L’industrie israélienne est une industrie de pointe. Son industrie numérique est l’une des premières au monde.
Un environnement géopolitique hostile, un génie commun à la plupart des nations formées d’immigrés du monde entier, une absence majoritaire de solidarité politique et stratégique des régimes démocratiques, la nécessité de protéger sa population et son Etat des agressions extérieures et intérieures, telles sont les raisons essentielles de cette réussite extraordinaire qui décerne à Israël le titre de puissance industrielle incontournable.
Ces nécessités vitales, l’exigüité de son marché intérieur et les refus d’échanges commerciaux plus ou moins déguisés des Etats voisins inclinent Israël à développer son industrie marchande notamment numérique avec les Etats au kilométrage plus éloigné.
L’Union européenne est son premier partenaire commercial, les Etats Unis d’Amérique, le Globe en général signent avec Israël d’importants contrats commerciaux.
C’est dans ce cadre précisé que l’industrie israélienne des logiciel espions intervient. La société israélienne Pegasus vend avec un succès croissant ses logiciels espions dans le monde entier.
Elle n’est pas la seule ! Des centaines de sociétés de logiciels espions ne sont pas israéliennes mais de nationalités d’autres Etats.
La « découverte » journalistique de l’espionnage numérique téléphonique du président français et d’autres responsables politiques français n’en est pas une. Chacun sait parmi les journalistes français et étrangers que des responsables politiques du monde entier espionnent ou tentent d’espionner via leurs téléphones mobiles d’autres responsables politiques du monde entier et parfois même au sein d’un même pays.
La subite et calculée exploitation de l’espionnage téléphonique des responsables français intervient au creux de la période la plus creuse de leur profession, celle des vacances d’été!
Elle désigne au moins autant la nationalité israélienne de l’entreprise Pegasus que les chefs d’Etats non israéliens qui utilisent ses logiciels…alors que la responsabilité de l’entreprise israélienne ne comporte aucune responsabilité civile, commerciale, ni pénale à vendre ses services aux Etats acquéreurs ! La responsabilité de l’usage des logiciels espions revient exclusivement aux utilisateurs. Les tentatives d’exclure Israël des règlements commerciaux internationaux est calquée sur les tentatives de l’ exclure des règlements de Droit international public en matière de territoires acquis par le droit de la guerre.
Il s’agit, on l’aura compris, de satisfaire le lectorat, l’auditorat, l’électorat anti-israéliens si puissant en France.
Il s’agit, une fois de plus, d’incriminer sans légitimité Israël de tout ce qui passe entre les mains du lobby français anti-israélien.
Le Maroc, accusé d’espionnage téléphonique par l’usage de logiciels espions Pegasus en France dépose des plaintes en diffamation. Il convient d’espérer que la société Pegasus fasse de même. Contrairement aux Etats accusés d’avoir utilisé les logiciels espions de Pegasus, cette dernière dispose d’une batterie d’arguments juridique qui la rend inattaquable. Il conviendra alors aux media accusateurs de prouver les allégations qu’ils établissent jusqu’à présent d’aucune attestation!
Nécessité de vendre une presse française en chute estivale, confusion des normes de Droit par la media français, accusations sans preuves, manifestation récurrente d’hostilité à l’endroit de l’Etat hébreu, telle est la triste et ridicule expression du paysage médiatique français de cet été 2021
Pierre Saba
Il suffit de regarder le pedygree des » accusateurs » :
Amnesty l association antisioniste qu on ne presente plus 🥵
Forbidden stories formées etrangement autour de journalistes ultra orientés …… a gôche evidemennt , Le Monde , Haaretz et autres temples de la bienpensance pro palestinienne