Un mouvement de médecins influents et omniprésents sur les plateaux de télévision exerce sur les autorités politiques et sur l’opinion une pression intense en faveur du troisième confinement après ceux de mars avril et de novembre. Ils se répandent ainsi en pétitions, articles, prises de position apocalyptiques. Le confinement dans leurs discours, n’est pas une option mais une certitude, une conséquence inéluctable de l’évolution des statistiques. A leurs yeux, un nouveau confinement surviendra de toutes façons vers mi janvier, non par choix du pouvoir politique mais par exigence médicale.
Faut-il avoir suivi 8 à 10 ans d’études voire plus, pour en arriver là? Les confinements n’ont rien résolu sur le fond de l’épidémie. Nous en avons la preuve. Le principe de l’enfermement à domicile peut-être tragique pour la propagation d’une maladie dont il est avéré qu’elle se transmet en espace clos.
Les conséquences des confinements sont épouvantables sur la santé mentale des Français: dépressions, suicides, familles brisées. Ils ont jeté des millions de personnes, restaurateurs, artistes et créateurs, gens de la culture et commerçants, dans la ruine et la tragédie du désoeuvrement.
Ils ont dévasté une génération de lycéens et d’étudiants, ravagé notre jeunesse. Ils ont sacrifié l’économie française, provoqué une gigantesque dette publique, précipité le pays dans une vertigineuse crise économique et une nouvelle explosion du chômage.
Au total, tout cela n’a strictement rien réglé. S’amuser avec la peur et la souffrance, favoriser la panique et l’angoisse, relève de la trahison. Et après, si le convid19 s’installe durablement, faudra-t-il soumettre la France, d’année en année, à des arrêts brutaux et destructeurs?
Il se trouve, chez les chantres du troisième confinement, une sorte de jubilation sadique, celle du bureaucrate obtus, à la pensée de ressortir les Ausweis et la schlague et d’une nouvelle vague d’anéantissement des libertés.
Mais aussi, un aveuglement qui fait froid dans le dos. Cette fois le pays, notamment sa jeunesse qui en est la première victime, ne se soumettra pas au despotisme de la peur et de la lâcheté.
© Maxime Tandonnet
A lire Tandonnet le problème est « Un mouvement de médecins influents et omniprésents ».
Ah bon ? Il ne s’appelle pas Covid19, par hasard, le problème ? N’est-il pas un virus ? A le lire, les deux n’existent pas….
Tandonnet est-il ignare ou nous prend-t-il pour des abrutis ?
Et la suite : « Les confinements n’ont rien résolu sur le fond de l’épidémie. Nous en avons la preuve ».
FAUX. C’est la preuve du contraire que nous avons.
Les confinements ont évité la paralysie du système hospitalier, pierre angulaire du système de santé ; dont l’effondrement serait de nature systémique et basculer le reste dans le chaos : école, retraite, économie, démocratie, gouvernabilité.
Et la suite : « Cette fois le pays, notamment sa jeunesse qui en est la première victime, ne se soumettra pas au despotisme ».
Au nom de qui parle-t-il : « Le pays, la jeunesse » ? Elu par qui ? Désigné pour quoi ?
Prophétiser l’insoumission n’est-ce pas la justifier voire chercher à la fomenter ? Dans l’intérêt de qui ?
Je suis entièrement d’accord avec vous M.TANDONNET. D’ailleurs, que font-ils constamment sur les plateaux TV, leurs présences prouvent qu’ils n’ont pas beaucoup de travail. Qu’ils retournent auprès de leurs patients, qu’ils soignent et qu’ils nous laissent vivre ! Remettons le pays en ordre de marche, très vite avant de le voir sombrer sans espoir de retour économique et culturel.