Avec la normalisation des relations entre Israël et la plupart de ses voisins, c’est une nouvelle donne géopolitique qui s’impose, structurée notamment par l’expansionnisme iranien, estime dans sa chronique Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».
Le 8 mars, une étonnante formation aérienne a sillonné le ciel du Moyen-Orient. Deux bombardiers stratégiques américains, des B-52H, étaient en exercice de démonstration de force. C’est l’accompagnement qui a retenu l’attention : des chasseurs F-15 israéliens, puis saoudiens et qataris. Le Pentagone a parlé d’une « patrouille multinationale » – américano-israélo-arabe.
La même semaine, Thomas Friedman, l’un des chroniqueurs du New York Times, relevait ce chiffre : depuis octobre 2020, et l’annonce de la normalisation des relations entre Israël et l’Etat des Emirats arabes unis (EAU), 130 000 Israéliens ont visité Abou Dhabi, la capitale des EAU. Le vol El Al Tel-Aviv – Abou Dhabi ne désemplit pas. Les ressortissants de l’un et l’autre pays sont dispensés de visa. Les puissants fonds financiers émiratis envisagent des participations dans la haute technologie israélienne.
Signataire avec l’EAU des « accords d’Abraham » – sur l’établissement de liens officiels avec Israël –, le micro-émirat de Bahreïn fait appel, poursuit le New York Times, à l’Israel’s Mekorot National Water Company pour désaliniser l’eau.
« La diplomatie d’Abraham », prophète œcuménique, n’aurait pas eu lieu sans le feu vert de l’Arabie saoudite. Elle a été approuvée par la Ligue arabe – en dépit des protestations des Palestiniens. Initiative de l’administration Trump, elle a été saluée aux Etats-Unis bien sûr, républicains et démocrates à l’unisson, mais aussi en Europe, à Moscou et à Pékin, chacun ânonnant un vague couplet sur la question palestinienne.
Après une longue brouille de nature politico-idéologique, l’émirat du Qatar se réconcilie, un peu, avec la maison des Saoud, mais sans suivre encore la ligne abrahamique. Cependant, à la demande d’Israël, le Qatar achemine régulièrement une assistance humanitaire à Gaza, ce territoire palestinien que contrôle le Hamas, rappelle Gilles Kepel dans son dernier livre – « Le Prophète et la pandémie ».
Premier Etat arabe à ouvrir une ambassade à Tel-Aviv (en 1979), l’Egypte du maréchal Abdel Fattah Al-Sissi coopère aujourd’hui avec l’armée israélienne contre les réseaux gangstero-islamistes du Sinaï. La Jordanie – qui a suivi l’exemple de l’Egypte en 1994 – entretient depuis les meilleures relations avec Tsahal.
Echec du nationalisme arabe
Comme le remarquait dès l’automne 2020 le journaliste Guy Sitbon, savant vétéran des aventures du Moyen-Orient, « personne ne l’annonce, mais la guerre est finie ». Pour une majorité d’Etats arabes – on ne parle pas de l’opinion arabe –, l’état de guerre avec Israël, motivé par l’affaire palestinienne, c’est terminé.
On dira que cette situation ne date pas d’hier, mais les « accords d’Abraham » l’officialisent. Il y a des évidences qui gagnent à être expressément formulées. Ces accords « enterrent le conflit israélo-arabe comme facteur structurant le Moyen-Orient », écrit Kepel. L’histoire a besoin de marqueurs : « On tourne la page de la résolution [de la Ligue arabe] de Khartoum dont les signataires, au lendemain de la guerre de juin 1967, s’engageaient, selon la règle des trois “non”, à refuser à Israël toute paix, reconnaissance ou négociation. »
Les raisons qui expliquent la marginalisation de la question palestinienne sont nombreuses : fin de la guerre froide ; échec du nationalisme arabe ; moindre importance du pétrole moyen-oriental ; coupable complaisance américaine et européenne pour la colonisation israélienne ; division du mouvement national palestinien ; explosion du radicalisme djihadiste.
