Rémi Richelet. Philippe Monguillot, tramino à Bayonne, est mort la tête écrasée par des blaireaux à Bayonne

Bon, je suis saoulé… j’ai ma dose!

Philippe Monguillot, un brave type, tramino à Bayonne, est mort la tête écrasée par des blaireaux à Bayonne. Des sauvages, qui nient jusque la vie!

En fait tu comprends que dehors la vie coûte peu. Que tu sois au taf, en terrasse, au Bataclan, aux pieds des tours, mineur, majeur, noir, blanc, filles, garçons, la vie ne vaut rien!

Juste quelques secondes, c’est tout ce que ça coûte. Zip zap, terminé, direction le boulevard des allongés à boulouter des pissenlits.

Toi, ni une ni deux, tu défends ce gars dans ta tête, une juste colère qui te permet de soulever des montagnes gonflables. Avant de  plaindre sa famille, t’es en rage, impuissant que tu es. Mais sur le fond tu ne peux rien faire. Que dale !!!!

Déjà t’es pas là,  pour sauter à la gueule de ces hyènes, en plus tu sais que faire le poulagat en lieu et place de la maréchaussée, c’est pas bien. C’est leur boulot, celui de Macron et de toute la clique de croque-morts qui bossent avec… C’ est eux qui font la sécu dans ce pays.

En fait, ils n’étaient pas là pour sauter ces cons. En train de courir sûrement ailleurs après des clones de ces mecs, de faire leur taf…

Mais devant ce genre de merdes, t’as qu’une envie, c’est de les déglinguer, à coup de boules, à coup de pognes et de les laisser sur le carreau.

Tu lis la presse! Et c’est toi la crevure

Pis après, tu lis la presse! Et c’est toi la crevure. T’as pensé à mal mon pote! T’es juste une bouse inconsciente. T’es la fachosphère, un mec de droite, alors tu fermes ta gueule et tu manges ton chapeau. T’es une merde!

Imagine, t’as voulu butter ces crevures, les passer au broyeur, les éplucher vivants…
Alors que ce n’est pas de leur putain de faute. Nan, ils n’étaient pas à la bonne place pour naître et en prenant le tram. Mektoub.
En fait tu es indigne, tu perds ta dignité.

Tu lis la presse, qui s’empresse de te presser de prendre une fessée. Qu’est-ce que tu es devenu? Un violent mâle, dépourvu de sens commun, qui a perdu le sens de la justice, de l’honneur. Une bête fachoïde! Toi qui voulais juste exprimer ta peur, par une colère que tu croyais juste, t’es devenu une bête.

Y voir une phénomène récupérant, lié à une sous-culture de culture imamesque, une culture débilitante qui te permet d’envoyer vers un créateur, pour gagner des points de houris, des rivières de lait, et de raisin, quand tu passeras l’arme à gauche, c’est purement faire de toi un sacré fils de chien. L’intérêt est quand même d’emmener du monde avec toi, wallah!

Pas d’amalgame!

La presse te vomit. T’es une merde! Elle vend le coup du sort, la loterie d’être ou de ne pas être là où l’on meurt. Pas d’amalgame!  Les assassins sont des VIP. Intouchables qu’ils sont d’être hypothétiquement de gauche.
Des pauvres hères, les nouveaux barbarossas, le couteau dans la bouche, mais à cause de la droite. Des cas sociaux matinés de pouillerie. En fait c’est de ta faute! A toi…!

Tu les stigmatises rien qu’en lisant la presse. Et ton fond islamophobe , celui dont on te qualifie quand tu pestes après ceux-là-même qui les décrivent comme des handicapés sous tutelle, fragiles qu’ils sont, ton islamophobie leur permet de butter un mec comme un cleb’s, un père de famille!

 »Mais monsieur, la dame de cette homme, ses enfants, sont bien victimes eux aussi? Bien sûr que non, l’ami, c’est la prison qui les attend. C’est terrible! Ses assassins seront victimes du système carcéral. »
Voilà où nous en sommes à gauche, sauver les apparences humanistes, en cherchant, en fabriquant des victimes à la chaîne. Des Traoré ©, des Merah ©, en dénigrant, les victimes, en les invisibilisant , en ne nommant même pas les morts.

