Avant on avait Néron et Pétrone, Napoléon et Chateaubriand (même Napoléon III et Hugo ça avait de la gueule), et puis De Gaulle et Malraux (et même l’angle De Gaulle / Brasillach présente un intérêt historique et intellectuel).
Mais là… Comment dire ? Macron et Bellegueule… Merde quoi !
L’arrogance actuelle des faussaires et des imposteurs ordinaires de l’infiniment méprisable est impossible à soutenir. La fabrique du mythe facile de l’entre-soi, à partir de flaques immondes du vomi de la médiocrité, devient la marque même d’une vulgarité sui generis de notre temps.
Que dire de cette indigence crasseuse ? Je me refuse à disserter d’une expression hystérique du néant dans la fine fleur de sa nullité. La nature a de toute façon horreur du vide.
Qu’on arrête sur-le-champ l’écrivassier graphomaniaque responsable de cet odieux barbouillage. Et qu’il apprenne par cœur en cellule Le Crépuscule des idoles.
Qui sait, le génial Friedrich lui remettra peut-être la cervelle à l’endroit.
© Philippe-Emmanuel Toussaint
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