“Un bon titre”, chacun s’y exerce: Percutant. Accrocheur. Court. En guise d’accroche.
Parfois d’aucuns se vautrent. Une forme de prostitution. Outre que souvent “ils” arrivent, ceux-là, bien après “la bataille, “ils” osent vous vendre n’importe quelle bouillie, obsédés par s’attirer le “chaland-lecteur”, fût-ce au prix de quelque mensonge éhonté. Certes, il conviendrait d’en rire. Et je gage que l’intéressée en rit encore.
Aurais-je, à force, perdu tout humour. Tout désir de rire “avec” ceux-là, “si jamais” “ils” se voulaient… drôles.
Pour rappel: Alors qu’elle évoquait, sur le plateau de L’Heure des Prauds, le conflit entre la famille royale et Harry et Meghan, – parce que le sujet était “au programme”, et alors qu’elle disait être frappée par les commentaires goguenards d’un grand nombre de nos médias sur le conservatisme, sur le fait que tout ça est dépassé, le maître des lieux, Pascal Praud en personne, crut pouvoir lui couper le sifflet d’un méprisant: “Merci. Ce n’est pas très intéressant ce que vous nous dites“.
La réaction de la Journaliste- co-créatrice depuis 2007 de Causeur ne s’est pas fait attendre, s’offusquant de ce ton qui sans doute jadis fut de mise lorsque les Femmes devaient … s’excuser de … tousser. Elisabeth Lévy ne sortit ni colt ni arme blanche: elle mit fin à la récré de fort mauvais goût et l’on gage que désormais Pascal Praud fera un tantinet … attention
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