La Page de Louise Gaggini. HA LA SAL AME ! ( Léa Salamé)

Léa Salame a pour vrai prénom d’origine Hala, mais avec un prénom et un nom qui peuvent se décliner en  » ha la sal ame ! » comment échapper à la noirceur ?

Si au moins elle avait une étincelle d’intelligence, on pardonne parfois à des salauds pour une fulgurance d’esprit, mais Hala Salame ( ha la sal ame !), qui n’a jamais brillé par autre chose que par un visible encéphalogramme plat, a réussi hier une performance de champion médaillé olympique : la démonstration algébrique de son néant intellectuel, d’où ne suintait que haine et malveillance, vous savez de celles, sournoises, qui font des collabos et des délateurs, des serviteurs zélés des tyrans et des dictateurs, et l’ont poussée hier soir à réduire le temps de parole de Zemmour, pourtant l’invité de l’émission, en lui coupant la parole, en la donnant à un Bruno Lemaire qui ne démontra pourtant que faiblesse, couardise et un manque d’honneur politique au-dessus de tout soupçon, ainsi qu’à une femme, Samia Ghali, qui eut plus à voir avec une poissonnière sur le port de Marseille (que les vraies me pardonnent) qu’avec une femme politique, et dont la grossièreté et l’inintelligence ont abaissé le niveau du débat dans le caniveau : le but de « ha la sal ame » étant de saboter le temps de parole de Zemmour, temps obligatoire qui est dû à chaque candidat pour la présidentielle.

Pour conclure, on peut être pour ou contre Zemmour, mais hors les Hitler et autres monstres de l’histoire dont la plupart ont pourtant été équitablement jugés, à Nuremberg ou ailleurs, la conscience et le respect de l’avis et de la vie de l’autre est une nécessité et un devoir que l’on doit à la démocratie, mais surtout à notre humanité, sous peine sinon d’être de ces rampants, dont on ne sait plus très bien s’ils tiennent de la hyène ou du chacal.

Il est plus que temps je crois, que nous choisissions par « vote » les journalistes ou employés de l’info que nous voulons dans «notre service public », et que nous cessions de régler des salaires à ces bêtes et méchants qui hier soir sous la houlette de « ha la sal ame » (Léa Salame) l’ont utilisé pour le pire : l’absence d’esprit et de vision, d’honnêteté et pour tout dire de simple intelligence. De simple civisme.

 © Louise Gaggini


Ecrivain, journaliste, mais aussi sculpteur et peintre, pianiste, bref une « artiste plurielle ». Diplômée de lettres, d’Histoire de l’Art et de Conservatoire de musique. Auteur de nombreux dossiers pour la presse et la télévision, dont certains ont été traduits par l’Unesco, des organismes humanitaires et des institutions étrangères à des fins d’éducation et de prévention et d’autres furent diffusés par l’EN, Louise Gaggini est l’auteure d’essais et de romans dont La résultante ou Claire d’Algérie et d’un livre d’art pour l’UNICEF: Les enfants sont la mémoire des hommes. Elle est aussi l’auteure d’essais de société, et expose régulièrement, récemment à New York.
elle a publié son premier roman pour littérature jeunesse en 2001, et son premier roman pour adultes en 2004.

Où la trouver :

http://www.nananews.fr

http://www/louise-gaggini.com

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3 Comments

  1. Au dela de toute critique personnelle ou politique, c est avant tout une mauvaise professionnelle, elle est bien représentative de cette caste de courtisans obséquieux que le pouvoir traîne derniere lui , un signe probant de l absence de democratie

  2. Quelle honte l’article de L. Gaggini. S’en prendre au « vrai prénom » (!) de Léa Salamé, poursuivre par des insultes pour finir par une leçon de civisme… Oui comment échapper à la noirceur. Manifestement l’auteur de ces lignes n’y est pas parvenue. Quant à T.J espérons que la publication de cet article nauséabond donnera lieu à des excuses… Hélas j’en doute.

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