L’instructrice de tir, la sergent Sarit Petersen
Dans un nouvel article imprécateur contre l’armée qui démontre être la plus morale de la planète, le journal militant anti-Israélien Le Monde fait le procès du récent assouplissement des règles de tirs, en vigueur depuis quelques jours.
D’emblée, les rédacteurs anonymes prétendent que ces tirs ont lieu contre des “civils palestiniens présents dans la zone de combat”. En réalité, il ne s’agit jamais, au mieux, que d’émeutiers affoulés contre la présence de l’armée qui traque des terroristes armés dans une ville ou un village, et qui jettent des objets aussi dangereux que des pierres (on a vu de véritables blocs de béton tomber des toits et tuer des soldats aguerris à de multiples reprises) ou des engins incendiaires (cocktails-Molotov censés mettre le feu aux véhicules Jeep, Hummer, etc).
Démontrant la fatuité de ses atteintes à la dignité de l’armée israélienne, Le Monde précise que : “Jusqu’ici, les règles n’autorisaient l’utilisation de la force létale que pour prévenir une attaque imminente”.On est de plein droit dans l’aménagement du droit à l’auto-défense, propre de toute force de sécurité.
Cette simple règle centrale sert d’axe pour la faible marge de prise de décision individuelle, dans le cadre des restrictions imposées par le commandement. Cependant, précise ce paragon de moralité et de petite vertu extrémiste en faveur de la Terreur islamiste, cette codification générale de tir s’étend, cette fois à : tout acteur Palestinien, faussement rebaptisé “civil” -alors qu’il s’engage dans des combats- qui mettrait la vie de civils israéliens en danger du seul fait de sa présence dans la zone de combat”.
On comprend alors que le journal tort par trois fois au moins le sens d’un ordre que plus haut, il prétend pourtant “classé secret-défense” et donc non-divulgable par la presse parisienne à scandale humanitaire : il y a une contradiction interne entre le fait de se prétendre “civil”, mais d’être armé a minima de projectiles en tous genres, arrosant copieusement une police ou une armée venue faire son travail d’appréhension de planificateurs ou de kamikazes terroristes et, muni de telles intentions explicites, de venir chercher le meilleur point de vue et angle de tir dans une “zone de combat”.
Le troisième élément criminogène que revendique Le Monde se tient dans cette sorte d’oxymore du tout et son contraire professé par les partisans-démocidaires du Monde, mettant en exergue que l’individu -cible met “en danger d’autres civils israéliens”, que Tsahal a précisément pour mission absolue de protéger, et non leurs agresseurs palestiniens, selon l’inversion des valeurs propres aux militants antisionistes promus journalistes. La règle consistant à neutraliser un danger potentiel a cours dans toute armée et police et est incontestable, n’en déplaise au “Monde”. Mais il s’agit alors de fustiger une soi-disant absence de motif de tir en prétendant que ce Palestinien gênerait par sa “seule présence” dans la “zone de combat”. En somme, il serait là “par hasard” et de son “plein droit”. A en croire le Monde, même une arme à la main, on devrait le considérer comme un simple flâneur.
Pourtant, visiblement gênés aux entournures, les faiseurs d’émeutes du Monde rappellent néanmoins que : “Le cadre global de la Loi israélienne, … n’autorise formellement ses soldats à faire usage de leurs armes que s’ils estiment qu’une vie est en danger“. Le cadre général de la Loi juive reste donc très “biblique” et ne tuera pas son prochain sans un véritable risque patent d’assassinat, cadre largement “préventif” et donc intrinsèquement dissuasif de tout excès et débordement.
Les preux chevaliers blancs du droit à l’émeute et à la “lutte terroriste armée” s’appuient alors sur le travail de sape d’ONG payées rubis sur l’ongle par l’Union Européenne, comme l’a largement démontré NGO Monitor du Professeur Gerald Steinberg, comme B’tSelem et Shoverim Shetika (Breaking The Silence), qui va jusqu’à monayer des soldats en rputure de ban pour leur faire annôner des contre-vérités flagrantes contre la réalité sur le terrain.
En réalité, on le sait, cet assouplissement qui n’en est un qu’en surface vient détendre un climat quelque peu “crispé” autour des ordres fusant dans Tsahal après deux situations particulièrement problématiques, qui ont fait procès. Dans un cas, le soldat Lior Azaria a proprement été mis au ban de l’armée et n’y a plus droit de cité, après avoir fait feu sur un terroriste à terre et déjà neutralisé par ses collègues après une tentative de meurtre. Dans le second, le sniper Barel Shmueli z’l a été assassiné par l’entrebaîllement d’une fenêtre de tir et on a prétendu qu’il aurait subi des pressions de supérieurs pour ne pas faire feu, ce qui a largement été démenti (Il venait de faire feu à 12 reprises, mais n’a pu se protéger du tir à bout portant de son agresseur).
Quand on compare le comportement général de Tsahal à celui de toutes les armées du monde (voir récemment le scandale des rapports américains sur les tirs aléatoires de drones contre des civils en Syrie, Irak et Afghanistan), on s’aperçoit qu’à situations souvent pires et plus difficiles à gérer au/ milieu de guérillas urbaines, l’armée israélienne maintient des standards moraux à un stade très élevé et inégalé. C’est dans ce cadre de la marge d’estimation du danger et de la menace que se situe la décision du soldat, qui dispose d’un quart de seconde pour faire face à la situation d’agression où il risque sa vie.
Nous préconisons aux donneurs de leçons du Monde qu’ils soient confrontés durant trois ans de leur existence à ce type de menace urbaine permanente, avant qu’ils ne soient autorisés à “faire feu de tout bois” contre Israël et les Juifs et calment leurs ardeurs d’incitateurs antisionistes.
©️ Marc Brzustowski
Le monde est un journal de journalistes fainaints et pro palestiniens . Ce sont des gens sans intelligence et surtout sans morale payé avec nos impôts . Que tous aillent en enfer islamique