Jean-Paul Ney. BTA s’en va, mais reviendra (comme une ombre)

BTA, alias Balance ton antisémite, organisation anonyme de journalistes, avocats, et simples citoyens, qui a traqué les propos haineux en ligne, tire sa révérence.

Pendant des années ils ont traqué la haine en ligne, faisant découvrir à des journalistes (à roulettes) de certains médias des types comme ADBK, alias Dominique Desson l’ingé-son au chômage, mais encore Jérôme Bourbon (le grassouillet gluant de Rivarol), Yvan Benedetti, Manu Desgranges, Stéphane Blet (le pianiste raté), Guillaume Couvelard ou Hérvé Ryssen alias Lalin… (Celui que Paris Match avait mis en couverture sans vérifier son activisme nazi).

Leurs enquêtes ont conduit la police et la justice à condamner fermement les auteurs de propos ignobles, dont certains sont encore en prison, d’autres visés par des mandats d’extradition…

Leurs dossiers bien ficelés ont eu raison de Dieudonné et de Soral, les forçant à quitter la France, dossiers qui sont remontés jusqu’à Bercy (aïe ça pique !).

Ils ont fait trembler Twitter, Facebook, VK, Youtube et bien d’autres apprentis-gestapistes, forçant certains d’entre-eux à s’exiler en Turquie par exemple…

Ils ont été menacés, des noms ont été diffusés en ligne, mais rien ni personne ne leur a fait changer de cap. Never ever.

J’ai eu la chance et l’honneur de participer à quelques-uns de ces combats.

Je puis dire à présent : j’en étais, et je me suis éclaté à faire mordre la poussière à des salopards qui finissaient en chialant dans leur cellule.

J’ai eu l’honneur de bosser avec de grands avocats, pénalistes et techniciens du droit, l’honneur de voir les condamnations pleuvoir, même devant des juges souvent acquis à la cause de ceux qu’ils devaient juger, les preuves étant trop nombreuses et précises.

Ils n’ont eu besoin de rien ni de personne, aucune association digne de ce nom ne les a aidés dans leur combat, associations souvent nombrilistes et inutiles. Je n’ai aucune honte de le dire, ces associations étaient seulement là pour prendre des dossiers clefs en main, tellement plus facile.

Bref, l’essentiel était de combattre le mal en ligne. Et ce n’est pas terminé.  

Merci mes amis. See you in Hell

PS (aux amateurs nazis) : Ce n’est pas parce qu’ils ne sont plus que vous pouvez vous lâcher sur les réseaux: le meilleur ennemi est celui qu’on ne voit pas… Dont acte…