N’ECOUTANT QUE SON COURAGE QUI NE LUI DISAIT RIEN, IL SE GARDA D’INTERVENIR ! ( Jules RENARD )
En France, le sort subit par la jeune Mila ne devrait laisser personne indifférent, tant il en est de l’avenir des personnes, des groupes de personnes et de leurs modes de représentations.
Il en est hélas tout autrement.
Chronologie
Mila est mineure. Elle est agile dans les réseaux numériques. Elle y affiche son orientation homosexuelle. Elle va alors vivre quatre étapes qui modifieront progressivement le cour de sa vie.
Etape-1: Mila subit des réactions numériques telles que moqueries, menaces et diverses offenses personnelles et sexuelles. De nombreuses provocations sont rédigées par des individus se réclamant de l’Islam.
Etape-2: L’adolescente y répond en critiquant l’Islam, l’intolérance, les interdits. Elle revendique la liberté, et notamment celle de l’orientation sexuelle.
Etape-3: Mila reçoit alors des menaces sur sa vie, sa famille, son lieu de résidence, son établissement scolaire et tout ce qui l’entoure. Elle lit sa destinée à mourir au nom du respect des règles juridiques et confessionnelles de l’Islam, etc.
Etape-4: Elle vit désormais cachée & déscolarisée. Elle reçoit toujours des menaces qui ciblent sa personne, son adresse postale qu’elle a quittée pour des raisons de sécurité personnelle. Elle attend que « la vague passe » dans la terreur d’une « exécution rituelle » sur les modèles que la France connaît depuis plusieurs années.
Motifs de révolte inhibés
Mila vit ainsi désormais à part du pays dans lequel elle vit. Elle subit une ségrégation morale, religieuse, d’identité personnelle et sexuelle.
Victime de son mode de vie, elle l’est aussi de son adolescence et de sa situation de victime.
La situation de Mila évoque plusieurs injustices de droit et de fait.
1- Irrespect du statut légal de victime
Son statut de victime la conduit à la terreur d’être abattue, alors qu’il devrait la conduire à la sécurité civile, civique et personnelle.
Une fois encore, les victimes désignées par des criminels se réclamant de l’Islam à des fins politiques réussissent leurs œuvres de terreur sur le territoire français et ici via le numérique.
Une fois de plus, la norme de Droit est inversée en France au profit du crime et au détriment des victimes.
Une fois de plus, l’autorité publique en est réduite à des mesures précaires de protection des personnes au lieu de procéder aux investigations et arrestations ad hoc prévues par la Loi.
2- Pas de solidarité générale de l’ « Islam de France ». Certes, l’Islam de France n’est pas réuni. Certes, de nombreux musulmans et de nombreux représentants de l’Islam de France ont manifesté leur réprobation de fond et de forme des menaces que subit Mila de la part d’individus qui se réclament de l’Islam en général et de l’Islam de France en particulier.
Mais le cas de Mila n’a ému au total que peu de monde de l’Islam de France, n’a provoqué aucun mouvement de solidarité général musulmane envers l’adolescente, n’a organisé aucun « not in my name / pas en mon nom » qui auraient pu établir une frontière morale infranchissable entre les criminels et l’Islam de France.
3- Pas de solidarité générale du féminisme français constitué
Mila a ému certains pans minoritaires du féminisme français.
La plupart des organismes féministes français se taisent ou parlent si bas que nul ne les entend. Toutes celles et ceux si prompts à condamner sur des faits non avérés Polanski et autres -dont il convient de préciser sans crainte qu’ils sont presque tous juifs…- se terrent sur le sort subit par la mineure Mila.
4- Pas de solidarité générale du monde de la culture
Le monde de la Culture est mobilisé contre les interdictions sanitaires dont il est l’objet en France en raison du C19. C’est donc qu’il est apte à se mobiliser quand il l’estime nécessaire.
Tel n’est pas le cas pour Mila, dont le sort qui lui est adressé par la terreur islamiste brise la culture nationale.
5- Pas de solidarité générale du monde politique
Le monde politique n’échappe pas à la règle générale de l’indifférence. A l’exception … de certaines exceptions, les politiques sont silencieux. Ils n’engagent aucune initiative en faveur de Mila. Ils répondent aux rares questions de journalistes sur le sujet par des affirmations de circonstances.
6- Pas de solidarité générale judiciaire
La France dispose de la législation de protection des mineurs et de l’interdiction de racisme, sexisme, racisme parmi les plus important au monde.
Pour autant, l’autorité judiciaire française ne semble pas particulièrement alertée par la nécessité d’utiliser cet arsenal judiciaire pour la défense des droits et la protection de la victime Mila.
Révoltant mémorandum
1- Sur le sujet de Mila comme sur tant d’autres, la France vit à l’aulne des infiltrations de l’Islam politique et des fanatiques djihadistes dans l’ensemble des administrations locales et nationales. Les rapports parlementaires rédigés à cet effet sont honorés et … minorés. Les réactions parlementaires et exécutives sont déphasées en regard de la situation que vit le pays.
