Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a déclaré hier soir qu’un accord signé avec Pfizer allait permettre à Israël de recevoir des millions de nouvelles doses du vaccin contre le coronavirus: “Toute la population de plus de 16 ans sera vaccinée d’ici la fin du mois de mars. Nous deviendrons le premier pays à sortir du coronavirus”, a-t-il affirmé, ajoutant qu'”Israël allait servir de modèle mondial en matière de vaccination, offrant des données statistiques sur l’efficacité du vaccin, et précisant que c’était pour cela que l’acheminement des doses et leur quantité avaient été accéléré.
Le PM, annonçant que “le premier avion avec les nouvelles doses Pfizer arriverait dimanche en Israël et que les autres suivraient”, espère que les prochaines fêtes de Pessah ( Samedi 27 mars ) se passeront en famille “si tout va bien”.
Voilà l’Etat hébreu exhorté en attendant à respecter plus que jamais les gestes barrières et les règles du confinement général et hyper strict qui est entré hier à minuit: l’arrivée de plusieurs millions de doses de Pfizer, Moderna et Astra-Zeneca jumelée avec une rigueur implacable devrait permettre de pallier la présence des deux nouvelles variantes.
Grosse prise de risque pour ISRAEL que d’être parmi les premiers au monde à vacciner toute la population, donc ISRAEL va essuyer les plâtres car l’efficacité et la sécurité à moyen et long terme de ces vaccins anti-COVID (dans les diverses technologies) n’est pas connue : le PM Netanyahou aurait mieux fait de diviser la population en deux :
-> vacciner ceux de 46 ans et plus : qui sont les plus susceptibles d’avoir des symptômes, voire de faire une forme grave
-> ne pas vacciner ceux ”de 0 à 45 ans” : qui ont le moins de risque de faire des symptômes ou une forme grave, et qui simultanément ont le plus fort potentiel d’avoir des enfants.
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