Dans son discours d’investiture, le nouveau chancelier Olaf Scholz a déclaré que l’Allemagne était une terre d’immigration.
Il est socio-démocrate et lié aux verts et au parti libéral.
Rien d’étonnant!
Ils vont assouplir les délais d’attribution de la nationalité allemande.
Afin d’illustrer cette priorité, le Chancelier Scholz a nommé 2 ministres issus de l’immigration.
Un turc à l’agriculture et une fille de réfugié irakien chargée de …l’immigration.
Les médias français, toujours les premiers à applaudir la démagogie, d’où qu’elle vienne, pourvu qu’elle soit de gauche, y voient le signe d’une exception allemande, en faveur de l’immigration, à l’opposé du débat Inquiet de la France et du reste de l’Europe sur le sujet.
Ce qui nous pousse à nous poser la question qui s’impose:
Y a-t-il vraiment une exception allemande sur l’immigration?
S’il y a une exception allemande, elle est avant tout démographique et économique.
L’Allemagne manque de main d’œuvre en raison d’une natalité très basse.
Avec les départs à la retraite, on parle déjà d’un million de postes à pourvoir.
Au lieu de pousser à suggérer une politique de natalité active, le chancelier prétend qu’il faut ouvrir grand les frontières pour aller chercher les travailleurs qui maintiendront le dynamisme de l’économie allemande!
Une approche presque mécanique de la politique migratoire qui sous-estima la question de l’intégration culturelle.
La nouvelle équipe met en avant la réussite d’intégration des turcs.
La moitié du million de migrants venus en Allemagne en 2015, quoique critiqués en Europe ont trouvé un emploi à plein temps.
En analysant la situation, il est facile de découvrir qu’elle cache des ratés.
Il faut se méfier d’une vision trop idyllique.
S’il persiste un véritable élan humanitaire, outre-Rhin, les allemands sont très partagés sur l’immigration. depuis le choc migratoire de 2015.
La droite allemande ne manque pas de rappeler les problèmes de sécurité et de tensions intercommunautaires, générés par l’arrivée de ces migrants.
Ce qui explique la percée en 2017 du parti d’extrême droite « Alternative pour l’Allemagne »
Notamment à la suite d’un attentat islamiste sur un marché de Noël à Berlin.
Et le Peuple ?
Un récent sondage révèle que 67% des allemands affirment que l’immigration est trop élevée.
Voilà un sujet qui pèse et dont on ne parle pas trop.
Véritable non-dit !
Et ce Non-dit fait partie de l’exception allemande.
Ça veut tout simplement dire que ce sujet reste tabou en Allemagne, plus que partout ailleurs.
Parce que l’ombre du passé nazie reste omniprésente dans ls consciences.
Du reste on le voit et on l’entend dans les discours des politiciens, sur l’islam ou l’immigration, toujours politiquement corrects.
Regretteront-ils un jour?
La Maire de Cologne a autorisé l’appel à la prière.
Plus de 60% des allemands n’en voulaient pas.
Il n’y a pas eu débat.
La presse explique ce geste par la peur panique de voir le mouvement « Alternative pour l’Allemagne » monter!
Quand on ne connaît pas les réactions de ces armées secrètes, de ces 5 èmes colonnes, car c’est bien de ça, qu’il s’agit, on « muselle » son extrême droite au profit d’un islam qui se montre dormant et soudain se réveillera.
Tous les dénis, tous les refus d’entendre nos protestations, quant aux prêches dans les mosquées, ont alimenté toutes sortes de théories du complot.
Souhaitons que pour la France, il est encore possible de réagir, Car l’exception allemande semble bien fragile.
© René Seror
L’Allemagne est pour l’immigration. Elle garde qui elle veut, les autres se dispersent librement en Europe grâce à l’espace Schengen.
Inutile de préciser qu’avec ses lois généreuses la France hérite de beaucoup de ces immigrés.
Merkel a été l’une des pires dirigeantes de la planète. Seule une désinformation d’une ampleur rarement égalée dans l’Histoire permet de masquer la réalité aux gens. En outre le gouvernement allemand est un allié historique du régime fasciste turc et du criminel de guerre à sa tête