Cette semaine, le Concierge Masqué s’interroge sur les carences esthétiques des écolos. Entre #saccageaparis, les objets écolo-fétiches des people et les nouvelles lignes d’aménagement des espaces publics, il apparaît que les verts sont dans le rouge question manque de goût. Plongée en apnée dans un cloaque doctrinaire végétalisé à la mauvaise herbe.
Le propre de l’écolo étant de haïr tous ceux qui ne pensent pas et ne font pas comme lui, son appétence en matière de goût se borne à une forme de laideur revendiquée d’autant qu’il croit dur comme fer que le goût est une affaire d’éducation, donc de privilège, donc un machin élitiste à la fois capitaliste et libéral qu’il lui importe de combattre de toutes ses forces. Le goût évoqué ici n’a rien à voir avec le sens des saveurs. Le goût du jour est d’ordre purement esthétique. Une valeur dont les écolos semblent manquer cruellement. Du coup, ils se vengent en adoptant et imposant des trucs immondes dont ils inondent l’espace public au nom de qu’ils adorent appeler « le désencombrement de l’espace public ». Comprendre : son contraire. À chacun son mauvais goût assène la raison populaire. Soit. Mais les néo-doctrines brandies et instaurées au nom du bien public laissent pontoise, comme on dit du côté de Cergy.
L’esthétique verte fustige les terrasses de café, les enseignes de magasin et les panneaux publicitaires. Elle cible aussi les panneaux directionnels sous prétexte qu’on en a plus besoin vu qu’on a tous un GPS greffé dans la paume de la main. Pour aller à République, passer par Trocadero avec crochet à Montparnasse, si possible en sens interdit, vu que les vélos ont tous les droits. Pour ce qui est des terrasses de café, les Verts nous déroutent : ils sont contre mais favorisent la prolifération des terrasses sauvages gagnées sur les places de stationnement, au nom d’une idéologie mercantile – rattraper le perdu covidiesque. Leur idéal : des palettes de chantier verticalisées, du mobilier en plastique acheté en gros chez Metro (donc chinois). Boire de la bière micro-brassée le cul dans le caniveau (pas la faute à Rousseau) avec des échardes plein les cuisses, symbolise ici une forme de nirvana green.
Les enseignes de magasins ? Elles doivent disparaître. Les magasins aussi d’ailleurs. Place à des comptoirs du vrac, décorés comme une salle-des-fêtes est-allemande, où règne le style cageot, la racine oubliée terreuse et un personnel assorti. Quant à l’affichage publicitaire, il pollue visuellement. Pas faux. Surtout celui de la Mairie, specialisé dans l’auto-congratulation permamente. L’autre grande marotte hystérisante de l’écolo des villes est de tout végétaliser afin de « corriger les externalités négatives des systèmes urbains ». En français intelligible, ça donne quoi ? Une esthétique de terrain vague. L’écolo adore ça avec queues de rat poussant à foison. Normal : c’est assorti aux vrais rongeurs qu’il ne faut pas tuer, car créatures de Dieu. Depuis quand l’écolo est croyant ? Dans sa grande bonté hypocrite, la Ville de Paris a poussé les Parisien·nne·s à biner les trottoirs, les pieds d’arbre et autres lopins de terre abandonnés. On a vu le résultat. Au mieux, des machins herbacés, des fleurs de cimetières et des orties ; au pire, des micro-chantiers abandonnés pleins de pots en plastique, de merdes de chiens et de planches pourries. Du chiendent à la chienlit. Mais on est prié de se récrier que c’est beau, sinon, excommunication, goulag. Pour l’écolo, celui qui le critique est forcément réac, facho, homophobe, anti-décroissant, etc…
