Il y a d’abord un choix stratégique fondamental qui est double : économique, sociétal et politique.
Economique et social : doit-on privilégier l’aide aux entreprises ou l’aide aux ménages ? Evidemment les deux mon général. C’est pour le problème du en « en même temps ». Pas de priorité, car tout est prioritaireCe qui est certain, c’est que, Covid 19 ou pas, la très grande majorité de nos entreprises ne pourront survivre qu’en économie assistée grâce aux aides de l’Etat et des collectivités locales, voire de l’Union Européenne. Les autres ne survivront que si la très grand majorité de leur chiffre d’affaires se fait à l’international, et notamment dans la zone Pacifique, en Chine. Si elles sont très rentables, elles seront rachetées par des entreprises ou des consortiums chinois.
En aidant les entreprises, on lutte contre le chômage et on préserve des emplois. Jusqu’à quand ? Le médecin de La Peste d’Albert Camus luttait de toutes ses forces contre la peste, tout en sachant que la peste l’emporterait. Le président qui sera élu en 2020 continuera à aider les entreprises, le plus souvent sans contreparties, afin que leurs dirigeants puissent dire : « Encore quelques minutes, monsieur le bourreau de la concurrence déloyale mondialisée! »
Et le montant des aides venant majorer le poids de la dette de la France dépendra des réponses apportées à la première problématique de cette série : la monnaie magique.
Ce sera le cas aussi pour l’aide aux ménages, que ce soit à travers les prestations sociales ou l’assistance « en nature » apportée notamment à travers les services publics.
On constate déjà chaque jour les limites dans le domaine sanitaire et éducatif. On glose beaucoup sur les emplois d’avenir. Et si c’étaient ceux des 3 fonctions publiques ?
Politiquement tout président ou candidat politique qui veut rassembler en appelle à l’unité nationale.
Y compris auprès des 2 musulmans sur trois qui reconnaissent avoir été élevés dans la haine du juif ?
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