Le canal franco-allemand ARTE diffuse une émission quotidienne à 2OHO5 intitulée « 28minutes ». Y débattent des politiques, des intellectuels, des artistes … et des idéologues dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils prennent des libertés avec les principes de la démocratie civique et politique. Ces idéologues exercent ou non des responsabilités publiques. Ils sont connus ou non du grand public. Ils invoquent régulièrement des propos contraires aux règles démocratiques qu’ils ne peuvent soutenir à l’antenne que par des provocations aux faits et à l’Intelligence générale.
C’est ce qui s’est produit dans l’émission du 30 octobre 2020. Une directrice de publication, comédienne et autre, Judith Bernard, a récité son laïus avec un ton mécanique et virulent qui est plus audible en réécoute sur le site de l’émission que dans le cadre d’un débat démocratique.
Elle a principalement développé l’argumentaire éculé de la responsabilité de la victime -en l’occurrence la France- dans les violences qu’elle subit. Elle n’a nommé à aucun moment de sa virulente péroraison ces violences, n’a exprimé aucune tristesse à l’égard des victimes. Brice Couturier, éditorialiste de France-Culture, également présent sur le plateau, a réagi à cette offense aux victimes des djihadistes. Bernard a alors élevé encore plus la voix qui l’était déjà. Elle a justifié les victimes du djihadisme comme pendant réciproque des victimes africaines, arabes et musulmanes de la France. Devant l’indignation de Couturier, elle a évoqué la « causalité » comme méthode de raisonnement !
La présence de cette proche des sites Mediapart, Arrêt-sur-images, des indigénistes et de tout ce qui développe le pseudo antiracisme, de prétendues supériorités intellectuelles et journalistiques et la culpabilité des victimes comme justification des crimes et délits qu’elle subissent.
Ces dangereuses inepties ressemblent à s’y méprendre à celles des vichystes qui justifiaient pendant leurs collaborations avec l’ennemi nazi les malheurs de la France vaincue par la responsabilité de la France parlementaire d’avant-guerre.
Ce n’est pas la première fois que « 28mn » invite sur son plateau des personnes qui se transforment objectivement ou subjectivement (peu importe compte tenu de la cadence des meurtres rituels commis en France) en porte-paroles des assassins djihadistes.
Le 21 octobre 2020, Rokhaya Diallo, qui exprime une idéologie identique à celle de Judith Bernard, échangeait avec ou plutôt contre le philosophe Pascal Bruckner qui responsabilisait ses propos dans les meutes rituels commis en France. Elle lui répondait avec la même mécanique insensible et récitatoire que celle de Bernard.
Dans les deux émissions il est nécessaire de noter l’absence de réactions et la neutralité des journalistes et du modérateur présents sur le plateau.
Ce n’est pas la seule émission qui court, tout en bas de l’échelle des valeurs libres, après les audiences, en tentant d’imiter le ton et la forme des réseaux dits sociaux. Elles sont innombrables.
Condominium télévisuel entre la France et les landers allemands, Arte n’est pas comptable devant le CSA (Conseil-Supérieur-de-l’Audiovisuel). Le serait-elle que ça ne changerait pas grand chose … Ces provocations se produisent également sur le service public de l’Audiovisuel sans jamais susciter le moindre intérêt ni encore moins une quelconque instruction du CSA !
Bien que les crimes rituels islamistes commise en France n’inclinent pas à la proclamation de l’état d’urgence, les diffusions publiques et médiatiques de propos tendant à justifier les crimes djihadistes posent le problème de la liberté de conscience, du respect dû aux victimes et à leurs droits.
Ni les décapitations, ni les égorgements, ni aucun crimes et délits commis par les djihadistes en France ne semblent retenir des diffusions de « causalités » et autres justifications.
Le code pénal dispose de peines encourues pour « intelligence avec l’ennemi ». L’Exécutif qui qualifie de « guerre » les crimes djihadistes pourrait appliquer ces dispositions. Peut-être seuls les proches des victimes ressentent-ils la nécessité angoissée de l’application de telles mesures. Mais les français doivent savoir que dans une telle situation d’infiltration des administrations et de crimes par les djihadistes, d’autres Etats appliqueraient ces dispositions pour protéger les personnes et la démocratie.
Au-delà de cette propagande diffusée sur Arte et sur les médias, il faut se rendre à l’évidence de l’inanité des organes de contrôles. Ni le CSA, ni les modérateurs-TV-radios, ni le Défenseur des Droits, etc, ne réagissent aux coups de butoir assénés aux principes républicains répétés à l’envie dans l’espace public par les responsables français.
Pierre Saba
Rockaya Diallo aurait déjà dû être condamnée pour incitation à la haine et a la violence. A noter sa présence récurrente dans Les immondes Washington post Et New York Times.
Ces gens devraient eux-mêmes subir ce qu’ils justifient de façon aussi injustifiable ou alors si nous allons dans leur logique aberrante les esclavagistes arabo musulmans paieraient ils plusieurs siècles plus tard pour leurs crimes par générations interposées ? C’est du grand n’importe quoi idéologique
De fait, l’islam a presque toujours été la religion des oppresseurs. De l’Hégire à aujourd’hui.