Privés de sports, privés de nos amitiés, privés de travail, de restaurant, de café, d’école, de famille, de vacances… quand un gouvernement, conseillé par on ne sait qui, tombe sur la tête et vous empêche de vivre au prétexte de veiller à ce que vous ne tombiez pas malade, il s’enferre dans une logique mortifère, dans laquelle la prochaine étape sera de vous enfermer, puis de vous tuer, au prétexte de vous éviter d’attraper un Covid, infiniment moins virulent que d’autres virus qui ont, au cours de l’histoire, frappé l’humanité.
Il va falloir, à la fin des fins, se résoudre à accepter la nature, c’est-à-dire que tous ceux qui ne sont pas assez résistants vont mourir, et qu’ils seront peu nombreux et que tous les autres vont vivre avec ce virus comme on a vécu avec d’autres.
Ce n’est jamais que ce que dit aussi Didier Raoult et il a raison. Sacrifier économiquement et humainement le pays n’a plus aucun sens dès lors que les dégâts occasionnés par des décisions iniques, surdimensionnées et ravageuses, seront supérieurs à ceux de la maladie elle-même.
60 000 morts, pour 67 millions d’habitants, dont sans doute une bonne moitié attribuée à tort au Covid, de qui se moque-t-on ? Tout sera bon pour obliger la population à se faire inoculer un faux vaccin bricolé à la hâte, qui n’empêchera pas de tomber malade et de contaminer les autres et dont le seul bénéfice sera sonnant et trébuchant pour quelques actionnaires.
Il faut accepter cette fatalité qui nous frappe, comme nous l’avons toujours fait à travers les siècles et se remettre à vivre.
Mais si cette cochonnerie est artificielle et sortie d’un labo, il ne faudra pas non plus oublier de sévir, durement.
© Pierre Duriot
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