Le BNVCA condamne la dérive antisémite menée par les activistes de BDS 34 Montpellier, lors de la manifestation contre la loi « sécurité globale ».
Le BNVCA a déposé plainte contre les activistes de BDS 34 Montpellier qui, au milieu de la manifestation contre la loi sur la « sécurité globale » ont brandi une pancarte « Non à l’Israélisation de la France ».
Une nouvelle fois, une manifestation donne lieu à des harangues antisémites qui sont applaudies. Une nouvelle fois, ce fut à Montpellier où mille cinq cents personnes manifestaient contre l’article 24 de la loi sur la « sécurité globale », que le collectif BDS 34 Montpellier a affiché son antisémitisme.
Car qu’est-ce que l’Israélisation de la France, si ce n’est une variante du « complot juif international » : la France devenant une « colonie » d’Israël, l’Etat-confetti, à peine plus grand que deux départements français.
Sans limite dans son obsession anti-Israël et donc anti-juive, l’antisionisme étant de l’antisémitisme, le Collectif BDS 34 Montpellier a jeté en pâture une propagande infecte et venimeuse, dont les victimes s’appellent Arieh Sandler, Gabriel Sandler, Myriam Monsonego, Jonathan Sandler, Yohan Cohen, Yohav Hattab, Philippe Braham, François-Michel Saada mais aussi Ilan Halimi, Sébastien Sellam, Sarah Halimi, Mireille Knoll, la liste n’étant pas exhaustive.
Le BNVCA, qui a une procédure pendante contre ces mêmes activistes depuis 2018 devant la juridiction montpelliéraine, appelle à mettre en œuvre une justice diligente et dissuasive à l’encontre de ceux qui propagent un virus mortel qui porte le nom d’antisémitisme. Aujourd’hui-même, à Montpellier, des personnes vivent recluses terrorisées par ce poison, et nous remercions les services sociaux, qui suite à notre intervention auprès de la Préfecture, leur portent assistance.
Le BNVCA n’a cessé de démontrer que l’incitation à la haine d’Israël est la source essentielle de l’antisémitisme. Cette manifestation en est la preuve flagrante. Le BNVCA saisit à nouveau le Ministre de l’Intérieur et le Préfet du département afin que les manifestations illégales de BDS soient interdites, dispersées et réprimées conformément aux attendus de la circulaire publiée par le Garde des Sceaux qui déclare que la France poursuit la politique pénale engagée depuis 2009 contre le boycott d’Israël.
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