Nouvelle agression contre Israël
Israël connaît une nouvelle agression sur son sol et son peuple en provenance de l’intérieur et de l’extérieur du pays. Les coupables sont le Hamas, la Jordanie, l’Autorité palestinienne (AP) et les responsables politiques israéliens arabes.
A l’extérieur, des missiles sont envoyés depuis Gaza.
A l’intérieur, des parlementaires et responsables politiques israéliens arabes manipulent les publics qu’ils représentent semer le chaos urbain par djihadisme.
Le régime hachémite, responsable par la grâce des israéliens des lieux saints non-juifs de Jérusalem, supervise, soutient et encourage depuis Aman & sans vergogne les violences contre les personnes et les biens israéliens juifs. Loin de calmer la situation comme l’exige son statut de protecteur des lieux saints, le roi jordanien renoue avec la tradition d’intolérance et de haine antisémite qui prévalait avant l’expulsion de ses troupes de Jérusalem. Il demande notamment & publiquement aux clergés chrétiens de Jérusalem de la patience…
Le Hamas est une bande terroriste, djihadiste et antisémite installée à Gaza à la suite d’un coup d’Etat ayant renversé l’AP. Elle est armée et financée par la « république islamique d’Iran ». Elle réclame la destruction d’Israël et des Juifs.
L’AP doit son existence aux accords de paix entre les palestiniens arabes et les israéliens. Elle survit par l’oppression de son peuple, les reports électoraux et le transfert du mécontentement populaire vers la haine d’Israël (éducation, déclarations, manifestations, etc.). Elle refuse l’existence d’un Etat juif alors qu’elle se définit elle-même comme arabe. Elle viole la plupart des accords signés avec Israël. Elle lui propose comme unique élément de négociation la maîtrise prétendue des attentats anti-israéliens. Son président (auteur d’un pamphlet universitaire sur le mensonge de la Shoa) et ses ministres éjectent régulièrement leur antisémitisme dans les tribune internationales (ONU, etc.). Enfin, elle refuse la poursuite des négociations directes et indirectes.
Les ennemis d’Israël
Les arguments des ennemis d’Israël reposent sur le mensonge des faits (Israël est présenté comme l’agresseur alors qu’il est l’agressé), l’inversion des règles de Droit (Israël violerait le Droit international public alors qu’il l’applique), l’exercice d’un Droit inexistant (Israël occupe des territoires illégitimement alors qu’ils sont légitimement le résultat de conflits subis et gagnés sur les agresseurs) & sur la base de faits tronqués (réécriture de l’Histoire à charge contre Israël)
Les ennemis d’Israël disposent dans leur combat de la complicité d’Etats qu’ils ont satellisés contre promesses de financements plus ou moins tenues.
Par l’exercice mafieux des règlements, ils usent et abusent d’organisations internationales qu’ils ont progressivement & inlassablement infiltrées puis maîtrisées.
En voici deux exemples non exhaustifs.
1- La procureure de la cour pénale internationale (CPI) Bensouda est une ancienne ministre du régime tortionnaire de Gambie. Elle s’acharne hors cadre, hors droit, sans preuve et sur présentation de l’AP sur les prétendues responsabilités israéliennes dans de prétendues violations de droits humains par Israël. C’est très grave mais ça passe !
2- L’ONU traite exceptionnellement les difficultés attachées aux palestiniens arabes (budget, organisation, complicités avec des terroristes, UNRWA, etc.). Le traitement accordé à ces populations pour légitime qu’il soit, est sans commune mesure aux autres populations, plus nombreuses, plus en difficultés, délaissés abandonnées dans le monde par l’ONU. Il n’existe aucune organisation spéciale destinée à d’autres population dont les caractéristiques d’urgence et de désespoir dépassent celles des palestiniens (persécutions et conflits au Darfour, des ouïgours, des chrétiens du Nigéria, des kurdes, etc.)
Le vocabulaire employé par oral et dans les intitulés des organisations onusiennes adopte celui des ennemis d’Israël (territoires occupés, etc.). Il s’agit de la consécration du dévoiement du Droit, de la prévalence du mensonge et du règne du bellicisme.
Par leurs contributions dévoyées aux manquements de leurs charges, la CPI, l’ONU et consorts portent une responsabilité factuelle, juridique et historique dans la poursuite des tentatives d’élimination d’Israël comme dans conflits dans le monde.
Israël
Les victoires militaires israéliennes ne se transforment pas en victoires politiques.
La nouvelle agression que subit Israël indique l’échec de sa politique de mansuétude et de magnanimité à l’égard des dictatures ennemies et vaincues. Les dictateurs préfèrent perdre les guerres pour lesquelles ils envoient leurs peuples mourir que perdre leur pouvoir.
Echec des concessions territoriales en échange de la paix, fait unique dans l’Histoire des conflits.
Echec de l’absence de déplacements des populations à l’issue de conflits subis et gagnés en 1948 alors que la règle dans le monde et particulièrement en cette période était leurs expulsions.
Echec des concessions accordées à des mouvements politiques israéliens hostiles à son existence au nom de leur arabité, cas unique au monde.
