Charles Rojzman. Violences urbaines?

Les jeunes arabes et noirs des cités se vivent comme des victimes du racisme des « français ».

On leur a répété, génération après génération, qu’ils n’étaient pas désirés par la France. Leur ressentiment est renforcé par le fait qu’ ils ne sont pas non plus toujours désirés dans des familles nombreuses et souvent ignorantes de ce qui constitue la sécurité, l’autonomie et le bien-être d’un enfant.

Produits d’une immigration de masse qui reproduit les comportements claniques de la culture d’origine avec son culte de l’honneur et de la vengeance lorsqu’il y a la moindre humiliation, ils deviennent les zombies d’une société qui, de son côté, a perdu la fierté de son identité et ne sait pas user de fermeté et de violence légitime face à ces comportements déviants et criminels.

La victimisation n’est pas le propre des enfants de cités, soumis à la loi des caïds et des barbus. Elle existe aussi, on l’oublie trop souvent, chez les musulmans « intégrés », chercheurs, professeurs, médecins qui diffusent cette vision d’une société qui ne veut pas de l’Islam et qui jalousent les Juifs et leur réussite et tiennent des propos antisionistes.

Cette obsession arabe de la cause palestinienne est un symptôme assurément qui masque une haine antioccidentale dont témoignent les parcours universitaires pourtant très favorisés par une discrimination positive masquée qui mettent en avant le racialisme, le rejet des blancs et la prétention décoloniale.

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