La pseudo affaire Obono montre que le camp du Bien manipule le champ médiatique à sa guise.
Quand un gendarme est traîné sur cinq cent mètres par un automobiliste maghrébin qui refuse d’obtempérer, quand une jeune femme tente d’arrêter l’assassin de son chien et finit dépecée, sous les roues de la voiture qui a écrasé son animal, l’antiracisme officiel étouffe toute éruption d’indignation collective. On en parle parce qu’il est impossible d’asphyxier l’affaire, mais ce sont des « incivilités » nous dit-on! Et tenez vous le pour dit espèce de sale raciste !!
En revanche, quand cette Obono, bibliothécaire inculte qui n’a rien à faire sur les bancs de l’Assemblée nationale, est moquée pour ce qu’elle est, une noire raciste qui mène un mauvais combat, alors c’est l’émeute dans le cocotier.
Comment faire pour renverser ce rapport de pouvoir! Nom d’un chien!!! Comment leur casser les reins!
C’est dit, et bien dit, à cela près qu’il s’agit plutôt du camp du Mal !
Et ajoutons sos racisme 🤮😱😭 qui, à la suite de Caroline Fourest et du printemps républicain apporte son soutien Obono. « Touche pas à ma raciste » !
Le vent va tourner patience!