On s’arrêtera sur l’une d’elles : l’expansionnisme iranien dans le monde arabe. Agressée dès sa naissance par les régimes arabes – auxquels, il est vrai, elle promettait le pire –, la République islamique, née en 1979, avait bien des raisons de vouloir une ligne de défense au-delà de ses frontières.
Au fil des ans, des guerres et des interventions américaines, notamment, Téhéran va constituer son « croissant chiite » – cette sorte de dominion arabe où, par milices chiites locales interposées, l’Iran contrôle pour partie le pouvoir en Syrie et vassalise l’Irak et le Liban. Chacune de ces situations a son histoire et sa singularité. La théocratie iranienne, portant haut et fort la cause palestinienne et mettant en doute la pérennité d’Israël, a su, parfois, s’attirer les sympathies de l’opinion arabe.
Menace existentielle
Mais cet expansionnisme iranien, durable et prédateur, exercé par un pays aux desseins nucléaires pour le moins ambigus, est aujourd’hui vécu comme une provocation pour une partie de l’opinion arabe et comme une menace quasi existentielle pour les régimes en place – à Riyad comme à Jérusalem. L’impérialisme « perse » a déclassé la question palestinienne et a fait naître l’alliance israélo-arabe.
Les trois puissances non arabes de la région – l’Iran, Israël et la Turquie – y jouent aujourd’hui un rôle prépondérant. Leurs interactions façonnent le Moyen-Orient. les Israéliens confortent leur alliance anti-iranienne avec les Arabes. Les Iraniens s’accrochent à leur « croissant chiite ». La Turquie de Recep Tayyip Erdogan joue sur tous les tableaux, pour satisfaire un furieux tropisme de revival néo-ottoman.
Alain Frachon est éditorialiste au Monde
Coupable complaisance europeenne pour la colonisation israelienne ! Ce cher Mr Franchon , biberonné a la propagande puissament diffusée par son journal prend son ideologie tiers mondiste pour la realit🥵
Et non Mr Frachon , il n y a pas de complaisance mais une lutte antisioniste contre la renaissance nationale juive et la defaite du bobard denommé ” peuple palestinien ” , il reste une population arabe regionale a qui il faut donner une voie , mais les fantasmes du Monde et du quai d orsay ont fait long feu
Au nommé Amouyal : J’ai essayé plusieurs fois, après avoir lu vos commentaires, de comprendre quel était, quel est, votre position dans le conflit israélo-palestinien, mais en vain.
Puis-je espérer qu’à l’occasion de votre éventuel prochain commentaire vous serez plus clair ?
En tout cas, l’article d’Alain Frachon est clair comme l’eau de roche. Je le félicite aussi bien pour ce qu’il a écrit que pour son style d’écriture. C’est la perfection même.
De tels éditoriaux finiront par ramener la paix tant recherchée au Moyen-Orient.
Mr Khalifa , je veux pas vous laisser dans une interrogation sans reponse : donc j essaie de vous la donner ;
Je suis juif, sioniste , pro israelien, mais j essaie de regarder honnetement ( autant qu on puisse l etre ) l autre , c est a dire le resident arabe de cette region qui a une legitimité a vivre chez lui et le droit de revendiquer .
Par contre je considere le narratif national ” palestinien ” comme faux et non avenu , d autant que ce mouvement est avant tout la negation;du nationalisme juif avant de s etre bati une quelconque identité .
Voila le resultat que viennent de confirmer les pays arabes de la region en balayant cette ” cause ” definitivement , il n en demeure pas moins que deux populations cohabitent sur une etroite terre et qu elles sont condamnées a vivre ensemble .
Enfin pour ce qui concerne Mr Frachon et son organe de propagande au service des interets petroliers et financiers de la France , vous aurez compris le peu d egards que je leur accorde .
Je vous prie, Monsieur Amouyal, de lire ma réponse plus loin, après le nommé Pardo.
Je trouve étonnant, amouyal, que vous soyez si
Négatif sur la prise de position de Frachon qui est,
C’est rappelé, rédacteur en chef du monde,
Journal Qui n’est jamais tendre avec l’etat D’israel.