Échec des réticences d’Israël à revendiquer son statut de légitime défense.
Echec des absences de saisines juridictionnelles locales pour diffamation d’Israël par ses ambassades.
Echec des faibles niveaux de réactions israéliennes face aux manipulations du Droit, des organisations internationales, et de toute activité hostile à l’existence de l’Etat hébreu.
La politique de mansuétude que les cabinets israéliens, toutes couleurs politiques confondues, ont accordé à leurs ennemis constituent un échec. Les citoyens israéliens en paient anormalement le prix, trop souvent de leurs vies.
Horizon
Israël est en légitime défense mais réagit toujours par la patience avant de répondre militairement. Il convient de ne plus laisser penser qu’il s’agit de faiblesse ou d’abus de sa patience. La « ligne rouge » est régulièrement évoquée. Elle est comprise par ses ennemis comme une faiblesse. Elle doit succéder directement aux agressions.
Membre de la plupart des organisations internationales, Israël doit revendiquer :
1- le respect de sa légitime défense
2- le respect des règles de droit sur l’acquisition et la disposition des territoires d’un Etat ayant vaincu des agressions subies
3- la fin de la manipulation (accusations mafieuses sans preuves et sans Droit) des organisations internationales au premier rang desquelles l’ONU contre Israël
4- exiger de l’ONU le respect de la protection des populations civiles israéliennes martyrisées
5- ne pas craindre d’organiser les plaintes pour crimes de guerre contre les responsables palestiniens, jordaniens et de Gaza. La seule argumentation israélienne renforcera ses droits.
6- Il convient d’actualiser les accords institutionnels avec les partis politiques israéliens ennemis de leur propre Etat, les accords avec l’AP et ceux avec le régime jordanien.
7- Israël doit accompagner sa riposte militaire par l’utilisation des instruments politiques, diplomatiques et de Droit international dont elle dispose.
8- L’AP doit être placée devant ses responsabilités idéologiques, administratives et internationales qu’elle a elle-même contractées par accords avec Israël.
9- Le roi de Jordanie se croit tout permis dès qu’il s’agit de son règne, de sa population et d’Israël. L’Etat hébreu ne saurait se comporter en colonie ni protectorat jordanien. Il est difficilement compréhensible de comprendre l’hostilité hachémite contre Israël qui lui a offert le maintien de ses activités de souveraineté confessionnelle à Jérusalem.
10-Les organisations internationales doivent perdre de leur illégitime superbe contre Israël. Il faut, avec ou sans aide diplomatique extérieure, refuser et rejeter les oukases contraires à la charte de l’ONU et argumenter. Israël ne manque ni de constitutionnalistes, ni de magistrats !
11- Il est inacceptable qu’Israël face l’objet d’une inversion de la norme de Droit, qu’il subisse de fausses règles inventées exclusivement à sa charge. C’est à Israël de le dire, de l’écrire, de le diffuser, de saisir les instances internationales. Ce ne sera pas plus dur ni plus désespérant que ne rien faire ou de faire peu.
Vive la vérité !
Tous ceux qui dans les media et le monde public participent à la focalisation sur Israël et sa culpabilisation suivent ou précèdent par antisémitisme national et international les intérêts des terroristes djihadistes à la destruction d’Israël.
En dépit des agressions subies, Israël est devenue une puissance maritime, militaire, économique, financière grâce à la force de son peuple.
La triste et dangereuse nouvelle agression que subit Israël ne saurait subir le même sort que celles qui ont précédé, savoir la victoire militaire et l’échec politique.
Il n’est pas normal que ses ennemis lui causent de si graves difficultés sur son propre sol. Il est insupportable que son peuple vive au bon vouloir des dictatures voisines qui le jalousent.
Il est inadmissible que l’ONU viole ses propres statuts, que les agressions anti-israéliennes soient justifiées par l’inversion du Droit et l’application de règles inexistantes, inventées et exclusives à destination du seul Etat d’Israël.
Israël est en mesure d’assortir à ses indispensables réactions militaires des réactions techniques, juridiques, politiques tout aussi légitimes. C’est à ce double effort que l’horizon sécuritaire suivra les incomparables réussites du peuple et de l’Etat d’Israël dans la paix et la sécurité.
Pierre Saba
Israel est dans son bon droit . Israel gagnera contre les entreprises terroristes telles que le Hamas . Espèrons que Tsahal et la fermeté du gouvernement israèlien feront cesser les attaques contre notre terre sacrée. La patience n’est plus de mise ,il faut agir vite et fort.
et cela sert à quoi, vos laïus et complaintes? Faites quelque chose et dites nous ce que
nous pouvons faire aussi? Sinon, faites comme moi, partez voir ailleurs. Au moins, autant que l’État Français n’est pas encore Failli et vous paie encore votre Retraite méritée par vos cotisations…(obligation légale internationale avant guerre mondiale…Nous finirons alors nos Vieux Jours à « La Plonge » ou la Soupe Populaire?)
je réponds tardivement mais je dois dire que je ne fais pas partie de Tsahal, j’écris simplement des commentaires et je ne donne pas de leçons aux personnes qui en écrivent.