en France terre d’asile sont renvoyés avec leurs familles à la mort dans un silence également médiatique.

Sans Résistance, il n’y aura pas de Justes parmi les Nations au moment de la catastrophe

Je ne sais pas combien de temps il me reste à vivre, mais je voudrais mettre en garde les familles contre ces dangers. Sans Résistance, il n’y aura pas de Justes parmi les nations au moment de la catastrophe,  car tout le monde sera concerné. Réfléchissez bien. Pensez aux jeunes générations. Est-ce monde-là dont vous avez rêvé pour vos enfants ???

© Paulette Touzard Dawidowicz


Paulette Touzard Dawidowicz fait partie d’une famille de militants qui se battait déjà en 1927. Elle est une enfant sauvée par les « Justes parmi les Nations », Ceux qui ont dit NON. Elle a voué son existence à ce travail de Mémoire.

Membre de la Fédération de la Licra Paris.  Ex Présidente de la Fédération régionale Licra Nord Picardie. Ex Membre des Conseils et Bureaux exécutifs de la Licra jusque Patrick Gaubert. Ex Membre de plusieurs Commissions. Présidente de l’Association pour la Mémoire des enfants Juifs déportés de Lille Métropole et Nord Pas de Calais.  Membre du bureau National du Comejd.  Membre des FFDJF présidé par Serge Klarsfeld.


La Concience

La conscience

Victor Hugo

Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes,
Echevelé, livide au milieu des tempêtes,
Caïn se fut enfui de devant Jéhovah,
Comme le soir tombait, l’homme sombre arriva
Au bas d’une montagne en une grande plaine ;
Sa femme fatiguée et ses fils hors d’haleine
Lui dirent : « Couchons-nous sur la terre, et dormons. »
Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts.
Ayant levé la tête, au fond des cieux funèbres,
Il vit un oeil, tout grand ouvert dans les ténèbres,
Et qui le regardait dans l’ombre fixement.
« Je suis trop près », dit-il avec un tremblement.
Il réveilla ses fils dormant, sa femme lasse,
Et se remit à fuir sinistre dans l’espace.
Il marcha trente jours, il marcha trente nuits.
Il allait, muet, pâle et frémissant aux bruits,
Furtif, sans regarder derrière lui, sans trêve,
Sans repos, sans sommeil; il atteignit la grève
Des mers dans le pays qui fut depuis Assur.
« Arrêtons-nous, dit-il, car cet asile est sûr.
Restons-y. Nous avons du monde atteint les bornes. »
Et, comme il s’asseyait, il vit dans les cieux mornes
L’oeil à la même place au fond de l’horizon.
Alors il tressaillit en proie au noir frisson.
« Cachez-moi ! » cria-t-il; et, le doigt sur la bouche,
Tous ses fils regardaient trembler l’aïeul farouche.
Caïn dit à Jabel, père de ceux qui vont
Sous des tentes de poil dans le désert profond :
« Etends de ce côté la toile de la tente. »
Et l’on développa la muraille flottante ;
Et, quand on l’eut fixée avec des poids de plomb :
« Vous ne voyez plus rien ? » dit Tsilla, l’enfant blond,
La fille de ses Fils, douce comme l’aurore ;
Et Caïn répondit : « je vois cet oeil encore ! »
Jubal, père de ceux qui passent dans les bourgs
Soufflant dans des clairons et frappant des tambours,
Cria : « je saurai bien construire une barrière. »
Il fit un mur de bronze et mit Caïn derrière.
Et Caïn dit « Cet oeil me regarde toujours ! »
Hénoch dit : « Il faut faire une enceinte de tours
Si terrible, que rien ne puisse approcher d’elle.
Bâtissons une ville avec sa citadelle,
Bâtissons une ville, et nous la fermerons. »
Alors Tubalcaïn, père des forgerons,
Construisit une ville énorme et surhumaine.
Pendant qu’il travaillait, ses frères, dans la plaine,
Chassaient les fils d’Enos et les enfants de Seth ;
Et l’on crevait les yeux à quiconque passait ;
Et, le soir, on lançait des flèches aux étoiles.
Le granit remplaça la tente aux murs de toiles,
On lia chaque bloc avec des noeuds de fer,
Et la ville semblait une ville d’enfer ;
L’ombre des tours faisait la nuit dans les campagnes ;
Ils donnèrent aux murs l’épaisseur des montagnes ;
Sur la porte on grava : « Défense à Dieu d’entrer. »
Quand ils eurent fini de clore et de murer,
On mit l’aïeul au centre en une tour de pierre ;
Et lui restait lugubre et hagard. « Ô mon père !
L’oeil a-t-il disparu ? » dit en tremblant Tsilla.
Et Caïn répondit :  » Non, il est toujours là. »
Alors il dit: « je veux habiter sous la terre
Comme dans son sépulcre un homme solitaire ;
Rien ne me verra plus, je ne verrai plus rien. »
On fit donc une fosse, et Caïn dit « C’est bien ! »
Puis il descendit seul sous cette voûte sombre.
Quand il se fut assis sur sa chaise dans l’ombre
Et qu’on eut sur son front fermé le souterrain,
L’oeil était dans la tombe et regardait Caïn.

