Evènement: “L’Affaire Sarah Halimi ou L’Eradication du Sujet”, Ouvrage collectif sous la direction de Michel Gad Wolkowicz et publié chez David Reinharc Editions
Lorsque l’Arrêt concernant l’Affaire Sarah Halimi fut rendu par la Cour de Cassation, confirmant l’abolition du discernement de son meurtrier et prétendant mettre un terme à toute forme de procès, Michel Gad Wolkowicz parla[1] “d’esquive institutionnelle à la signification révoltante mais surtout extrêmement grave: Ce jugement, nous dit-il, après une faillite déterminée de l’Instruction, et qui objective les délires meurtriers, devrait évidemment constituer un événement sociétal, culturel, politique national majeur…“
Circulez, il n’y a rien à voir ! Les instances, dans une posture répétitive, venaient de faire d’un attentat islamiste un simple fait divers. La justice s’était empressée de psychiatriser l’assassin qui, hospitalisé depuis, et sans traitement, devrait sortir en pleine liberté prochainement.
4 ans après le colloque inaugural du séminaire Schibboleth organisé au Centre Rachi, Anatomie d’un meurtre, psychopathologie d’un silence: Halimi, le nom de personne, Michel Gad Wolkowicz nous proposa d’interroger la concordance de la décision de déresponsabilisation par les instances institutionnelles françaises de l’assassin de Sarah Halimi et la complaisance, voire le soutien de ces mêmes instances, politico-médiatiques, au groupe terroriste islamo-nazi Hamas qui mettait à l’œuvre son projet de massacre de masse à l’encontre des Juifs, nous amenant tous à réfléchir au sens plus large de l’omerta qui entoura – et entoure encore- l’Affaire Sarah Halimi et qu’il est impossible de ne pas rapprocher du négationnisme et du révisionnisme, consubstantiels de l’extermination du peuple juif.
Il nous invita à nous demander à quel moment de l’évolution de notre culture, de notre psyché collective nous en étions, en France, pour être Charlie à propos du Bataclan, de Nice, de Charly Hebdo et de l’HyperCacher concomitants, larmes et bougies comprises, mais plus du tout Charlie lorsqu’une femme juive à Paris, des enfants et leurs enseignants à Toulouse, et des millions d’israéliens étaient les objets de cette haine destructrice par les mêmes barbares fanatiques.
“L’Affaire Sarah Halimi ou L’Eradication du Sujet“, publié chez David REINHARC Editions
Sous la direction de Michel Gad WOLKOWICZ, des intellectuels, chercheurs, universitaires, auteurs, praticiens de référence, issus de champs de réflexion différents, se sont retrouvés afin de décrypter les signes, les symptômes et les problématiques qui affleurent sous l’expression de la défaillance des instances censées être garantes du Symbolique et de la démocratie et, partant, de la responsabilité du Sujet.
Boualem SANSAL, Georges BENSOUSSAN, Gilles-William GOLNADEL, Richard PRASQUIER, Sarah CATTAN, Daniel SIBONY, Jean-Pierre WINTER, Noémie HALIOUA, Steve SUISSA, Daniel DAYAN, Yves MAMOU, Elie CHOURAQUI, Monette VACQUIN, Jacques TARNERO, Claude BIRMAN, Thibault MOREAU, Paul AMAR, Michel Gad WOLKOWICZ, faisant de cette tragédie un événement historique, se demandent, 75 ans après la destruction des Juifs d’Europe, mis “hors-monde“, d’un Halimi à l’autre, d’Ilan à Sarah aux enfants abattus à bout portant à l’entrée de leur école, à quel moment de l’évolution de notre culture et de notre psyché collective, en France, nous en sommes.
“L’Affaire Sarah Halimi ou L’Eradication du Sujet“, publié chez David REINHARC Editions, paraîtra le 17 janvier et sera disponible dans toutes les bonnes librairies aussi bien qu’à la Fnac et sur Amazon.
A noter : En Couverture l’Œuvre de l’artiste israélien Ofer LELLOUCHE, photographiée par Shlomo ISRAËL.
