Charles Meyer. Quand « Le Monde » et Cécile Chambraud se lamentent sur les états d’âme d’un islamiste comme Bajrafil

Pauvre chou. Il n’y a que Le Monde et Cécile Chambraud pour se lamenter sur les états d’âme d’un islamiste comme Bajrafil.

Un disciple de son maître  à penser qui appelle ouvertement au terrorisme : Youcef Qadarawi, dont l’antisémitisme obsessionnel, l’homophobie et l’intégrisme sont à l’origine de la bordélisation des esprits dans le monde musulman et occidental.

Bajrafil, qui comme l’ensemble de ses semblables islamistes, découpe schizophrènement son parcours à la hache de l’ambiguïté, en n’oubliant jamais de se victimiser et d’asseoir l’idée d’une persécution des musulmans, comme les nazis aimaient à manipuler celle d’une persécution des Allemands.

Ce sont ces gens que des médias comme Le Monde et des journalistes comme Cécile Chambraud ont érigés en « représentants des masses musulmanes » et c’est très précisément de cette manière que madame Chambraud porte personnellement la responsabilité d’ériger l’intégrisme en France en normalisant depuis des années son image.

Si j’étais musulman, j’aurais peut-être trois fois plus de raisons d’en vouloir à Madame Chambraud que je n’en ai pour ma part.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/25/pourquoi-mohamed-bajrafil-renonce-a-etre-imam-apres-vingt-et-un-ans-d-exercice_6061088_3224.html

© Charles Meyer

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