BTA, alias Balance ton antisémite, organisation anonyme de journalistes, avocats, et simples citoyens, qui a traqué les propos haineux en ligne, tire sa révérence.
Pendant des annĂ©es ils ont traquĂ© la haine en ligne, faisant dĂ©couvrir Ă des journalistes (Ă roulettes) de certains mĂ©dias des types comme ADBK, alias Dominique Desson l’ingĂ©-son au chĂŽmage, mais encore JĂ©rĂŽme Bourbon (le grassouillet gluant de Rivarol), Yvan Benedetti, Manu Desgranges, StĂ©phane Blet (le pianiste ratĂ©), Guillaume Couvelard ou HĂ©rvĂ© Ryssen alias Lalin… (Celui que Paris Match avait mis en couverture sans vĂ©rifier son activisme nazi).
Leurs enquĂȘtes ont conduit la police et la justice Ă condamner fermement les auteurs de propos ignobles, dont certains sont encore en prison, d’autres visĂ©s par des mandats d’extradition…
Leurs dossiers bien ficelĂ©s ont eu raison de DieudonnĂ© et de Soral, les forçant Ă quitter la France, dossiers qui sont remontĂ©s jusqu’Ă Bercy (aĂŻe ça pique !).
Ils ont fait trembler Twitter, Facebook, VK, Youtube et bien d’autres apprentis-gestapistes, forçant certains d’entre-eux Ă s’exiler en Turquie par exemple…
Ils ont été menacés, des noms ont été diffusés en ligne, mais rien ni personne ne leur a fait changer de cap. Never ever.
J’ai eu la chance et l’honneur de participer Ă quelques-uns de ces combats.
Je puis dire Ă prĂ©sent : j’en Ă©tais, et je me suis Ă©clatĂ© Ă faire mordre la poussiĂšre Ă des salopards qui finissaient en chialant dans leur cellule.
J’ai eu l’honneur de bosser avec de grands avocats, pĂ©nalistes et techniciens du droit, l’honneur de voir les condamnations pleuvoir, mĂȘme devant des juges souvent acquis Ă la cause de ceux qu’ils devaient juger, les preuves Ă©tant trop nombreuses et prĂ©cises.
Ils n’ont eu besoin de rien ni de personne, aucune association digne de ce nom ne les a aidĂ©s dans leur combat, associations souvent nombrilistes et inutiles. Je n’ai aucune honte de le dire, ces associations Ă©taient seulement lĂ pour prendre des dossiers clefs en main, tellement plus facile.
Bref, l’essentiel Ă©tait de combattre le mal en ligne. Et ce n’est pas terminĂ©.
Merci mes amis. See you in Hell đ€
PS (aux amateurs nazis) : Ce n’est pas parce quâils ne sont plus que vous pouvez vous lĂącher sur les rĂ©seaux: le meilleur ennemi est celui qu’on ne voit pas… Dont acte…
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