L’Armée en France, après des coupes sombres dramatiques dans ses moyens depuis 25 ans, est malgré tout une des dernières institutions qui tient encore dans notre pays ravagé par le progressisme, le gauchisme, l’islamo-gauchisme et l’austérité-décroissance économique maastrichtienne. Beaucoup d’autres institutions sont laminées dans leur moyens, comme la Recherche et l’Université, comme on le voit parfois sur des exemples douloureux comme la mise au point et la production des vaccins par exemple. La Police en est un autre exemple.
La Justice est elle aussi laminée et clochardisée par le pouvoir politique, en sus d’être gangrenée par le gauchisme et l’islamo-gauchisme comme la juge Ihuellou en est un dernier sinistre exemple en date.
Ne mentionnons pas l’Education nationale, ravagée par l’égalitarisme, le gauchisme, le nivellement pas le bas et la déculturation comme politique de désenseignement.
La crainte que l’on peut avoir, suite à l’appel des 10 000 militaires, est que la dernière Institution de France encore debout ne devienne la cible d’un pouvoir irascible et capricieux incarné par l’enfant gâté Macron. Bien sûr, nos politiques savent que dans le monde actuel et encore plus dans celui qui vient, si nous sommes encore là pour le voir, la France a besoin d’une Armée forte pour la défendre. Mais, dans les décisions quotidiennes, qui s’accumulant au fil des jours et des ans, font plus souvent que les choix politiques affirmés et défendus officiellement, il est à craindre qu’elle ne soit la victime de la vindicte des politiques, Macron en tête, la laissant chaque jour un peu plus démunie dans ses moyens, et politisée dans ses promotions.
Les guerres qu’on pense hypothétiques et pour un avenir lointain seront oubliées au profit de la nécessité de toujours plus étroitement contrôler l’Armée par un pouvoir politique chaque jour moins légitime et sûr de son autorité.
Après cet appel, ô combien espéré et salutaire, Grand est le risque de voir progressivement notre Armée transformée en outil à la solde du pouvoir progressiste et de voir des Commissaires politiques accéder aux plus hauts postes plutôt que les Chefs de guerre dont la France a besoin, nous laissant démunis à l’heure où les périls que l’on voit monter deviendront une réalité brutale.
© Robert Louis Norrès
“La guerre est une chose trop compliquee pour etre conduite par des militaires.Nous allons punir les Allemands;nous ferons de leur pays une republique”.
Georges Clemenceau,1919.
Il est bien agréable de voir qu’un lecteur de TJ a su conserver une culture politique et militaire qui rappelle que le goût de la connaissance était une vertu juive, maintenant voilée par les passions accusatrices, ancien vice français. Merci d’avoir rappelé que la révolte contre la colonisation italienne voisine avait débordé sur le protectorat de Tunisie. Egalement d’avoir rappelé que les sympathiques Bosniaques, encouragés par le régime fasciste croate et la visite du mufti de Jérusalem,avaient formé une division musulmane de waffen SS. Les valets de la télévision nous expliquent que l’armé nous défend, on se demande pourquoi elle était engagée contre la Serbie, alliée héroïque de la France dans les deux guerres; on pouvait se rappeler les sacrifices des Serbes, en 1916 contre la barbarie Bulgare et Autrichienne, l’amitié avec nos maître allemands n’a pas de prix, semble-t-il.
Clemenceau n’avait pas besoin d’une élection scélérate pour diriger la guerre, le président Poincaré qui disposait de la force armée et nommait aux emplois civils et militaires ne pouvait gêner personne. Notre jeune chef est toujours chef des armées, comme les présidents de la 4° République, non commandant en chef comme l’écrivait froidement le magazine TIME. Auriol fut un homme de qualité qui réclama des poursuites contre les factieux de 1958 qui s’étaient emparés des mairies, ce qui ne troubla pas Coty, un homme vaniteux et faible, ni l’homme du “processus régulier”.
Lebrun, qui était réputé pour son intelligence de polytechnicien, ne fit rien contre le désastreux commandement bicéphale et le coup d’Etat de Pétain.
Une élection au suffrage universel, sans les femmes, aurait-il changé quelque chose?
Cette élection ne pouvait servir que de Gaulle, seul, elle fout en l’air notre système républicain: on nous répète que la police et l’armée sont républicains, chic! Le président actuel est-il républicain, ou les ânes qui veulent le remplacer? Je ne le crois pas.
Vous exprimez-vous sur un autre site? Je lis peu, maintenant TJ, car je pense que M Netanyahou nuit désormais à la cause d’Israël et la cause sioniste, et les grands seaux d’eau froide ne sont pas bons pour les vieux.
amicalement,
Très révélateur : la réaction hystérique de la ministre, des médias LREM,de la LICRA, du rouge-brun Mélenchon et j’en passe…Ah si le ridicule tuait, quelle hécatombe ce serait !…Tous ces clowns sont exactement le contraire de ce qu’ils prétendent être.
En ce jour de Camerone,tous les remerciements d une famille de legionnaires qui sert la France depuis le XIIIeme siecle mais n oublie pas quelques origines juives (familles d Assas et de Jurquet de Montjesieu,ex Azzaz et Judeo de Montjudeo francises en 1539,ordonnance de Villers Cotterets).Amicalement.