Les raisons de leur violence, on les connaît
Des racailles franco-maghrébines, maghrébines et subsahariennes sévissent en France, en Belgique et ailleurs en Europe occidentale. Les raisons de leur violence, on les connaît : des pères absents ou violents, des mères démissionnaires ou complices, parfois ramenées du bled et illettrées, une culture islamique qui ne prédispose pas au respect de l’infidèle et de ses institutions, une culture de l’honneur et de la honte et donc une victimisation permanente, une relation compliquée au sexe féminin et à sa propre virilité, une éducation de la rue ou du bas des immeubles, des dynamiques de groupes bien identifiées, un rejet de la scolarité et une absence de promotion professionnelle en conséquence remplacée par des trafics illégaux et l’habitude de la délinquance, un laxisme des institutions censées réprimer et punir au nom d’une culture de l’excuse et qui ont été formées dans nos écoles de travailleurs sociaux et de magistrats à la bienveillance pseudo-antiraciste, la présence de plus en plus importante de jeunes délinquants, mineurs ou non, chassés du Maghreb par leurs propres gouvernements et enfin l’influence de prêches antisémites et anti-occidentaux sur internet et dans de nombreuses mosquées.
Cette partie du peuple qui se tait, et cette autre qui, elle aussi, a peur d’élever la voix
Cela dit, il serait bien d’arrêter de confondre les islamo-racailles,les islamogauchistes-indigénistes , les islamistes tout court avec cette partie du peuple qui se tait, semblant complice, identique pourtant à cette autre partie du peuple qui, elle aussi a peur d’élever la voix, en dehors de quelques ronds-points, d’élections truquées par le système des partis et les privilèges offerts et qui se soumet aux grandes gueules de la politique, des médias et des pseudos conseils scientifiques
Comprendre et excuser
Pour autant, il est évident aujourd’hui qu’il ne suffit pas de comprendre. Il fut même un temps où on a confondu la compréhension et l’excuse, une compréhension trop souvent biaisée par l’idéologie antiraciste. Aujourd’hui est venu le temps du poing sur la table et du combat pour la survie de tous les français, quelle que soit leurs origines anciennes ou plus récentes. La mise à l’écart et la répression des racailles ne préjuge pas de la remise en cause et du remplacement éventuel de la politique qui a permis la mise en place de ce système et des nombreuses responsabilités locales et nationales.
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