Dans son acharnement à « corriger les externalités négatives des systèmes urbains », l’écolo activiste doté d’un certain pouvoir municipal donne à voir d’affligeants spectacles. Ainsi boulevard Pasteur, dans le XVe arrondissement de Paris. Hier dévolu à un parking – horreur, damnation ! –, l’immense terre-plein central a été végétalisé et corrigé. Plantasses ridicules et mobilier urbain navrant : en guise de bancs, des monolithes minéraux gris, sinistres, qui font illico penser au mémorial des Juifs assassinés d’Europe, installé au centre de Berlin. Sauf qu’ici, ça fait déjà mausolée abandonné. Au catalogue des hantises esthétiques des écolos, les bancs publics figurent en tête de gondole. On ne sait pas ce que le banc public leur a fait, mais ils s’y entendent pour le massacrer. Victime expiatoire désignée : le fameux banc dit Davioud, le classique, en fonte et bois de chêne, sur lequel les amoureux se bécotent. Trop haussmannien, sans doute. Trop historique aussi. Les écolos abhorrent tout ce qui est patrimonial. Pas assez éco-conçu ni durable. C’est sûr : installé depuis 1864, le banc Davioud ne dure pas assez. Le défaut du banc Davioud est sa longueur, 2,25 mètres. Suffisant pour s’y allonger. Ou dormir quand on est SDF. Aime pas ça, l’écolo. Le SDF ça dort en foyer ou sous une tente Quechua. Raus, le Davioud ! Place à des grilles de toaster glacées en hiver, brûlantes en été, des râteliers couverts de fientes de pigeon, avec, subtile perversité, une anse-accoudoir centrale, empêchant qu’on s’y allonge. Pas de dossier : ç’est inutile. Surtout qu’on on est vieux et/ou fatigué. Les vieux fatigués, ça va à l’asile, ça ne baguenaude pas dans les rues. Ça encombre l’espace public. Pour s’en débarrasser, l’écolo des villes a lancé des armadas de jeunes cons à trottinette. Mobilité douce en bandoulière. On voit le résultat : le piéton livré au jeu de quilles. Vieillir en ville n’est pas écolo. Vous voilà avertis…
En matière de design, l’écolo poursuit sa quête du non-goût. Il redécouvre le liège, se pâme devant un meuble 3R (Reduce Recycle Reuse), presse designers et architectes de participer à des concours publics axés autour de la création d’objets totémiques, si possibles connectés. La cohérence n’est pas le fort de l’écolo. D’autant qu’il se décompose en une myriade de clans et sous-clans verts tous animés d’un dégoût féroce envers l’autre. Voilà quelques semaines, L’OBS s’est fendu d’un supplément imprimé sur papier Q recyclé allemand, intitulé 50 Nuances de Vert, comment être écolo sans être frustré. Pas inintéressant, au demeurant. Y figurait un réjouissant portrait des tribus écolos, découpé en dix figures-jeu de massacre avec l’ Écomoderniste, le Do-it-youself, le Décroissant, l’Écoféministe, le Théoricien, l’Écoconsommateur, l’Anti-humaniste, le Colibri, le Coupable ou encore le Solastalgique. Tous se détestent et s’avèrent infréquentables. Une vraie galerie de précieux ridicules. Entre fable du colibri, éco-anxiété, tabou de la société thermo-industrielle, vocabulaire de la contrainte, zéro-déchet et charge mentale due à l’observance des petits-gestes-censés-sauver-la-planète, l’opuscule se présente comme un corbeau noir planant au-dessus de nos vies quotidiennes coupables de consommer. On y croise des chtarbés du bilan carbone névrosés par le calcul de leur empreinte personnelle et des ferments révolutionnaires poussés sur le fumier du grand capital, accusant de « passer sous silence le rôle énorme des classes sociales les plus favorisées, dont les modes de vie sont bien plus énergivores que ceux des autres ». V’là aut’chose. Les riches vilains, les pauvres gentils.
