Plus le temps passe, plus l’opinion publique découvre ce que nous savons depuis 2016: la soi-disant affaire Adama Traore est une farce. Tout est faux dans les accusations péremptoires au futur de l’indicatif de cette femme qui trimbale sa haine de la France et de ses institutions pour défendre sa famille de polydélinquants notoires qui terrorisent un homme en geôle à coup de fourchettes pour obtenir des fellations, puis lui cassent la gueule purement et simplement et enfin, balancent son identité sur les réseaux sociaux.
S’il fallait avoir une petite idée de ce qu’est l’islamisme mélangé d’indigénisme lui-même bercé par la haine de la France et l’amour de la violence, il suffit de se remémorer ces faits.
Cette femme, qui n’a pas d’autre solution que de passer son temps à dégueuler nos institutions, mérite effectivement la vérité.
Sous un certain angle, encore plus que ses frères.
Qu’elle n’ait crainte.
Nous la lui donnerons.
Comme par hasard la dénommée Assa et sa fratrie sont disparus des médias.
M’est avis qu’on n’entendra plus reparler de sitôt.
MAIS ce n’est pas assez.
Faudra récupérer cette affaire pour démontrer la vraie nature de cette engeance.
Qui va centraliser l’initiative? Qui montera au front?
Qui va centraliser l’affaire? Qui montera au front? Peut-être l’auteur de l’article lui-même.
Une aubaine d’instrumentalisation pour les dinosaures gauchistes, les racistes antiblancs, les doux dingues de la repentance, les falsificateurs de l’histoire de l’esclavage, les hagiographes d’Angela Davis, les avocats ou juges rouges de la délinquance patentée, une affaire qui fait “pschitt”, un soufflé franco-français… la recette est éculée!