
Vous souvenez-vous : Anne Ihuellou, Vice-Président chargé de l’instruction depuis le début de l’Affaire Sarah Halimi, s’était vue adjoindre la Juge Laurence Lazerges en cosaisine, nommée en cours de route « au vu de la gravité de la chose ».
Elles avaient, sur une partition à 2 voix, rendue publique l’ordonnance de transmission de la procédure aux fins de saisine de la chambre de l’instruction.
La suite, nous la savons.
Mais les voilà tous sommés de venir s’expliquer

Convoquée hier par la Commission d’Enquête parlementaire présidée par Meyer Habib et alors que chacun attendait des éclaircissements, Laurence Lazerges, avec la même tentative d’arrogance que sa collègue, voulut, lassée, expliquer aux membres de ladite Commission qu’ils ne pouvaient rien entendre à la chose.
Mal lui en prit.
« Vous arrivez avec des notes toutes prêtes, mais nous on veut parler à une femme, pas simplement à une magistrate. Vous ne répondez pas, vous ne faites que lire vos notes ! », s’emporta le Président Habib.
Tentatives indécentes, pathétiques, surréalistes, et Ô combien inefficaces, pour masquer leur incurie.