Cyril Bennasar démonte tous les clichés invoqués contre le zemmourisme
Face aux tombereaux de mensonges et de calomnies sous lesquels on tente d’ensevelir Eric Zemmour, un peu de pédagogie – et beaucoup de bonne foi – s’imposent pour comprendre son discours de vérité.
Il ne suffit plus de vaincre ses ennemis, il faut convaincre ses amis
Longtemps je me suis cru démocrate. À présent, j’ai des doutes. Dans notre République où un chef ne peut plus sortir que des urnes, pour sauver le pays de l’islamisation, du déclin et de la tiers-mondisation, il faut persuader une majorité de votants de ne pas se tromper de candidat. Devant la difficulté de la tâche, je suis parfois nostalgique d’une époque où, pour que la France reste une nation libre, il suffisait de vaincre ses ennemis. Aujourd’hui, en campagne, on ne risque plus de périr fendu en deux par un cimeterre ou torturé par la Gestapo, mais on est condamné à convaincre ses amis. On ne meurt plus au champ d’honneur mais on peut devenir fou de rage et de désespoir, à ramer pour essayer d’ouvrir les yeux de ces malcomprenants qu’influencent les malveillants.
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NON. Il n’y a RIEN de cérébral et d’analytique dans le discours zemmourien ; tout y est viscéral et affectif.
AUCUN historien digne de ce nom ne le considère comme un confrère.
Rappelons Karl Marx : « les bourgeois se souviendront de mes furoncles ».
Lucide, Marx reconnaissait que son analyse du capitalisme, aussi cérébrale, érudite et brillante qu’elle fut, était fondamentalement due à des souffrances personnelles inavouables. C’était un cri de douleur sublimé en théorie socio-économique par une intelligence hors normes.
Zemmour n’a pas la qualité de le reconnaitre. Or, de manière évidente, il n’exprime rien d’autre qu’un profond malaise identitaire.
Voyez sur Agoravox un court article intitulé « Zemmour, Juif ? ».
C’est, entre autres, une analogie pseudo-freudienne de Zemmour Œdipe et de ses cris d’amour déraisonnable et immodéré pour sa Maman France, d’autant plus tonitruants qu’elle n’est qu’adoptive.
Et sa pulsion meurtrière à l’égard de Papa judéité (à ne pas confondre avec Judaïsme) qui représente, comme le digne père qu’il est, l’interdit : « Maman ne t’appartient pas… »
Sans oublier son physique ; il annonce ses origines. Zemmour est un Juif arabe.
Il me fait furieusement penser aux Chibanis, ces vieux maghrébins qui, après avoir travaillé des décennies en France y ont pris la retraite.
On n’en voit guère ; mais jadis ils avaient des lieux de ralliements, des cafés…
RIEN de péjoratif à avoir une tête d’Arabe ; mais LUI ne peut le supporter.
D’où sa prétention aux origines « berbères » ; mais des VRAIS historiens spécialistes de l’Algérie (comme Benjamin Stora), connaissant son environnement familial, en doutent fortement…
La francité de Zemmour a l’épaisseur du document d’Etat Civil qui en atteste.
Ses choix de vie, vraiment importants, vraiment personnels, ceux qu’il tente de faire oublier sous le parapluie galvaudé « vie privée », en sont la preuve.
Son épouse, mère de ses trois enfants, est juive d’origine tunisienne.
Sa conseillère « très proche », de 35 ans sa cadette et qui porte, nous dit-on, son enfant, est d’origine juive algérienne comme lui. Hasard? Coïncidence?
Né Dupont-Durand de vielle souche gauloise il brandirait sans doute le drapeau tricolore beaucoup moins…
Le « mystère » Zemmour s’explique donc par la psychologie.
Auquel cas, quel intérêt d’attribuer une valeur quelconque à sa logorrhée ?
Après tout, même Marx s’est trompé dans les grandes largeurs.
Tout ce galimatias pour dire : Zemmour est juif donc il n’a aucun droit à penser comme un vrai français ! C’est un commentaire sans valeur . Retournez au sirtaki mon cher Zorba!