“Il” récidive donc sur Pétain.
Ce n’était donc pas une gaffe en 2017 mais une idée fixe.
Avait-“il” donc un jour promis à sa mémé de réhabiliter le prétendu vainqueur de Verdun?
Avait-“il” eu un pépé lui disant chaque dimanche: “Il avait de bonnes intentions mais il était mal entouré” (ça sonne)….
Etait-ce le credo de son école d’enfants de notables de l’amiénois où enseignait Madame?
Voici bien le premier qui à ce poste ose ainsi marcher sur la mémoire de tout ce qui fut honorable en France et qui a le sans- gêne de chercher à défendre l’ignoble indéfendable.
Ah, une telle obsession, ça vient de loin….
Dans la Newsletter du CRIF aujourd’hui :
“A l’antenne de Radio J ce matin, Francis Kalifat a fait part de son incompréhension quant aux propos tenus par Emmanuel Macron, qui souhaite défendre la mémoire du Maréchal Pétain en tant que grand vainqueur de 1917.
“L’homme de 1917 a été effacé par l’homme de 1939” a rappelé Francis Kalifat au sujet de Pétain.
Lors de cette interview publiée dans L’Express, le Président de la République a également remis en lumières des antisémites notoires tels Céline ou Maurras, ce que regrette profondément Francis Kalifat, bien que la volonté du Président de la République de lutter contre l’antisémitisme soit connue et réaffirmée dans ce même entretien.
Ces personnalités font certes partie de l’Histoire de notre pays, mais elles font partie de l’Histoire la plus sombre.
© Jacques Neuburger
Il est naïf à ce point Francis Kalifat? Il n’a toujours pas compris que le locataire de l’Elysée n’en a rien à faire des juifs. Macron ne pense qu’à 2022.
Donc il brasse de l’extrême gauche à l’extrême droite. Comment peut-on croire un President qui, en Algérie, explique que la France a commis un crime contre l’Humanité.
ROSA
Est-ce que devant un tribunal le passé glorieux d’un individu occulte l’assassin immonde qu’il est devenu? Certes me direz-vous cela aura une influence sur la peine .Eh bien cela fut fait en temps et lieu et il a échappé ainsi à la guillotine pour être embastillé non pas avec une couronne sur la tête, mais avec les menottes aux poignets.Et c’est ça la finalité de cet homme, une gloire tâchée de sang.
Le procédé du ” en même temps ” ne connaît pas de limite chez Macron