Pour ma part, je me réjouis que le monde prenne cette
Position et qu’il se réjouisse lui-même de la fin du conflit israélo-arabe et dénonce l’expansionnisme iranien. Enfin, ça ne vous réjouit pas, vous, qu’israel commence à être en paix ? Moi, si. Autre chose, ceux qui affirment que le peuple palestinien
N’existe pas sont dans la même logique que ceux
Qui affirmaient et qui affirment encore (voir des gens en Israël même comme Shlomo sand) par refus
De l’etat D’israel, que le peuple juif n’existe pas
@Tonyf ,
Je ne crois pas que le texte de Mr Frachon engage le journal Le Monde qui reste le pivot de la propagande antisioniste en France .
Je ne nie pas l existence d une population arabe dans cette region , je constate simplement qu apres 60 ans de bobards et de guerre intestine chez eux , et malgré les millards reçus et le soutien massif qu ils ont reçu , ils se sont montrés strictement incapable de se constituer en peuple coherent , donc , oui il faut leur accorder le maximum et les aider a trouver une voie , mais non , ils ont prouvé 1000 fois qu ils ne sont pas capables , et peu desireux au demeurant , d avoir une vie nationale .
Donc merci de ne pas me faire dire ce que je ne dis pas
Si vous voulez qu’on vous reconnaisse, reconnaissez
Que l’autre existe !
Reconnaître oui l’autre à condition qu’il soit légitime ce quin’est pas le cas de ces arabes qui sont des colons sans attache avec les terres d’Israël occupées .Ils n’ont aucun lien ni histoire sur ces terres juives
On reconnaît en effet un peuple qui a des liens historiques ce qui n’est pas le cas de ce peuple inventé par le KGB russe en 1967 et courtisé par l’Europe qui n’a en tête que faire des affaires avec les arabes et être approvisionnés en pétrole et gaz ce que Giscard a fait à Venise en 1975 avec les pays arabes et qui nous a coûté le droit du sol et le regroupement familial avec invasion de16 milllions de maghrébins aux pays indépendants et qui ruinent notre pays comme les colons arabes ont ruiné l’ONU avec l’UnWRA transmissible génétiquement depuis 1948 alors que le 1, 2 millions de juifs étaient expulsés de ces pays et n’ont jamais reçu le moindre sou
Non on ne negovie pas avec un peuple inventé et colonialiste et négationniste comme Abbas dont sa thèse passée en Russie niait la Shoah
Cher Monsieur Amouyal : Exception faite du tout dernier paragraphe de votre réponse,- dont je vous remercie, avec en même temps un sentiment de soulagement -, je suis heureux de vous annoncer que, pour ce qui précède ledit paragraphe, je suis à CENT POUR CENT sur la même longueur d’onde que vous.
En ce qui concerne Monsieur Frachon, ancien journaliste du quotidien “Le Monde” du temps d’Hubert Beuve-Méry, que je lisais tous les jours, je n’ai pas la même perception que vous.
Par contre, je regrette amèrement que suite au décès du fondateur dudit journal, le poste de Rédacteur en Chef ait été attribué à Edwy Plenel, au détriment d’Alain Frachon.
Car les conséquences, on connaît : la mainmise des gauchistes et des trotskistes sur l’organe indépendant, et la désinformation systématique au sujet d’Israël.
Bien qu’Edwy Plenel ait été licencié plus tard par le Directeur Jean-Marie Colombani, le mal continuait grâce à des copains laissés sur place. Et,
sans désemparer, il mit sur Internet son propre journal, “Mediapart”,
considéré aujourd’hui comme la référence absolue en matière d’islamo- gauchisme hostile à Israël.
Mr Khalifa , je ne partage pas votre point de vue sur ce ” journal ” , pour moi Le Monde a ete intronisé tres tot par le quai d orsay comme le coeur vivant du dispositif antisioniste , que cette strategie entierement voulue par les propritaires du pays pour assurer contrats juteux et faciles et afflux de main d oeuvre docile , que cette strategie donc ai rencontré un accueil chaleureux a l extreme gauche mondialiste , cela ne fait aucun doute , mais il n en demeure pas moins que la strategie eurabienne est , a la base , l oeuvre des grands patrons français et de leurs lobbies qui ne digeraient plus depuis la fin de la guerre d algerie , qu une politique residuelle pro israelienne leur ferme les portes des dictatures arabes ……
50 ans apres ,chacun peut observer le naufrage que cette politique a occasionnée
Je ne comprends pas ce que vous dites, mon dialogue avec vous se termine donc là.
