Alors que Le Monde se vautre dans un « Edito », rien moins que ça, consacré à Pegasus et en profite pour déverser – vomir conviendrait mieux- sa bile faite de judéophobie,
Alors que la chose devient quotidienne en France,
Que les digues semblent lachées,
Que toute décence est abolie et que la détestation d’Israël fait florès,
De temps à autre, un souffle d’air frais.
Celui-là nous est venu de Tokyo, Tokyo où les JO ont donné l’occasion aux BDS-Sportifs de préférer perdre une supposée médaille plutot que d’avoir à saluer un concurrent israélien.
Aujourd’hui, c’est le judoka Saied Mollaei qui a dédié sa victoire à Israël.
« Toda à Israël pour sa bonne énergie et son soutien. Cette médaille est dédiée aussi à Israël », a-t-il déclaré à la chaîne sportive. « J’espère que les Israéliens sont heureux de cette victoire », a ajouté devant cameras le jeune homme en regardant l’israélien Sagi Muki, lequel s’est réjoui de la victoire de « son ami »: « Je suis super heureux pour Saeid. Je sais ce qu’il a traversé, et à quel point il le voulait. C’est un de mes amis très proches, et je suis tellement heureux qu’il ait réussi à réaliser son rêve. Il le mérite – son parcours est incroyablement inspirant ».
Pour info, Saeid Mollaei, qui a fui l’Iran après avoir révélé que ses entraîneurs lui avaient ordonné de perdre en demi-finale des Championnats du monde 2019 à Tokyo pour éviter d’affronter l’Israélien Sagi Muki en finale, représente à présent la Mongolie.
Les deux jeunes gens sont devenus amis après l’Affaire honteuse des Championnats du monde 2019 et leur improbable amitié fera l’objet d’une série télévisée. Par ailleurs, en février dernier, Mollaei avait participé à la compétition internationale du Grand Slam qui s’était tenue à Tel Aviv, remportant également l’argent.
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