Charles Rojzman. Quelques nouvelles de la Thérapie sociale

Les actions de Thérapie sociale avec Charles Rojzman vont reprendre peu à peu aux Etats-Unis, au Canada, au Guatemala (où il est question de la participation de la thérapie sociale à la création d’un centre de formation à la démocratie pour l’Amérique centrale), en Colombie (collaboration avec l’université nationale de Colombie pour la réconciliation nationale et le processus de paix) et en 2022 dans les Grands lacs africains (Rwanda, Burundi, République démocratique du Congo…).

En France, un projet important sur la violence dans plusieurs villes du Nord et de la région lyonnaise espère un financement pour débuter en septembre 2021.  Des formations et des supervisions d’intervenants sont assurées par Nicole et Igor Rothenbuhler en France et en Suisse ; des interventions dans diverses organisations et institutions ont lieu en particulier à HEC Paris et à l’université de Fribourg en Suisse.

On voit que les intervenants en Thérapie sociale formés   par l’Institut Charles Rojzman travaillent en France, aux Etats-Unis, en Allemagne, en Italie, en Belgique et en Suisse.

« L’objectif de la Thérapie sociale que je préconise et pratique n’est pas la paix ni une réconciliation illusoire entre des ennemis ou des adversaires politiques, mais la reconnaissance en commun dans la plus grande diversité d’informations possibles du réel en vue d’actions possibles en synergie et/ou de pressions sur les décisions politiques.

Les majorités se rallient toujours au plus fort. Dans les circonstances difficiles que nous traversons nous serons probablement obligés de renoncer à des éléments du Droit actuel et de prendre des mesures douloureuses pour réussir par la suite ou simultanément une réconciliation sur des bases réalistes.

Mais ce changement indispensable ne pourra se faire sans l’assentiment des majorités qui, pour l’instant s’opposant silencieusement ou à grand bruit, risquent de laisser la place à ceux qui souhaitent   le chaos et la guerre civile.

La vraie révolution dont on peut rêver est faite par une majorité de citoyens de tous bords, non réunis en clans idéologiques, sociaux ou ethniques qui font PRESSION sur des dirigeants impuissants, au pire exclusivement soucieux de leur survie politique ou au mieux empêtrés dans des contraintes extérieures à la nation et des règles tatillonnes inadaptées aux enjeux du moment.

La vraie révolution, ce ne sont pas des paroles compatissantes ou même martiales mais des actes forts qui vont déranger nécessairement certains groupes ou individus mais seront moins dommageables que ce chaos qui s’installe et risque de faire glisser l’ensemble de la société dans l’inhumain. »

© Charles Rojzman

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