On imagine tout ce petit monde participer fébrilement à la consultation publique lancée en novembre 2020 par la Ville de Paris dans le but, sain et louable, évidemment, à condition qu’elle aille dans leur sens, d’un Manifeste d’une Nouvelle Esthétique. Rien de comparable à Crimes et Ornements d’Adolf Loos : les Verts et leurs amis coalisés ne savent pas qui est Adolf Loos. Ils veulent juste se débarrasser de tout ce qui ne leur plaît pas et imposer leur mauvais non-goût aux Parisiens. Une expo, La beauté d’une ville, montrée à L’Arsenal jusqu’à 26 septembre prochain, joue les faux-nez du truc tandis que la dite-consultation, ouverte sur le site idees.paris se clôt le 30 juin. Pour la trouver, il faut dérouler du câble : bien au fond, en queue de peloton. À la date du 24 juin, on y recensait 2 437 contributions (dont 268 propositions et 2 519 réponses), 2 114 votes et 2328 participants. Pour chaque « poste » – fontaine, banc, etc… –, on y dispose d’un vote gradué de 1 à 5, du très-esthétique à pas-du-tout-esthétique. Juré, craché : rien de biaisé, si ce n’est la photo d’une fontaine Wallace badigeonnée de rouge mercurochrome, histoire de l’enlaidir et donc d’en provoquer le rejet. Même schéma pour les paniers de basket ou la végétalisation : on présente des machins déjà en place et sacrément moches, histoire de miner le terrain. On verra ce qui sortira de cette consultation en novembre prochain. Un manifeste du mauvais goût, pour sûr. En attendant, l’écolo urbain se prosterne devant les bitoniaux en plastique jaune plantés ça et là sur la voierie, adule les barrières en béton bicolores jaune/blanc qui ont muté Paris en Beyrouth de l’après-guerre et se pisse dessus de joie dès lors qu’il faut couper un arbre soi-disant malade. À ses yeux, ce ne sont pas les arbres qui végétalisent la ville mais les herbes folles et les graminées. Et ça prêche l’écologie…
Voilà peu, Le Figaro a questionné une poignée de célébrités plus ou moins célèbres à propos de leur objet écolo fétiche qu’ils emportent partout. Attention, ça vole haut. Chose chantante, Pomme utilise sa KeepCup, « une tasse réutilisable dont on peut changer les pièces ». Un Lego, quoi. Elle déclare aussi avoir établi « une liste de sujets sur lesquels je ne fais aucune concession : éviter le plastique sur la promo et les tournées, n’accepter des partenariats qu’avec des marques écoresponsables, favoriser les taxis électriques… ». Le designer Mathieu Lehanneur préconise le « moins d’enfants » qui comme tout le monde le sait, est un objet fétiche qu’on emporte partout. Ou pas du tout. Il prône aussi l’objet durable, transmissible, mais ne dit pas lequel. Ou l’art de réinventer la huche à pain et la commode Louis-Philippe. L’acteur Niels Schneider, gros buveur de café – denrée importée sujette à quota limitant la consommation, confesse avoir troqué les gobelets en plastique contre un thermos. Geste fou, on en conviendra. Le pompon revient à la comédienne Laetitia Dosch avec sa bouteille antigaspi : « Afin de diminuer ma consommation d’eau, j’ai installé une bouteille pleine dans le réservoir de mes WC, qui implique que la chasse se remplit moins ». Radical pour niquer le bidule et finir par purger la cuvette avec un seau de 5 litres. Retour au puits, la suite…LES PLUS LUS
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Comme un tas d’autres valeurs, le mauvais goût est la chose plus partagée au monde. Au début des années 1970, en pleine baba-coolerie créative, le magazine Cent Idées, vite surnommé Sans Idées, côte d’Adam de Marie-Claire, faisait ses choux gras du do-it-yourself et de la récup’ hasardeuse. Je me souviens avoir ainsi « hérité » dans ma chambre d’une étagère faite avec des barils de lessive Dash et Bonux, très pop art warholien par défaut tandis que ma mère s’ingéniait à bricoler des vide-poches avec des boîtes à œufs en carton. Rien d’écolo dans la démarche, juste une esthétique oscillant entre macramé polychrome, larzaqueries décoratives et robes-chasubles patronnées en toile de jute. Cent Idées a fermé ses portes en 1988, alors que la mode loft industriel battait son plein. Le voici pimpant, effronté, relancé par Turbulence Presse, placé sous le signe du tuto et du DIY (Do It Yourself). Pas con. L’air du temps s’y prête à merveille avec le retour du short d’été brodé façon napperon roumain et du vintage-loge-de-concierge à toutes les sauces. En revanche, le carillon de jardin réalisé avec une vieille assiette à fleurs, des pampilles de lustre en cristal et un vieux mug laisse songeur. À moins d’en faire une cible pour tir à la carabine.
