Alyah Rivka. Lettre à ma France

Chère France,
Tu as abandonné ta Sarah, elle qui t’a tant donné.
Elle était douce, vaillante, elle t’aimait tant, France.
Qu’as-tu fait de tes juges ? Ils ont failli à leur tâche.
Ils ont perdu jusqu’au sens du mot « justice ».
Je pleure sur toi, France. Je pleure sur Elle, Sarah.
Sarah, torturée, meurtrie, jetée comme un vulgaire chiffon
par sa fenêtre, avec des mots de haine,
souffrante, sanglante, mourante, morte enfin.
Regarde-la, France, Ne détourne pas les yeux.
Tu portes une couronne, France, et tu n’en es plus digne.
Rendre la justice est la première de tes responsabilités.
Nous pleurons Sarah et Sarah attend justice.
Je te rappelle, France, à ton devoir.
Je dis « Non » à ta Cour de Cassation aveuglée par je ne sais quelle procédure ou règle établies
Qui n’a plus rien à voir avec la Justice.
Mère « Cassation » décide que Justice ne « peut » être rendue.
Qui es-tu donc, « Cassation » ?
Une entité emprise par un « délire » d’injustice ?
Cassation, tu décides de ne pas juger l’assassinat d’une dame tranquille et sage ?
Cassation, tu permets l’inqualifiable, le meurtre au nom de la religion ?
France, Ne l’écoute pas, Regarde Sarah torturée, meurtrie, tuée, assassinée !
France, ne nous abandonne pas. Ton peuple crie à l’injustice !
Ta couronne est chancelante et tes yeux brouillés.
Reprends-toi, France, Ton peuple t’en conjure, Ton peuple te regarde et attend.
Alyah Rivka

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