A Mr Amouyal.
A propos de la place d’Alain Frachon au « Monde », celui-ci est rédacteur en chef. Si ce titre ne vous permet pas d’engager le Journal, qu’est-ce qui le permet ? Je rappelle également que Frachon est animateur d’une émission sur France Inter. En fait, comme tous les journaux, comme toute la gauche, « Le Monde » est traversé par plusieurs courants. Donc je maintiens ce que j’ai dit : Je me réjouis que Frachon prenne cette position, qu’il se satisfasse de la fin du conflit israélo-arabe et dénonce l’expansionnisme iranien. Si vous êtes partisan de la paix, vous devez vous en réjouir aussi, ne serait-ce que dans l’intérêt de ce pays qui nous est si cher : Israël.
Pour qu’il y ait la paix, il faut, disais-je, que les parties en présence se reconnaissent mutuellement. Donc que les Palestiniens reconnaissent Israël et que, réciproquement, les Israéliens reconnaissent les Palestiniens. Qu’est-ce qui vous donne, Mr Amouyal, le droit d’affirmer que la notion de peuple palestinien est un « bobard ». Que dites-vous des gens qui affirment que le concept de « peuple juif » est un « bobard », et qu’il n’a été inventé que pour justifier un projet colonialiste, la création de l’Etat d’Israël, Etat qui donc, pour ces mêmes gens, n’a pas de raison d’être ? Il faudrait dans ce cas définir ce qu’est un peuple.
N’est-ce pas, comme le disent les dictionnaires, « un ensemble d’êtres humains vivant en société, formant une communauté culturelle, et ayant en partie une origine commune » ; ou encore « une Communauté de gens unis par leur origine, leur mode de vie, leur langue ou leur culture ». Le peuple palestinien ne correspond-il pas à cette définition ? En fait pour ne pas utiliser le langage des antisionistes, des tiers-mondistes, dont je peux comprendre qu’il vous agace, comme il m’agace, et peut-être aussi parce que l’idée de la création d’un Etat palestinien vous fait peur, vous en venez à nier à ce que ce peuple-là existe et qu’il a comme tous les peuples, comme le peuple juif, le droit de revendiquer un Etat.
Mais, comme vous êtes quand même un peu humain, vous reconnaissez généreusement qu’il « reste une population arabe régionale à qui il faut donner une voie ». D’abord ce n’est pas à vous, ni à nous, de lui « donner une voie ». C’est à elle et à elle seule de le trouver ce chemin. Et cette voie doit absolument passer, comme pour les Israéliens, par la reconnaissance de l’autre.
Le « narratif » palestinien dont vous parlez, Mr Amouyal, existe, comme existe le narratif juif ou français, ou de tout autre peuple, que vous le vouliez ou non, même s’il est fondé sur des légendes. Tous les peuples sont fondés sur des légendes, cher monsieur. Et ces légendes constituent même le ciment de ces peuples, ils deviennent donc une réalité. De dire que ce narratif est « faux et non advenu », relève du déni, pour ne pas dire de la négation de l’existence de l’autre.
J’aimerais aussi dire que, moi aussi, je suis juif et sioniste. Sioniste, ceci signifie que je veux pour le peuple juif un Etat qui lui soit propre. S’il n’y a pas la paix avec le peuple palestinien et qu’en même temps vous estimez que ces gens ont le droit à une « voie » qui est la leur, de deux choses l’une : soit la cohabitation de 2 Etats, soit un Etat binational. Eh bien, cette deuxième solution est une catastrophe car l’Etat d’Israël, l’Etat pour les Juifs, deviendrait absurdement un Etat démographiquement arabe (si l’on écarte l’hypothèse intolérable de l’Apartheid). La solution à deux Etats reste donc la seule solution envisageable non seulement pour des raisons humaines, mais aussi pour l’intérêt d’Israël et du peuple juif en général.
