Echange authentique avec une personnes de mes relations : « Non, je ne suis pas vaccinée. On ne sait pas ce qu’il y a dedans. Il y a déjà eu le sang contaminé, l’hormone de croissance, Médiator. Je ne suis pas vaccinée, mais ne le dis surtout à personne. »
Le discours sur une obligation vaccinale imposée à la population dans son ensemble et le matraquage politico-médiatique n’y changeront rien. C’est la confiance qui manque pour expliquer, rassurer et convaincre.
Un pouvoir aussi discrédité par les mensonges (sur les masques, les places en réanimation, le nombre des morts prévisibles, etc.) n’est plus en mesure d’inspirer la confiance.
La contrainte généralisée et les menaces n’ont jamais permis de résoudre quoi que ce soit.
Et puis que faut-il comprendre? 60% des Français sont vaccinés, en particulier les personnes à risque. Selon le discours médical et scientifique, le vaccin protège contre les formes graves, évite l’hospitalisation et la mort.
La Grande-Bretagne (vaccinée) connaît une flambée épidémique – sous forme de rhumes – mais quasiment aucun décès. Si tout cela est vrai, les Français (soit vaccinés, soit ne relevant pas des catégories à risque) n’ont aucune raison d’avoir encore peur du Covid et de ses variants.
Quant aux personnes qui ne veulent pas être vaccinées, elles font un choix relatif à leur santé et leur intégrité corporelle qui n’appartient qu’à elles – et au secret médical.
Il est doublement incohérent de dire qu’elles mettent les « vaccinés » en péril puisque d’une part le vaccin protège contre les formes graves mais n’empêche pas (semble-t-il) d’attraper la maladie et de contaminer autrui, et d’autre part, les vaccinés sont en principe à l’abri du risque vital.
Ce n’est sûrement pas par l’opprobre, l’exclusion, le lynchage et la diabolisation qu’elles seront convaincues.
La rage qui se développe contre les « non vaccinés » dans la population française rappelle étrangement les chasses aux boucs-émissaires du Moyen-âge lors des grandes pestes.
Ah la nature humaine… Le monde politico-médiatique évoque une situation où des variants aux noms bizarres venus du fond de l’enfer s’apprêtent à déferler sur la France comme des cavaliers de l’apocalypse. Les lâches, les pleutres et les pervers, les despotes de plateau se réveillent pour réclamer de nouvelles restrictions à la circulation et atteintes aux libertés. A qui profite la peur?
NB: heureux que Mme Natacha Polony, dans Marianne, dise la même chose que moi (en mieux).
© Maxime TANDONNET
Premièrement le secret professionnel n’existe plus dans cette affaire des injections en question. En effet, j’ai lu hier dans les infos (fiables ?) que la CNIL avait finalement autorisé la communication de tous les noms des nom-vaccinés aux médecins traitants. Donc plus de protection de ce côté-là.
Par ailleurs aujourd’hui la peur profite grandement au gouvernement qui met en pratique le fameux dicton « DIVISER POUR MIEUX REGNER ». Stratégie effectivement d’inspiration diabolique, tout droit sortie des enfers…