Un des aspects les plus révoltants de ce régime politico sanitaire d’exception qui va bientôt exploser à la figure de tous les pouvoirs publics en France comme en Belgique c’est que le coronavirus et la maladie qu’il engendre, « la » covid-19″ auront été placés en priorité des priorités sanitaires par les autorités gouvernementales et administratives et que cette priorité totalement surfaite provoquera infiniment plus de décès que le Covid lui-même par les déprogrammations des examens et des interventions prévus pour les autres pathologies, les malades non covidés, ceux que le pouvoir biocidaire a volontairement écarté des structures de soins au nom du principe de précaution absolu et de l’utopie hygiéniste totalitaire du risque zéro.
En définitive, ironiquement et cruellement, la vérité c’est que le Covid finira par tuer plus par l’importance qu’on lui a donné que par sa réelle virulence létale. Sans compter les décès accélérés des plus âgés induits par le rivotril et les vies perdues par l’interdiction du traitement préconisé par l’équipe du Pr. Raoult.
Ce qui constitue un véritable crime contre l’humanité à échelle locale.
Cependant, avec l’amplification de la dictature sanitaire frénétique qui n’en finit pas de s’étendre et de progresser, cette partie immergé de l’iceberg Covid-19(84) est entrain de remonter actuellement à la surface, mettant au jour dans son sillage un autre scandale déjà dénoncé régulièrement par de nombreux professionnels de la santé: le manque de lits et plus particulièrement ceux des USI (Unité de soins intensifs).
En réalité, le discours déraisonnablement alarmiste actuel des autorités et des pouvoirs publics n’est que le cache sexe d’une incroyable incurie qui n’est destiné qu’à détourner l’attention du public sur le déficit récurrent de moyens des hôpitaux publics, déficit déjà dénoncé en mars et qui n’a toujours pas été traité depuis.
Par conséquent c’est sous cet angle de lecture qu’il faut comprendre la torsion exercée sur les chiffres officiels qui sont systématiquement réinterprétés après être passés au mixer de la tyrannie sanitaire et de la gouvernance par la peur : il n’y a actuellement pas de deuxième vague pas plus qu’il n’y a de malades dus au Covid-19 qui ne puissent être absorbés par des services en voie de supposée saturation anticipée (52 morts pour toute la France en 24h pour plus de 16.000 cas), mais bien un manque de lits.
Nuance.
En revanche, le manque de lits et les déprogrammations (sorte de sélection aux relents eugénistes) sont bien responsables des décès en cours et à venir et dont l’ampleur ne pourra plus être dissimulée.
Ainsi, de mensonge en falsification, de détournement en omission, le biopouvoir technocratique aidé par une classe médiatique majoritairement complice, mais aussi par une majorité d’individus très consentants, étend son contrôle et son emprise sur nos corps, nos esprits, nos âmes, nos vies, et ce toujours au nom de l’impératif de la santé et donc d’un bien malheureusement encore trop peu contesté.
© Michel Rosenzweig
Le confinement crée-t-il une épidémie de trouble psychiques ?https://youtu.be/MhESbXVKF6Y
https://www.kevinmd.com/blog/2020/04/stop-romanticizing-the-italian-health-care-during-the-covid-19-pandemic.html
Voici un lien sur l’état réel des services de santé Italiens sans fards et ni ego. Je pense que ce que cette doctoresse décrit peut aussi s’appliquer au reste de l’Europe : Plutôt que d’admettre que les autorités ont sapé les services de santé pour des économies de bout de chandelle et ainsi exposé leur population ils préfèrent culpabiliser leurs peuple. Décidément en Europe le fascisme tente de s’infiltrer par toutes les failles.