2- La France a aboli la peine de mort. Mais c’est en France que cette peine est rétablie par des voyous islamistes le droit factice de l’administrer et d’en menacer jusqu’à des mineurs comme Mila.
3- La France vit dans un régime de libertés publiques qui comprend celle de circulation. Si l’état d’urgence sanitaire la limite temporairement, la terreur islamiste la contrôle depuis maintenant de nombreuses années. Mila comme d’autres subissent, ici encore, la loi djihadistes en raison de l’impossibilité revendiquée des autorités d’assurer la sécurité publique et personnelle des victimes de menaces ou de violences.
4- Le régime de sécurité forcé imposé aux victimes correspond à l’inversion de la norme de Droit. Celle ci prévoit la sécurité civile à tous et la surveillance aux délinquants-criminels.
C’est la situation contraire que vivent Mila, les familles de confession juive obligées de se déplacer, et tous ceux qui font l’objet de menaces.
5- En France, dans plusieurs domaines, les infiltrations islamistes et les manifestations de violences de groupes conduisent à la neutralisation de l’appareil et du domaine publics. Cette neutralisation conduit à l’incapacité des pouvoirs publics à assurer leurs tâches. Cette incapacité conduit aux injustices qui rendent certains Français (juifs, personnes mineures, soldats, minorités sexuelles, policiers,etc : la liste s’allonge progressivement) des citoyens de deuxième zone.
6- La fébrilité, la retenue des réactions techniques et publiques face aux délits sexistes et sur mineurs tels que ceux que subit Mila ou des crimes et délits antisémites favorisent le développement de la gangrène raciste, antisémite, sexiste. Le sort réservé à Mila atteste que son statut de mineure ne la protège nullement.
Face à cette fébrilité publique réduite à un rôle de cautérisation locale et partiale, la terreur ne peut que se déchaîner et se développer avec une progressivité parfaitement circonstanciée.
A observer les écarts commis contre les libertés publiques et le recul des domaines de fonctionnements publics, c’est ce qui semble se passer en France.
Pierre Saba
Pourquoi cet article, pourtant bien assez long, omet le dernier paragraphe de l’histoire de Mila, celui du lycée « militaire » ?
Pourquoi ne raconte-il pas toute la vérité ?
Rappelons donc ce qui en manque : Mila, pour sa sécurité, a été, non déscolarisée mais changée d’école : placée incognito dans un lycée militaire.
Mais, addicte aux réseaux sociaux et manquant manifestement de jugeote, elle a récidivé, allant jusqu’à communiquer son identité et celle de son nouveau lycée sur, parait-il, Instagram.
C’est là où la direction de l’école estima qu’elle ne pouvait plus la garder, vu que par son irresponsabilité elle constituait, disait la direction, une menace sécuritaire pour l’école et pour les autres élèves.
Cet « oubli » de ce dernier « détail » discrédite tout le reste de l’article.
Quand on exclue au lieu de protéger … Mila n’aurait pas dû donner son adresse ! Elle a 16 ans et elle est innocente et pas trop futée : peut on l’abandonner aux fauves ? Si elle décapitée que direz vous ? :
« Bien fait ! »
D’ordinaire (c’est le cas de l’écrire), j’ignore les parasites anonymes et pseudonymes qui gravitent autour des élaborations de textes.
Cette fois, compte tenu du caractère péremptoire du commentaire de ce prétendu CHARLES, je ferai une exception…pour rédiger trois points.
1- Contrairement à ce que pensent ceux qui les utilisent, le pseudonymat ne garantit pas l’anonymat. Il le rend plus difficile d’accès, mais pas impossible
2- Le titre du courage que j’ai choisi est le parfait contraire de ce CHARLES et de ses collègues pseudonymes
3- Il convient d’espérer la fin proche de ces commentaires pseudonymes, pleutres, la plupart du temps grossiers et inexacts qui bénéficient de surcroît de l’espace médiatique au même titre que les avis assumés et courageux.
N ecoutant que son courage qui ne lui disait….pas grand-chose…il se garda d intervenir en Syrie, en Iran, en Chine…
(Ballack Obama)…un très « Grand » President….!
J’ai demandé à ma Députée son point de vue sur l’affaire « Mila ».
A ce jour bien que ma réaction s’est produite immédiatement au moment de la sortie de cet événement J’ATTENDS TOUJOURS SA REPONSE. Je suis outrée de voir comme nous sommes bien représentés par nos élus…
Ce n’est pas la 1ère fois que cette dame ne daigne pas répondre !
Quant à Mila je suis 100% avec elle en cette période d’idiotie pire que la Covid !
Une mamie de 78ans très inquiète pour ses petits enfants..
Christiane