Reste la question du comment on y parvient à cette solution. C’est une autre affaire. Mais il y a plusieurs idées qui ont été émises dans le passé. Il faut pour y arriver de l’imagination, du courage politique, et surtout, surtout la reconnaissance mutuelle.
Réponse à Mr Fitoussi gaston : Après avoir essayé d’engager un dialogue avec Mr Amouyal, je renonce car il me paraît incohérent dans ses points de vue et ses arguments.
Quant à votre propre réponse adressée à lui, et que je viens de lire, elle est pleine de bon sens, je vous en félicite.
Un bémol cependant de ma part : Etat binationl ou solution à deux Etats, ou encore d’autres solutions à envisager, la décicion à prendre appartient au Parlement israélien.
En attendant, continuons à défendre Israël face à ceux qui veulent sa disparition, à savoir : l’Iran, la Syrie, le Hezbollah, le Hamas, l’Irrédentisme palestinien encore vivace du Fatah et de Mahmoud Abbas, sans oublier l’Antisémitisme mondial qui se développe sans cesse, surtout aux Etats-Unis en ce moment.
Mon cher Shlomo, cher ami, “Amouyal” est un des mille pseudos pris par ce qu’on appele un “troll”, mais qui, le concernant, est un individu qui sévit sur ce fil et celui de Causeur. Cultivé, il a hélas une propension rapide à glisser dans l’incohérence, l’insulte, et j’en passe. Cela fait des années que nous le pratiquons. Son cas relève à notre sens de la psychiatrie. Nous sommes navrés lorsque soudain vous voyez disparaître quelqu’un avec qui vous tentiez de débattre: Soyez assurés qu’en ce cas c’est que nous avons vérifié l’identité de l’usurpateur. Sarah Cattan pour TJ
Mais Monsieur Fitoussi vois parlez de ce qui se disent palestiniens comme un peuple parce que Pères et RABINE ont commis une erreur terrible avec les accords bidons d’olo qui ont été suivis de dizaines d’attentats par les arabes
Vous savez fort bien que ce n’est qu’un peuple inventé par le KGB en 1967 et que ces arabes sont arrivés quand les pionniers juifs de Russie et de Pologne sont arrivés vers 1890 pour restaurer la Palestine juive
Ceux qui s’appellent palestiniens ne sont que des colons arabes sans lien ni histoire sur ces terres juives de Judée samarie ou Palestine juive nom donné par les romains en 122 après la défaite des Judéens Bar Kochba
Seuls les juifs aujourd’hui peuvent être considérés comme les Palestiniens mais s’affublait fe ce nom infâme ce serait une victoire ad mortem des romains ancêtres des italiens et du Vatican grand responsable de l’errance et persécution des juifs
Quand dire qu’Israël est un bobard par tous ces anti juifs ou anti israéliens ils n’ont qu’à lire les livres d’histoire et la Torah
On essaie de dire que les ashkénazes sont des khazars judaïsés comme les seplhqrades des berbères judaïsées c’est la plus grande farce de ces racistes musulmans et chrétiens pour délégitimer le droit des juifs de revendiquer ce qu’il reste de leur état dont 75% a été donné par les britanniques pour créer un état arabe artificiel la Jordanie e qui est un. vol des terres juives et une trahison de l’Angleterre de ne pas appliquer le vote de la SDN après la réunion de San remo en 1920 permettant aux juifs d’avoir un État de la Méditerranée à la Jordanie incluse
Comme je le disais on ne négocie pas avec des tribus arabes colons qui osent s’appeler palestiniens
Personnellement l’immonde Monde et son courrier diplomatique ou des cahiers d’orient n’appliquent depuis de Gaulle que la politique du quai d’Orsay qui subventionne ce journal tenu par les milliardaires Niels et Pigasse
Pleynel et Colombani ces journalistes racistes antijuifs ont bien appliqué les conditions du quai d’Orsay pour montrer que la politique pro arabe de la France se poursuivrait comme les affairistes chrétiens français le demandaient
Frachon et le monde par des phrases réalistes restent douteux pour moi et ce n’est qu’une stratégie ponctuelle en attendant la suite de la normalisation d’Israël avec les pays musulmans soit 58 états et 26 pays arabes
Pour le moment je reste sceptique sur ce changement de cap d’autant que les inconnues des États Unis et de l’Iran seront déterminants pour l’évolution du conflit israélo arabe
A Mr Fitoussi ,
Ce qui me permet de dire que la narratif national:palestinien est un bobard , c est tout simplement leur echec patent et total , d autre part , il me semble que ce nationalisme est né en miroir du sionisme , enfin ces gens n ont pas su s unir sous une banniere unique .
