COMMUNIQUE
Halte aux fake News de Reuters. Le BNVCA est inquiet pour l’agence Reuters en proie à une bouffée délirante de désinformation
Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme, BNVCA, conteste le titre partial de l’article diffusé le 3 mai 2021 par l’Agence Reuters basée à Ramallah, concernant l’attaque au couteau perpétrée par une femme palestinienne de 60 ans qui, blessée par des soldats, a succombé plus tard à ses blessures.
Le titre « Violences en Cisjordanie, une palestinienne tuée, deux Israéliens blessés » omet l’essentiel.
La palestinienne tuée voulait commettre un attentat, les deux israéliens blessés ont été victimes d’un autre attentat au carrefour de Tapoua’h.
Dans les deux événements cités, ce sont des palestiniens à l’origine des attaques, Reuters ignore délibérément la légitime défense des victimes juives israéliennes.
Quant à l’étrange attaque de cette femme, la question posée est de savoir si elle a voulu assurer des revenus à sa famille.
En effet, il est officiellement admis et patent que tout assaillant palestinien touche un «salaire » de l’Autorité palestinienne aux frais des contribuables européens et français.
Bien sûr, si cette femme palestinienne avait pu tuer un soldat, le salaire eût été plus élevé.
Sa famille doit le regretter.
De plus, faire passer l’agresseur pour la victime semble être le nouveau tour de passe-passe abject, celui qui permet l’immonde : la création d’un groupe de soutien à Kobili Traoré, le tueur islamiste, donc antisémite, de Sarah Halimi, torturée, fracassée, défenestrée, en est le modèle.
Les reporters de Reuters ne devraient pas se croire obligés de maquiller la vérité au motif qu’il émettent de Ramallah. Le BNVCA refuse ces biais d’informations qui toujours mettent Israël en accusation sans rendre compte des circonstances ni des motivations pécuniaires recherchées.
Le BNVCA, soucieux de faire baisser le niveau de haine vouée à l’état juif, haine qui pousse à l’acte antijuif, signale ces faits au Ministère français de tutelle de de la Presse ainsi qu’à la Direction de Reuters. Nous leur demandons de remédier à ce fléau de la désinformation systémique qui engendre la violence.
© Sammy Ghozlan pour le BNVCA
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