Victor Hugo

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5 Comments

    • Bonjour. Pas plus tard que cette semaine j’ai effectivement : dénoncé la… LICRA, auprès de la Direction de la Mémoire, du Patrimoine et des Archives’.
      Dans le cadre d’une recherche sur Joséphine Baker j’ai eu la stupéfaction de découvrir ce qui suit (sur https://www.licra.org/josephine-baker-au-pantheon) à propos du célèbre incident du ‘Stork Club’ qui mit un terme à la carrière de l’actrice et lui valut des ennuis à n’en pas finir avec les autorités US :

      « Le 16 octobre 1951, elle décide de dîner à New-York dans un restaurant fréquenté par la haute société, le « Stork Club ».
      Malgré sa notoriété, l’équipe du lieu l’ignore ouvertement et ne lui amène pas le plat qu’elle a commandé.
      Comprenant ce qu’il se passe, elle se tourne vers un journaliste très puissant présent lui aussi dans la salle le même soir, Walter Winchell qui contacte immédiatement son avocat américain, secrétaire de direction de la NAACP (La National Association for the Advancement of Colored People), l’association nationale pour la promotion des gens de couleur, organisation américaine de défense des droits civiques ».

      S’agissant d’un épisode qui figure dans toutes les biographies il suffira de rappeler que c’est ici le… contraire, qui est vrai :
      1) ce fut… Joséphine, qui aussitôt alerta la NAACP
      2) ce fut… elle qui ensuite rendit public le… comportement de lâcheté de Winchell, qui témoin de la scène s’était éclipsé
      3) et ce fut lui qui fut traîné en justice -encore heureux- pour l’avoir qualifiée de pro-communiste, pro-fasciste, anti-américaine, anti-Noirs et même… antisémite

      Et tout ça : parce que la LICRA, qui décidément choisit mal ses amis, tente ici de sauver la mise au juif mac-carthyste Winchell…
      Bernard Lecache, réveille-toi, ils sont devenus fous !

  1. Dans l’Affaire Sarah Halimi, la politique est venue au secours de l’antisémitisme.
    À une semaine du 2ème tour des présidentielles, l’immense machine médiatico-juridico-politique des mondialisateurs au pouvoir a imposé une chappe de plomb sur ce crime pour assurer l’élection de Macron. Ensuite, il fallait bétonner cette omission. Crime raciste, mais occulté et protégé par le politique.
    Souhaitons que l’oeil de Caïn soit de retour à l’occasion des prochaines élections.

    • « Crime raciste cculte et protégé par la politique »…Oui, comme tant d’autres ! L’affaire Sarah Halimi n’est que la partie émergée de l’iceberg. C’est tout un système qu’il faudrait éradiquer : l' »antiracisme » et le vivrensemblisme constituent le véritable racisme d’État.

  2. @ Yann K.

    Vous avez raison. Mais la Licra existe et a une certaine influence. Il serait bon qu ‘ elle soit réformée car semble-t-il elle agit parfois sous la pression des thèses islamo-gauchistes.
    Du texte il ressort que Mme Paulette Touzard Dawidowicz souhaite des évolutions au sein de la Licra et non sa disparition.
    Il semble que des sections locales de la Licra montrent le chemin à suivre.

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