La Presse…

La presse qui qualifie de  »la droite » ceux qui hurlent leur peur, leur colère, leurs envies de faire la police, leurs envies de faire la justice.
Être de gauche ce n’est pas ça pour la presse.
C est crier  »vous n’aurez pas ma haine », c’est dire que la marche blanche de Bayonne était digne, alors que la droite s’abat sur les pauvres futurs justiciables.

En plus, impossible de dire qu’il s’agit de « noirs. » La presse ne veut pas de procès. Ça serait dingue d’aller aussi loin. Un noir qui meurt, il faut le faire savoir, mais un noir qui tue, surtout on ne publie pas. Impossible de dire ça ! Même moi j’ose pas!

C est pas comme si un vieux débris tentait de mettre le feu a une mosquée à Bayonne. Celui là était de droite, donc blaze, terrine en photo, et une fiche wikipédia. Là on peut, on a le droit, c’est bon pour le karma des lecteurs. La presse s’auto-censure pour faire face à internet.

Là, tu sauras rien, ni pour la gendarme, fauchée par une bagnole. Une voiture hein!, Avec un cinglé dedans, cocaïne, diesel et petites pépés, à l’américaine, pneus qui crissent, barrage de police et de gendarmerie et paf. Tuée dans l’exercice de ses fonctions.
Pas pour la France, ni la Nation… Dans ses fonctions. Une breloque et pis s’en va.
Pas de sentimentalisme, le gendarme, c’est de droite. Ça bute des Traoré© dans l’exercice de ses fonctions, le gendarme!

Il a fallu Teddy Riner, en hommage, genou à terre pour que la presse s’émeuve. Le colosse pose un genou, pour une gardienne de notre sécurité à tous. Sans colère, sans haine, juste du respect. Bravo mec !

Mais moi je suis pas Teddy Riner. Moi j’ai de la colère, de la haine

Mais moi je suis pas Teddy Riner. Moi j’ai de la colère, de la haine. Je suis un Néneu. Déjà parce que j’ai honte de ce reflexe  » humaniste » chez mes congénères. L’humaniste défend la vie, pas ceux qui la prennent. L’humaniste privilégie la sécurité, il ne supporte pas qu’on meurt pour rien, pour une clope, un masque, pour Allah, ou Hitler…

L’ humaniste, lui, sait que si la sécurité n’existe pas, elle se fera naturellement, il sait que si la justice n’existe pas, elle se fera autrement. Et l’humaniste ne veut pas ça, sauf si il est tenu, parce que personne ne sait plus ce qu’est la justice, la sécurité. Surtout ceux qui les incarnent et qui endorment les colères sous des quolibets politiques.

La colère n’a pas de couleurs politiques. Elle est noire comme l’anarchie, la colère.
Elle contamine tout dès lors qu’elle est étouffée, réprimée, castrée, endiguée, et seulement là, elle devient folle, incontrôlée.
La presse ça sert juste à ça, à rendre dingue les humanistes.

Et ben moi, la presse je l’emmerde. Je suis de gauche, humaniste, je veux la sécurité et la justice, je veux que ma colère soit entendue, que ma haine soit apaisée par des actes et une presse qui dit des mots justes, une presse qui entende la colère.
Un presse qui s’attelle aux victimes, aux morts en premier lieu, à leurs connaissances, mais aussi à toi, à moi. Nous sommes victimes tous, victime de ne pas être entendus, victimes du muselage, victimes de la peur qui conduit à la haine.
J’emmerde la presse et les directeurs de consciences qui la composent.

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1 Comment

  1. Oui à quand la mobilisation pourque justice pénale soit rendue a l encontre de ces racailles anti gaulois.
    Nos valeurs républicaines et laïques doivent être respectées et il y a urgence.
    Bien à vous

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