Mardi 4 janvier David Reinharc au micro de Lise Gutmann sur Radio J
Mardi 4 janvier à 10 heures, l’Editeur David Reinharc, au micro de Lise Gutmann sur Radio J, présentera à 10 heures l’ouvrage “L’Affaire Sarah Halimi ou L’Eradication du Sujet” et nous parlera de la diffusion et de la communication que son Equipe et lui mettront en œuvre, cette publication prenant une importance d’autant plus forte que nous voilà à une poignée de jours de la publication à l’Assemblée nationale du Rapport qui devra rendre compte des révélations fracassantes que les auditions de la Commission d’Enquête Parlementaire présidée par Meyer Habib et consacrée à l’Affaire Sarah Halimi auront permis de rendre publiques.
Jeudi 13 janvier à 20h30, Présentation de l’ouvrage à l’ISEG
Jeudi 13 janvier à 20h30, une Présentation de l’ouvrage “L’affaire Halimi ou l’éradication du Sujet” aura lieu lors du Séminaire de Schibboleth-Actualité de Freud qui se tiendra à l’ISEG, 28 rue des Francs-Bourgeois, Paris 4è, de 20h30 à 23 h, à la fois en présentiel et en zoom, avec un débat auquel participeront d’autres personnalités.
Inscriptions : secretariat@schibboleth.fr
Fondée le 31 juillet 2008 à Paris, France, Schibboleth, association, de type loi 1901, internationale et interuniversitaire, s’est fixé pour dessein de sonder, étudier l’état du monde et de la langue pour en lire et analyser l’actualité, en discerner et appréhender le malaise, en caractériser les signes comme autant de symptômes, en identifier les problématiques essentielles et leurs enjeux civilisationnels ; face à la destructivité humaine et depuis une dépressivité nécessaire, décider du « progrès dans la vie de l’esprit » et participer au Kulturarbeit, défini comme instance de lucidité psychique, tout en interrogeant ses limites et les illusions qu’il génère ; mettre en œuvre une clinique du contemporain – dégagée de la confusion des langues.
Schibboleth organise « réflexions, colloques, voyages d’étude et autres manifestations socio-culturelles à caractère scientifique ; elle publie études et débats intéressant la poursuite du travail de civilisation au sens freudien ».
[1] Michel Gad Wolkowicz. L’extermination de l’existant Juif. Texte publié dans Tribune juive le 17 juin 2021
Chère Sarah Cattan,
Je vous suggère de offrir ce livre à M. le président du Crif qui vient d’être cité à l’ordre de la légion d’honneur, sans doute pour services rendus, m’a-t’on dit ? Oui, mais voilà, lesquels ? Est-ce la défense constante de Sarah Halimi, ou encore la défense de Jérusalem bafouée par une décision de l’ONU dans laquelle la France a pris toute sa part, j’avoue mon hésitation devant tant de mérites de cet homme.
Mon cher Marcel, si l’on regarde de près ce feu d’artifice que fut la liste des … récipiendaires de la Légion d’Honneur, – on oublie souvent la mention d’Honneur-, en effet il y a cette fois peut être plus que d’autres matière à perplexité.
D’Agnès Buzin à Mario Stasi en passant par notre Président du Crif, il y avait de quoi s’interroger une fois encore sur le sens de ces décisions: les plus serviles d’abord?
Vous voyez que j’ai bien fait de ne pas écrire à ce propos, des êtres vertueux et méritants se mêlant aux précédents.
Notre GRF Haïm Korsia l’avait déjà obtenue.
Un jour, à force de dénoncer ces méthodes, des gens de bien , des honnêtes hommes seront à ces postes d’importance. Alors la société juive de France, enfin représentée avec force, dignité et exigence, ne connaîtra plus l’abandon qu’elle ressent aujourd’hui dans l’Affaire Sarah Halimi par exemple et ne sera plus ridiculisée par ces figures de valets.
You should write this in English and let the world know how the French treats its Jewish citizens. I can translate it for you. If you say all this only in French, it won’t have any impact ! The French people don’t give a damn ! You should let American and the ANGLO SAXONS know ! Too many things are hidden in France ! Much too many ! It’s time to live in the 21st century and let the world know about the French hypocrisy !
It is exactly the same or even worse in America and all English speaking countries. Sarah Halimi was killed by a muslim and your English speaking countries are more and more pro muslims. Your governments, your medias and even your Hollywood stars are pro muslims. Sarah Halimi’s murder is someway a consequence of the americanization of French society : American and English hypocrisy is limitless.
Merci infiniment cher Michjos. Je reviens vers vous. Sarah Cattan