Djihad Judiciaire, le documentaire interdit et censuré de Gérard Boyadjian

« Djihad Judiciaire » est un documentaire interdit et censuré.

Forcément. Voilà un docu qui autopsie, passe au scalpel le dévoiement incontestable de l’institution judiciaire française. Une forme de « soumission ». Une sorte de collaboration. Lesquelles consistent aujourd’hui à « intimider, menacer, museler et condamner » tout propos critique vis à vis de … l’Islam sur le territoire national.

Les intellectuels musulmans, les apostats, regardent la chose se faire et peu à peu devenir la norme.
Ils nous avaient promis une forme d’islamisation de la France? Eh bien c’est cette stratégie, cette tentative de mise au pas de tout renégat que le film de Boyadjian met en exergue.

Gérard Boyadjian? Il y va au scalpel, vous disais-je, son objectif étant de dénoncer la chose, de mettre à nu ceux qu’il appelle « les nouveaux juges de la morale », « les grands procureurs de la pensée ».

Inlassablement, il sonde. Va plus profond encore. Jusqu’aux entrailles de cette Magistrature qu’il dit « indéniablement soumise à l’agenda politique de nos dirigeants ». Il parle de « collaboration », mais de « collaboration volontaire active ».

Qui nier que La liberté d’Expression en France se meurt sur l’autel du « Politiquement correct ».

Qui réfutera que désormais l’institution judiciaire s’arroge des pouvoirs inédits, lesquels consistent à tous les pourchasser, intellectuels, écrivains, historiens, policiers, artistes, eux qui auraient eu l’audace folle de ne pas s’aligner pas sur la « Doxa Dominante ».

Qui, de bonne foi, contestera que se sont multipliées à foison les plaintes contre les mal-pensants, quels qu’ils fussent, quoi que leur vie dît sur eux,

Qui aura la malhonnêteté de ne pas voir comment la route fut ouverte aux pseudo antiracistes, lesquels, confortés et aidés par les lois liberticides Pleven-Gayssot-Taubira, mirent en place, au vu et au su de tous, une forme de business lucratif , mais encore un plan machiavélique visant à briser dans l’oeuf toute tentative de contredire au lieu que de baisser la tête.

Djihad Judiciaire donne la parole à nombre d’acteurs de la vie politique ou associative française, confrontés qu’ils furent à ces intimidations, d’abord dénoncés par ceux que Lui appelle « les officines de délation », puis menacés par la justice française, souvent traînés devant les tribunaux, et, pour finir, parfois lourdement condamnés :  D’un Patrick Jardin, père d’une victime du Bataclan, à un Georges Bensoussan, en passant par Éric Zemmour, Pierre Cassen, Christine Tasin, Waleed Al Husseini, François Galvaire, Daniel Conversano, Renaud Camus, Génération identitaire, entre autres.

Faites abstraction de vos sympathies personnelles et même des personnalités diverses, voire contraire, des intervenants: Regardez-les. Ecoutez cette machine qui broie. Qui tue un peu. Voyez comme ils sont courts les chemins qui mènent à la judiciarisation de la pensée ainsi qu’au délit d’opinion…

Patrick Jardin
Waleed Al Husseini

« La Justice n’a jamais eu vocation à rendre la justice. Sa seule et unique fonction est de maintenir l’ordre social. Et cela repose, sur une profonde injustice », conclut, sombre, le réalisateur, qui fait oeuvre ici: Où est-elle, cette France qui jadis accueillit ses grands -parents arméniens….

Il faut faire connaître ce documentaire courageux ( Rappelons que Gérard Boyadjian a été condamné en 2016 par la Cour d’Appel de Paris pour son film « Chameau Pas d’Amalgame »: J’en connais foultitude qui auraient … lâché l’affaire. Pas Lui. Lui, au contraire, fera de cette « affaire personnelle » le point de départ de Djihad Judiciaire, depuis sa convocation, suite à une plainte de la Licra, jusqu’à sa condamnation, par la justice de son pays, pour le film pamphlétaire, « Chameau pas d’amalgame », jugé trop audacieux par certains magistrats. Le Procureur de la République dira ouvertement et explicitement, lors de mon procès : “Quand on s’attaque à l’islam on s’attaque à qui ? Bah aux Musulmans hein !” Cette sortie à elle seule, nous indique de manière implicite mais circonstancié qu’en France, en 2020, la République Laïque réinstaure le délit de blasphème et condamne désormais toute critique de la religion islamique sur le territoire national.
( L’extrait est à  00:39:30 dans Djihad Judiciaire.)

Condamné pour « une oeuvre de fiction »: Oui, et c’est ce qui aujourd’hui risque bien d’arriver à Valeurs actuelles...


Cherry on the cake: le cinéaste ne se mêle pas seulement de faire oeuvre subversive et militante. Un artiste-cinéaste de talent côtoie le pamphlétaire, Un Homme de bien, mais encore un poète, se cachent derrière l’acteur: Lui appelle « ça » ses « oeuvres pudiques ». Regardez bien…


A noter: Le documentaire sera en accès libre afin de le diffuser et le propager sur tout le territoire national. Néanmoins c’est votre contribution financière qui permet à des artistes dissidents de créer des œuvres indépendantes, non soumises aux diktats d’une industrie subordonnée au pouvoir politique. Ci-dessous, le lien paypal pour soutenir ce film.

paypal.me/pools/c/8fODcnX6xc

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5 Comments

    • Tu fais rire :c’est ta « republique » qui a amené les musulmans en France.Vive le Roi!
      Prepare toi a la prochaine guerre civile.
      Vas voir sur you tube:
      « les propheties de Marie-Julie Jahenny »

  1. J’ai 61 ans, et me rends compte à quel point, la liberté d’expression est atteinte,dans ses fondements. Mais où sont donc les héritiers de Coluche, Le Luron, Jacques Martin, Desproges… ?

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