En attendant l’apogée du design paysan embrassé par le baiser-colibri, force est de constater qu’en matière de goût, l’écolo traîne une sacrée tatane.
En matière de design, l’écolo poursuit sa quête du non-goût. Il redécouvre le liège, se pâme devant un meuble 3R (Reduce Recycle Reuse), presse designers et architectes de participer à des concours publics axés autour de la création d’objets totémiques, si possibles connectés. La cohérence n’est pas le fort de l’écolo. D’autant qu’il se décompose en une myriade de clans et sous-clans verts tous animés d’un dégoût féroce envers l’autre. Voilà quelques semaines, L’OBS s’est fendu d’un supplément imprimé sur papier Q recyclé allemand, intitulé 50 Nuances de Vert, comment être écolo sans être frustré. Pas inintéressant, au demeurant. Y figurait un réjouissant portrait des tribus écolos, découpé en dix figures-jeu de massacre avec l’ Écomoderniste, le Do-it-youself, le Décroissant, l’Écoféministe, le Théoricien, l’Écoconsommateur, l’Anti-humaniste, le Colibri, le Coupable ou encore le Solastalgique. Tous se détestent et s’avèrent infréquentables. Une vraie galerie de précieux ridicules. Entre fable du colibri, éco-anxiété, tabou de la société thermo-industrielle, vocabulaire de la contrainte, zéro-déchet et charge mentale due à l’observance des petits-gestes-censés-sauver-la-planète, l’opuscule se présente comme un corbeau noir planant au-dessus de nos vies quotidiennes coupables de consommer. On y croise des chtarbés du bilan carbone névrosés par le calcul de leur empreinte personnelle et des ferments révolutionnaires poussés sur le fumier du grand capital, accusant de « passer sous silence le rôle énorme des classes sociales les plus favorisées, dont les modes de vie sont bien plus énergivores que ceux des autres ». V’là aut’chose. Les riches vilains, les pauvres gentils.
