Natacha semble frappée d’amnésie.
Rappelons que les gilets jaunes, immédiatement après leur début (première manif aux ronds-points le 17 novembre 2018) sont devenus autre chose.
Certains se prenaient en photo avec Dieudonné, quenelle obligatoire pour tous.
D’autres cassaient tout en place publique, dont l’Arc de Triomphe et le mémorial du soldat inconnu.
D’autres encore se laissaient, bien volontiers d’ailleurs, instrumentaliser par des manipulateurs sulfureux d’extrême gauche ou d’extrême droite. Dont Alain Soral n’était pas le pire.
Certains s’attaquaient à Finkielkraut, portant gilet jaune et « keffieh palestinien ».
D’autres menaçaient de mort quiconque se présenterait (politiquement) pour parler en leur nom. Rappelons le cas d’Ingrid Levavasseur, mère célibataire et aide-soignante, obligée à laisser tomber sa candidature pour cause de menaces sur ses enfants.
Menacés de mort ? Pas tous. Etonnant, non ? Selon quels critères ?
N’empêche que ceux-là ont pu fonder des ridicules bribes de partis et se présenter à la prochaine élection pour lamentablement échouer….
Le reste ? Ecouter Natacha pendant 44 minutes ? Au-dessus de mes forces.
D’accord avec Obadia.
Sans oublier que les gilets-jaunes étaient, rapidement et semble-t-il complaisamment, infiltrés par des émeutiers genre « black blocks » ; au point de devenir « gilets gris », pour ne pas dire « noirs ».
Et les effigies de Macron en pendu ou brûlé en tête de cortège… Brandies par des gens sans AUCUNE légitimité, certainement pas démocratique.
Ce mouvement a vite fini par charrier tout ce qui traine dans le caniveau politique et idéologique en France. La « compréhension » de Natacha à leur égard en devient gênante.
On se demande d’ailleurs du haut de quelle compétence elle parle.
Il serait difficile d’évacuer l’hypothèse que si n’était sa crinière rousse en son physique avenant elle serait restée inconnue du bataillon.
Rappelons qu’elle est vendeuse de papier en tant que directrice de Marianne (dont une affiche publicitaire avec un personnage féminin aguichant et dénudé ressemblant à Natacha est bien visible dans la vidéo).
Ne sommes-nous pas simplement devant une propagande mercantile déguisée en pseudo-analyse « politique » ?
Sans oublier une dose de narcissisme. Il faut quand même être sévèrement imbu de sa personne pour croire à l’intérêt de 44 minutes à s’écouter parler.
Natacha semble frappée d’amnésie.
Rappelons que les gilets jaunes, immédiatement après leur début (première manif aux ronds-points le 17 novembre 2018) sont devenus autre chose.
Certains se prenaient en photo avec Dieudonné, quenelle obligatoire pour tous.
D’autres cassaient tout en place publique, dont l’Arc de Triomphe et le mémorial du soldat inconnu.
D’autres encore se laissaient, bien volontiers d’ailleurs, instrumentaliser par des manipulateurs sulfureux d’extrême gauche ou d’extrême droite. Dont Alain Soral n’était pas le pire.
Certains s’attaquaient à Finkielkraut, portant gilet jaune et « keffieh palestinien ».
D’autres menaçaient de mort quiconque se présenterait (politiquement) pour parler en leur nom. Rappelons le cas d’Ingrid Levavasseur, mère célibataire et aide-soignante, obligée à laisser tomber sa candidature pour cause de menaces sur ses enfants.
Menacés de mort ? Pas tous. Etonnant, non ? Selon quels critères ?
N’empêche que ceux-là ont pu fonder des ridicules bribes de partis et se présenter à la prochaine élection pour lamentablement échouer….
Le reste ? Ecouter Natacha pendant 44 minutes ? Au-dessus de mes forces.
D’accord avec Obadia.
Sans oublier que les gilets-jaunes étaient, rapidement et semble-t-il complaisamment, infiltrés par des émeutiers genre « black blocks » ; au point de devenir « gilets gris », pour ne pas dire « noirs ».
Et les effigies de Macron en pendu ou brûlé en tête de cortège… Brandies par des gens sans AUCUNE légitimité, certainement pas démocratique.
Ce mouvement a vite fini par charrier tout ce qui traine dans le caniveau politique et idéologique en France. La « compréhension » de Natacha à leur égard en devient gênante.
On se demande d’ailleurs du haut de quelle compétence elle parle.
Il serait difficile d’évacuer l’hypothèse que si n’était sa crinière rousse en son physique avenant elle serait restée inconnue du bataillon.
Rappelons qu’elle est vendeuse de papier en tant que directrice de Marianne (dont une affiche publicitaire avec un personnage féminin aguichant et dénudé ressemblant à Natacha est bien visible dans la vidéo).
Ne sommes-nous pas simplement devant une propagande mercantile déguisée en pseudo-analyse « politique » ?
Sans oublier une dose de narcissisme. Il faut quand même être sévèrement imbu de sa personne pour croire à l’intérêt de 44 minutes à s’écouter parler.