Oui ils doivent se prendre en charge , et , oui ils en sont incapables , maintenant a vous de me donner les pistes d une maturité nationale chez ces gens , je vous assure que cela simplifierai le futur pour tous .
Ils pourraient par exemple accepter le fait national juif , ce serait un debut , hors ils ne l ont jamais reconnu , donc pouquoi voulez vous a tout prix leur donner ce qu ils ne nous donnent pas ? Leur devont nous quelque chose ?
Mr Amouyal,
Merci pour votre réponse.
Je ne vois pas de lien de cause à effet entre un « bobard », c’est à dire un mensonge, et l’échec des Palestiniens.
Oui, le peuple Palestinien a pour l’instant échoué, oui, il s’est construit « en miroir », contre le sionisme (bien que ce ne soit pas complètement vrai, puisque ses protestations contre la présence juive ont commencé dès les premières arrivées des Juifs en Palestine courant 19ème siècle, donc avant la naissance du Sionisme et bien sûr avant 1948). Un peuple se construit toujours contre un autre peuple, une autre Nation : les Hébreux contre l’Egypte, les Juifs contre les Romains, les Gaulois contre les Romains, les Algériens contre la France, etc.
Par ailleurs, quel peuple n’a pas connu d’échec ? La terrible défaite militaire de 1940, par exemple, a-t-elle empêché les Français d’être un peuple ? Ils n’étaient pourtant pas, c’est le moins qu’on puisse dire, sous une « bannière unique » après cette défaite ? Etaient-ils « incapables » de se révolter, et de se battre pour la liberté ? Au passage, je trouve ce qualificatif « d’incapables » (de même que l’expression « ces gens ») à propos des Palestiniens, sous votre plume, un tant soit peu condescendant, voire méprisant. Oui, le mouvement Palestinien est à sa naissance, oui, il doit évoluer. Je pense d’ailleurs que les accords d’Abraham pourront l’aider en ce sens, et notamment dans l’acceptation du fait national juif, et je dirais plus des Juifs tout court, cet « Autre absolu », pour parler comme Levinas, que l’Islam a tant de mal à reconnaître, comme il a du mal à reconnaître la Femme, l’Homosexuel, l’Occidental, etc.
Vous me demandez de « trouver les pistes d’une maturité nationale » chez les Palestiniens. Ce n’est bien entendu pas à moi, ni à nous, de le faire. Mais notre attitude peut y aider. Contrairement à ce que vous laissez entendre, je ne leur « dois rien », nous ne leur « devons rien ». Mais nous pouvons tout de même accepter l’idée que l’arrivée des Juifs en Palestine ait pu être une souffrance pour eux, une « Nakba » comme ils disent. Peut-être que cette reconnaissance, comme l’acceptation par eux de nos souffrances, de la Shoah en particulier, serait le début de l’acceptation de l’autre ?
Je pense aussi qu’une des « pistes » pourrait être l’exemple donné par l’histoire du peuple juif, s’ils sortent des préjugés et de l’idéologie victimaire, produite notamment, selon moi, par l’Islam. Toute l’histoire du peuple juif n’est-elle pas en effet marquée par sa capacité extraordinaire à reconnaître l’Autre ? (Le fait que le premier philosophe dans l’histoire mondiale de la pensée à mettre en lumière l’importance du rapport à l’Autre soit juif n’est pas un hasard ?).
Ce qui est certain, c’est que la population arabe vivant dans les « territoires », malgré ses profondes divisions, malgré ses difficultés, malgré ce que vous appelez son absence de maturité, constituent un peuple à part entière. Que nous, Juifs et Israéliens, le reconnaissions, est nécessaire, et même indispensable, non seulement humainement, ne serait-ce que pour faire honneur à notre histoire, mais aussi, comme j’ai pu le dire précédemment, dans l’intérêt à long terme d’Israël et donc du peuple juif.