On imagine tout ce petit monde participer fébrilement à la consultation publique lancée en novembre 2020 par la Ville de Paris dans le but, sain et louable, évidemment, à condition qu’elle aille dans leur sens, d’un Manifeste d’une Nouvelle Esthétique. Rien de comparable à Crimes et Ornements d’Adolf Loos : les Verts et leurs amis coalisés ne savent pas qui est Adolf Loos. Ils veulent juste se débarrasser de tout ce qui ne leur plaît pas et imposer leur mauvais non-goût aux Parisiens. Une expo, La beauté d’une ville, montrée à L’Arsenal jusqu’à 26 septembre prochain, joue les faux-nez du truc tandis que la dite-consultation, ouverte sur le site idees.paris se clôt le 30 juin. Pour la trouver, il faut dérouler du câble : bien au fond, en queue de peloton. À la date du 24 juin, on y recensait 2 437 contributions (dont 268 propositions et 2 519 réponses), 2 114 votes et 2328 participants. Pour chaque « poste » – fontaine, banc, etc… –, on y dispose d’un vote gradué de 1 à 5, du très-esthétique à pas-du-tout-esthétique. Juré, craché : rien de biaisé, si ce n’est la photo d’une fontaine Wallace badigeonnée de rouge mercurochrome, histoire de l’enlaidir et donc d’en provoquer le rejet. Même schéma pour les paniers de basket ou la végétalisation : on présente des machins déjà en place et sacrément moches, histoire de miner le terrain. On verra ce qui sortira de cette consultation en novembre prochain. Un manifeste du mauvais goût, pour sûr. En attendant, l’écolo urbain se prosterne devant les bitoniaux en plastique jaune plantés ça et là sur la voierie, adule les barrières en béton bicolores jaune/blanc qui ont muté Paris en Beyrouth de l’après-guerre et se pisse dessus de joie dès lors qu’il faut couper un arbre soi-disant malade. À ses yeux, ce ne sont pas les arbres qui végétalisent la ville mais les herbes folles et les graminées. Et ça prêche l’écologie…
Voilà peu, Le Figaro a questionné une poignée de célébrités plus ou moins célèbres à propos de leur objet écolo fétiche qu’ils emportent partout. Attention, ça vole haut. Chose chantante, Pomme utilise sa KeepCup, « une tasse réutilisable dont on peut changer les pièces ». Un Lego, quoi. Elle déclare aussi avoir établi « une liste de sujets sur lesquels je ne fais aucune concession : éviter le plastique sur la promo et les tournées, n’accepter des partenariats qu’avec des marques écoresponsables, favoriser les taxis électriques… ». Le designer Mathieu Lehanneur préconise le « moins d’enfants » qui comme tout le monde le sait, est un objet fétiche qu’on emporte partout. Ou pas du tout. Il prône aussi l’objet durable, transmissible, mais ne dit pas lequel. Ou l’art de réinventer la huche à pain et la commode Louis-Philippe. L’acteur Niels Schneider, gros buveur de café – denrée importée sujette à quota limitant la consommation, confesse avoir troqué les gobelets en plastique contre un thermos. Geste fou, on en conviendra. Le pompon revient à la comédienne Laetitia Dosch avec sa bouteille antigaspi : « Afin de diminuer ma consommation d’eau, j’ai installé une bouteille pleine dans le réservoir de mes WC, qui implique que la chasse se remplit moins ». Radical pour niquer le bidule et finir par purger la cuvette avec un seau de 5 litres. Retour au puits, la suite…
Comme un tas d’autres valeurs, le mauvais goût est la chose plus partagée au monde. Au début des années 1970, en pleine baba-coolerie créative, le magazine Cent Idées, vite surnommé Sans Idées, côte d’Adam de Marie-Claire, faisait ses choux gras du do-it-yourself et de la récup’ hasardeuse. Je me souviens avoir ainsi « hérité » dans ma chambre d’une étagère faite avec des barils de lessive Dash et Bonux, très pop art warholien par défaut tandis que ma mère s’ingéniait à bricoler des vide-poches avec des boîtes à œufs en carton. Rien d’écolo dans la démarche, juste une esthétique oscillant entre macramé polychrome, larzaqueries décoratives et robes-chasubles patronnées en toile de jute. Cent Idées a fermé ses portes en 1988, alors que la mode loft industriel battait son plein. Le voici pimpant, effronté, relancé par Turbulence Presse, placé sous le signe du tuto et du DIY (Do It Yourself). Pas con. L’air du temps s’y prête à merveille avec le retour du short d’été brodé façon napperon roumain et du vintage-loge-de-concierge à toutes les sauces. En revanche, le carillon de jardin réalisé avec une vieille assiette à fleurs, des pampilles de lustre en cristal et un vieux mug laisse songeur. À moins d’en faire une cible pour tir à la carabine.
En attendant l’apogée du design paysan embrassé par le baiser-colibri, force est de constater qu’en matière de goût, l’écolo traîne une sacrée tatane.
© Concierge masqué
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