Un peuple, comme l’ont montré les Juifs dans leur histoire, n’est pas figé éternellement, Mr Amouyal.
A Tonyl un gauchiste optimiste
Je ne vais pas recommencer à dire que seuls les juifs israéliens sont les palestiniens et que les tribus arabes sont venus colonisés nos terres juives où du moins les 23% restants ( voir à ce sujet l’article du. Général Golan qui rejoint mon commentaire) et que la Palestine est juive et que les romains ont donné ce nom au Royaume de Judée Samarie pays des juifs
Quant aux arabes qui se prétendent palestiniens ce sont des affabullateurs et sont seulement des colons arabes
Croyez vous que avec la Jordanie (volé à ´Israel ); et Gaza cela ferait 3 Palestines : ce n’est pas une farce mais ceci montre que tous ces arabes à qui PERES et RABINE ont permis d’avoir une entité pour y vivre est non fondé pour être un État qui serait un danger permanent et n’aurait de cesse de tenter de se substituer à Israël comme les chrétiens ont tenté de se substituer aux juifs avec cette nouvelle alliance qui s’est effondrée avec la restauration d’Israël
Votre commentaire est totalement erroné et votre argument principal n’a aucune valeur
« Je vous cite:un peuple se construit toujours contre une autre nation: les hébreux contre les égyptiens, les Juifs contre les romains. les gaulois contre les romains et les algériens contre les français «
Voyons de plus près : les juifs en Égypte étaient montés dans ce pays pour cause de disette : ont ils pour autant revendiqué’ des territoires égyptiens ? Non alors pourquoi cette comparaison totalement fausse
Les hébreux contre les romains? Connaissez vous l’histoire ou l’inventez vous : les Hébreux formaient un peuple et une histoire dans leur patrie depuis leur arrivée au pays de Canaan soit en 3500;et toute une série de rois de Saul à ce pourri d’Herode , toute une série de prophètes et juges se sont succédés et le Royaume de Judée samarie était la patrie des hébreux puis Judéens et juifs
Ce sont les grecs d’abord puis les Romains qui sont venus s’emparer de ce royaume dont son peuple le peuple juif était déjà millénaire ,Ce sont ces romains qui ont détruit ce royaume et lui ont donné le nom de Palestine et les juifs ont été tues par centaines de milliers et ont fuit enAFN et dans divers pays de Méditerranée dont la Gaulle
Comme vous voyez votre argument est totalement faux comme les gaulois contre les romains et pourquoi pas alors l’Angleterre contre les romains avec le mur ´d’Hadrien au nord construit par les romains vainqueurs
Pour les Algériens on pourrait disserter sur votre argument qui oublie les Amazighs ou Kabyles qui sont les autochtones mais les arabes ne reconnaissent pas ni leur langue ni leur culture ni leurs traditions
Comme dit Amouyal essayer de trouver quelque chose de positif chez ces tribus arabes qui vivent de la mendicité de l’UE et des USA et le meilleur exemple est l’UNWRA qui existe depuis 1948 et que l’ONU a pris en charge et nous coûte des milliards de dollars et qui est génétiquement transmissible de père en filiforme ou fille depuis 73 ans
Le seul fait qui réunit ces colons arabes est le terrorisme et leur haine pour les juifs et chrétiens qui de 1, 5 millions nrsont plus que 250000.Ce sera le sort des israéliens si un noubpvel état arabe était créé
Pour conclure revoyez votre histoire et surtout comprenez que ce leKGB a inventé de toutes pièces que ces arabes formaient un peuple et non des réfugiés comme le soutenait la Jordanie jusqu’en 1967 quand elle s’était emparée en1948 d’une partie de la Judée samarie et de Jérusalem capitale d’Israël depuis 3000 ans pour contrer la politique américaine et reconquis par Israël en 1967
Soudain ces réfugiés devenaient un peuple : c’est une escroquerie russe qui a bien fonctionné mais qui s’effondre aujourd’hui